Vendredi 20 Octobre 2006 22:37:42

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060223"><HEURE="2006022308">
Youssouf Fofana, le chef présumé du "gang des barbares", soupçonné
d'avoir torturé à mort le jeune Ilan Halimi, près de Paris, a été
arrêté dans la nuit du mercredi 22 au jeudi 23 février à Abidjan par
la police ivoirienne. Auditionné jeudi matin par la police ivoirienne
<HAP1>et</HAP1> les enquêteurs français, il a reconnu <HAP1>sa</HAP1> participation au meurtre
du jeune homme.
Dominique de Villepin a déclaré que le suspect devrait être rapatrié
"dans les <HAP1>toutes</HAP1> prochaines heures". "Dans ce drame odieux, il <HAP1>est</HAP1>
important que la justice puisse être rendue très rapidement", a-<HAP1>t</HAP1>-il
ajouté.
Le leader présumé du gang a été arrêté à un barrage routier de la
police dans le 15^e arrondissement d'Abidjan, dans le quartier
populaire d'Abobo, au nord-ouest de la capitale économique ivoirienne.
La police ivoirienne a eu une information <HAP1><HAP1-et-2>faisant</HAP1-et-2></HAP1> <HAP1><HAP1-et-2>état</HAP1-et-2></HAP1> de la présence
de M. Fofana dans une résidence de ce quartier. <HAP1><HAP1-et-2>Suite</HAP1-et-2></HAP1> à cette
information, les <HAP1><HAP1-et-2>policiers</HAP1-et-2></HAP1> de la PJ ont mis en place un dispositif
spécial, <HAP1>ne</HAP1> <HAP1><HAP1-et-2>pouvant</HAP1-et-2></HAP1> intervenir directement vu la configuration des
lieux. Des postes de contrôles ont <HAP1><HAP1-et-2>donc</HAP1-et-2></HAP1> été installés en début de
<HAP1>soirée</HAP1> dans toute la zone, quadrillée par les hommes de la PJ.
Youssouf Fofana a été appréhendé à l'un de ces postes vers 23 h 30
<HAP1>alors</HAP1> qu'il sortait de cette résidence en <HAP1>voiture</HAP1>.
<HAP1><HAP1-et-2>ETROITE</HAP1-et-2></HAP1> COLLABORATION DES POLICES <HAP1><HAP1-et-2>FRANÇAISES</HAP1-et-2></HAP1> ET <HAP1><HAP1-et-2>IVOIRIENNES</HAP1-et-2></HAP1>
La justice française avait lancé une commission rogatoire
internationale à l'encontre de M. Fofana, Français d'origine
ivoirienne. Celui-ci <HAP1>était</HAP1> arrivé mercredi 15 février en Côte d'Ivoire
par un vol d'Air France. Sa présence sur le sol ivoirien avait été
établie par la <HAP1><HAP1-et-2>Direction</HAP1-et-2></HAP1> de la surveillance du territoire (DST)
ivoirienne, grâce à la liste des entrées sur le territoire, puis
confirmée aux enquêteurs français par les listes de passagers des vols
d'Air France en provenance de Paris.
Les <HAP1>deux</HAP1> enquêteurs français arrivés mardi à Abidjan ont travaillé en
étroite collaboration avec la police <HAP1>judiciaire</HAP1> ivoirienne <HAP1>qui</HAP1> avait
annoncé <HAP1>son</HAP1> intention de collaborer pleinement avec la police
française sur cette <HAP1>affaire</HAP1>, sur laquelle <HAP1>elle</HAP1> travaillait déjà depuis
plusieurs jours.Tous les services de sécurité ivoiriens police,
gendarmerie, services secrets avaient été mis en alerte <HAP1>pour</HAP1> empêcher
la fuite du suspect.

FICHIER 2

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060223"><HEURE="2006022309">
Youssouf Fofana, le chef présumé du "gang des barbares", soupçonné
d'avoir torturé à mort le jeune Ilan Halimi, près de Paris, a été
arrêté, dans la nuit du mercredi 22 au jeudi 23 février, à Abidjan,
par la police ivoirienne. Auditionné jeudi matin par la police
ivoirienne <HAP1>et</HAP1> les enquêteurs français, il a reconnu <HAP1>sa</HAP1> participation
au meurtre du jeune homme.
