Vendredi 20 Octobre 2006 22:35:46

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060222"><HEURE="2006022208">
Moins d'un an après le traumatisme vécu dans ce même stade, le
Philips Stadion, et l'élimination en quarts de finale après les tirs
au but, l'Olympique lyonnais a montré qu'il avait retenu la leçon, en
battant le PSV Eindhoven 1-0, mardi 21 février, lors des huitièmes de
finale aller de la Ligue des champions. Un résultat à confirmer au
retour le 8 mars au stade Gerland.
Eliminés aux tirs au but la saison dernière en quarts de finale par le
PSV après deux nuls (1-1), à chaque fois après avoir ouvert la marque,
les Lyonnais ont, cette fois, réussi leur pari. Lyon a, comme l'an
dernier, ouvert le score, avec l'aide du gardien du PSV, Gomes, bien
maladroit sur le coup franc de Juninho (65^e). Mais il a cette fois
conservé cet avantage. Et ce, malgré l'exclusion de Govou (81^e),
malgré une pression énorme des Néerlandais en fin de match et malgré
la sortie à la pause de Cris, touché au nez et victime de troubles de
la vision.
Voilà donc l'OL bien parti mais Gérard Houllier n'oubliera pas que son
équipe a aussi bénéficié d'un Coupet décisif, bien aidé par ses
poteaux. Et que le PSV, qui a muselé les Lyonnais en première période
avant d'encaisser son premier but à domicile cette saison en C1, reste
une redoutable machine à faire déjouer l'adversaire. "Par rapport à
l'an dernier je me demande si les Néerlandais ne sont pas encore
supérieurs", a d'ailleurs estimé l'entraîneur lyonnais, ajoutant :
"Sur l'ensemble du match, notre victoire n'est certainement pas
usurpée, mais le plaisir de la victoire, nous l'éprouverons seulement
si nous nous qualifions".
40E <HAP1><HAP1-et-2>BUT</HAP1-et-2></HAP1> <HAP1><HAP1-et-2>DE</HAP1-et-2></HAP1> <HAP1><HAP1-et-2>HENRY</HAP1-et-2></HAP1> <HAP1><HAP1-et-2>EN</HAP1-et-2></HAP1> C1
De son côté, Arsenal a également parfaitement négocié sa manche aller,
en allant chercher une victoire à Madrid. Et ce grâce au 40^e et très
joli but en C1 de Thierry Henry en début de seconde période, dans le
plus pur style de l'attaquant français : une longue chevauchée au
milieu de la défense madrilène après avoir récupéré le ballon dans le
rond central (47^e). "Il faut rester tranquille ! On n'a parcouru que
la moitié du chemin", a toutefois tempéré le buteur alors que son
entraîneur, Arsène Wenger, ne pouvait que se féliciter du bon coup
réussi à Santiago-Bernabeu : "Nous avons une équipe jeune mais nous
avons montré de la maturité".
Arsenal, à défaut de pouvoir rejoindre Chelsea en championnat
d'Angleterre, peut donc toujours succéder à Liverpool en C1 alors que
le Real, impuissant malgré l'entrée en jeu de Raul, peut redouter une
nouvelle saison sans titre."Le match retour à Londres sera différent",
veut croire l'entraîneur du Real, Juan Ramon Lopez Caro.
PENALTY CONTESTÉ
Autre affiche, et autre bonne opération pour l'équipe en déplacement
en faveur du Milan AC, finaliste de l'édition 2005, à Munich (1-1). Un
penalty de Chevchenko (57^e) a répondu à un but somptueux de Michael
Ballack, une demi-volée des 20 mètres à la 23^e minute. Les Bavarois
contestaient après la rencontre le penalty sifflé pour une main
d'Ismaël."Il n'y avait pas penalty", affirmait le défenseur central
français. "Ce penalty, regrettait aussi l'entraîneur Felix Magath, a
fait basculer le match pour Milan car nos joueurs ont été troublés
par cette décision incompréhensible et n'ont pas pu retrouver leur
rythme".
Le tenant du titre, Liverpool, est le seul à rentrer battu dans sa
manche aller en déplacement, chez le Benfica Lisbonne. En cédant en
fin de match sur un but de Luisao (84^e), les "Reds" se sont
singulièrement compliqués la tâche en vue du match retour, le 8 mars.