Dominique de Villepin a déclaré que le suspect devrait être rapatrié
"dans les <HAP1>toutes</HAP1> prochaines heures". "Dans ce drame odieux, il <HAP1>est</HAP1>
important que la justice puisse être rendue très rapidement", a-<HAP1>t</HAP1>-il
ajouté.
Le leader présumé du gang a été arrêté à un barrage routier de la
police dans le 15^e arrondissement d'Abidjan, dans le quartier
populaire d'Abobo, dans le nord-ouest de la capitale économique
ivoirienne. La police ivoirienne a été <HAP2><HAP1-et-2>informée</HAP1-et-2></HAP2> de la présence de
Youssouf Fofana dans une résidence de ce quartier dans la <HAP1>soirée</HAP1>. <HAP2><HAP1-et-2>Elle</HAP1-et-2></HAP2>
a <HAP1>alors</HAP1> mis en place un dispositif spécial <HAP1>pour</HAP1> <HAP1>son</HAP1> arrestation, <HAP2><HAP1-et-2>car</HAP1-et-2></HAP2>
<HAP1>elle</HAP1> <HAP1>ne</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>pouvait</HAP1-et-2></HAP2> intervenir directement, vu la configuration des lieux.
Des postes de contrôles ont été installés en début de <HAP1>soirée</HAP1> dans
toute la zone, quadrillée par les hommes de la police <HAP1>judiciaire</HAP1>.
Youssouf Fofana a été appréhendé à l'un de ces postes vers 23 h 30
<HAP1>alors</HAP1> qu'il sortait de cette résidence en <HAP1>voiture</HAP1>.
Selon le <HAP2><HAP1-et-2>récit</HAP1-et-2></HAP2> d'un policier <HAP2><HAP1-et-2>ayant</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>participé</HAP1-et-2></HAP2> à l'arrestation, Youssouf
Fofana se <HAP2><HAP1-et-2>trouvait</HAP1-et-2></HAP2> à bord d'une <HAP1>voiture</HAP1> avec <HAP2><HAP1-et-2>quatre</HAP1-et-2></HAP2> autres personnes.
"A <HAP2><HAP1-et-2>travers</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>sa</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>physionomie</HAP1-et-2></HAP2>, on s'<HAP1>est</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>demandé</HAP1-et-2></HAP2> un <HAP2><HAP1-et-2>peu</HAP1-et-2></HAP2> '<HAP1>est</HAP1>-ce que c'<HAP1>est</HAP1>
le <HAP2><HAP1-et-2>monsieur</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>qui</HAP1> <HAP1>était</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>recherché</HAP1-et-2></HAP2> ?'. <HAP2><HAP1-et-2>Pour</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>vérification</HAP1-et-2></HAP2> d'<HAP2><HAP1-et-2>identité</HAP1-et-2></HAP2>, on
l'a <HAP2><HAP1-et-2>emmené</HAP1-et-2></HAP2> à la <HAP2><HAP1-et-2>base</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>et</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>finalement</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>après</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>constatation</HAP1-et-2></HAP2>, il s'<HAP1>est</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>avéré</HAP1-et-2></HAP2>
que c'<HAP1>était</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>lui</HAP1-et-2></HAP2>", a <HAP2><HAP1-et-2>raconté</HAP1-et-2></HAP2> ce policier sur France-<HAP2><HAP1-et-2>Info</HAP1-et-2></HAP2>. "<HAP2><HAP1-et-2>On</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>ne</HAP1> l'a
<HAP2><HAP1-et-2>jamais</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>brutalisé</HAP1-et-2></HAP2>, il <HAP2><HAP1-et-2>n</HAP1-et-2></HAP2>'<HAP2><HAP1-et-2>y</HAP1-et-2></HAP2> a pas eu de <HAP2><HAP1-et-2>violence</HAP1-et-2></HAP2>. <HAP2><HAP1-et-2>Il</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>ne</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>nous</HAP1-et-2></HAP2> a pas
<HAP2><HAP1-et-2>agressés</HAP1-et-2></HAP2>", a-<HAP1>t</HAP1>-il <HAP2><HAP1-et-2>précisé</HAP1-et-2></HAP2>. Selon ce <HAP2><HAP1-et-2>même</HAP1-et-2></HAP2> policier, <HAP1>toutes</HAP1> les
personnes <HAP1>qui</HAP1> se <HAP2><HAP1-et-2>trouvaient</HAP1-et-2></HAP2> à bord de l'<HAP2><HAP1-et-2>automobile</HAP1-et-2></HAP2> ont été <HAP2><HAP1-et-2>arrêtées</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>et</HAP1>
<HAP2><HAP1-et-2>interrogées</HAP1-et-2></HAP2> par la police <HAP1>judiciaire</HAP1>.
<HAP2><HAP1-et-2>ÉTROITE</HAP1-et-2></HAP2> COLLABORATION DES POLICES <HAP2><HAP1-et-2>FRANÇAISE</HAP1-et-2></HAP2> ET <HAP2><HAP1-et-2>IVOIRIENNE</HAP1-et-2></HAP2>
La justice française avait lancé une commission rogatoire
internationale à l'encontre de Youssouf Fofana, Français d'origine
ivoirienne. Celui-ci <HAP1>était</HAP1> arrivé, mercredi 15 février, en Côte
d'Ivoire, par un vol d'Air France. Sa présence sur le sol ivoirien
avait été établie par la <HAP2><HAP1-et-2>direction</HAP1-et-2></HAP2> de la surveillance du territoire
(DST) ivoirienne, grâce à la liste des entrées sur le territoire, puis
confirmée aux enquêteurs français par les listes de passagers des vols
d'Air France en provenance de Paris.
Les <HAP1>deux</HAP1> enquêteurs français arrivés mardi à Abidjan ont travaillé en
étroite collaboration avec la police <HAP1>judiciaire</HAP1> ivoirienne, <HAP1>qui</HAP1> avait
annoncé <HAP1>son</HAP1> intention de collaborer pleinement avec la police
française dans cette <HAP1>affaire</HAP1>, sur laquelle <HAP1>elle</HAP1> travaillait déjà
depuis plusieurs jours. Tous les services de sécurité ivoiriens
police, gendarmerie, services secrets avaient été mis en alerte <HAP1>pour</HAP1>
empêcher la fuite du suspect.
A Paris, <HAP2><HAP1-et-2>treize</HAP1-et-2></HAP2> personnes, dont trois <HAP2><HAP1-et-2>femmes</HAP1-et-2></HAP2>, ont été <HAP2><HAP1-et-2>mises</HAP1-et-2></HAP2> en <HAP2><HAP1-et-2>examen</HAP1-et-2></HAP2>
dans cette <HAP1>affaire</HAP1>, dont <HAP2><HAP1-et-2>onze</HAP1-et-2></HAP2> sont en <HAP2><HAP1-et-2>détention</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>provisoire</HAP1-et-2></HAP2>. <HAP2><HAP1-et-2>Un</HAP1-et-2></HAP2>
<HAP2><HAP1-et-2>quatorzième</HAP1-et-2></HAP2> suspect <HAP2><HAP1-et-2>interpellé</HAP1-et-2></HAP2> en <HAP2><HAP1-et-2>Belgique</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>est</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>visé</HAP1-et-2></HAP2> par un <HAP2><HAP1-et-2>mandat</HAP1-et-2></HAP2>
d'<HAP2><HAP1-et-2>arrêt</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>européen</HAP1-et-2></HAP2>. <HAP2><HAP1-et-2>Cinq</HAP1-et-2></HAP2> autres <HAP2><HAP1-et-2>suspects</HAP1-et-2></HAP2> sont par <HAP2><HAP1-et-2>ailleurs</HAP1-et-2></HAP2> en <HAP2><HAP1-et-2>garde</HAP1-et-2></HAP2> à
<HAP2><HAP1-et-2>vue</HAP1-et-2></HAP2>, trois à <HAP2><HAP1-et-2>Marseille</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>et</HAP1> <HAP1>deux</HAP1> à Paris.