FICHIER 2

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060222"><HEURE="2006022209">
Moins d'un an après le traumatisme vécu dans ce même stade, le
Philips Stadion, et l'élimination en quarts de finale après les tirs
au but, l'Olympique lyonnais a montré qu'il avait retenu la leçon, en
battant le PSV Eindhoven 1-0, mardi 21 février, lors des huitièmes de
finale aller de la Ligue des champions. Un résultat à confirmer au
retour, le 8 mars, au stade Gerland.
Eliminés aux tirs au but la saison dernière en quarts de finale par le
PSV après deux nuls (1-1), à chaque fois après avoir ouvert la marque,
les Lyonnais ont, cette fois, réussi leur pari. Lyon a, comme l'an
dernier, ouvert le score, avec l'aide du gardien du PSV, Gomes, bien
maladroit sur le coup franc de Juninho (65^e). Mais il a cette fois
conservé cet avantage. Et ce, malgré l'exclusion de Govou (81^e),
malgré une pression énorme des Néerlandais en fin de match et malgré
la sortie à la pause de Cris, touché au nez et victime de troubles de
la vision.
Voilà donc l'OL bien parti mais Gérard Houllier n'oubliera pas que son
équipe a aussi bénéficié d'un Coupet décisif, bien aidé par ses
poteaux. Et que le PSV, qui a muselé les Lyonnais en première période
avant d'encaisser son premier but à domicile cette saison en C1, reste
une redoutable machine à faire déjouer l'adversaire. "Par rapport à
l'an dernier, je me demande si les Néerlandais ne sont pas encore
supérieurs", a d'ailleurs estimé l'entraîneur lyonnais, ajoutant :
"Sur l'ensemble du match, notre victoire n'est certainement pas
usurpée, mais le plaisir de la victoire, nous l'éprouverons seulement
si nous nous qualifions."
<HAP2><HAP1-et-2>VICTOIRE</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>D</HAP1-et-2></HAP2>'<HAP2><HAP1-et-2>ARSENAL</HAP1-et-2></HAP2>
De son côté, Arsenal a également parfaitement négocié sa manche aller,
en allant chercher une victoire à Madrid. Et ce grâce au 40^e et très
joli but en C1 de Thierry Henry en début de seconde période, dans le
plus pur style de l'attaquant français : une longue chevauchée au
milieu de la défense madrilène après avoir récupéré le ballon dans le
rond central (47^e). "Il faut rester tranquille ! On n'a parcouru que
la moitié du chemin", a toutefois tempéré le buteur, alors que son
entraîneur, Arsène Wenger, ne pouvait que se féliciter du bon coup
réussi à Santiago-Bernabeu : "Nous avons une équipe jeune, mais nous
avons montré de la maturité."
Arsenal, à défaut de pouvoir rejoindre Chelsea en championnat
d'Angleterre, peut donc toujours succéder à Liverpool en C1 alors que
le Real, impuissant malgré l'entrée en jeu de Raul, peut redouter une
nouvelle saison sans titre."Le match retour à Londres sera différent",
veut croire l'entraîneur du Real, Juan Ramon Lopez Caro.
PENALTY CONTESTÉ
Autre affiche, et autre bonne opération pour l'équipe en déplacement
en faveur du Milan AC, finaliste de l'édition 2005, à Munich (1-1). Un
penalty de Chevchenko (57^e) a répondu à un but somptueux de Michael
Ballack, une demi-volée des 20 mètres à la 23^e minute. Les Bavarois
contestaient après la rencontre le penalty sifflé pour une main
d'Ismaël."Il n'y avait pas penalty", affirmait le défenseur central
français. "Ce penalty, regrettait aussi l'entraîneur Felix Magath, a
fait basculer le match pour Milan car nos joueurs ont été troublés
par cette décision incompréhensible et n'ont pas pu retrouver leur
rythme."
Le tenant du titre, Liverpool, est le seul à rentrer battu dans sa
manche aller en déplacement, chez le Benfica Lisbonne. En cédant en
fin de match sur un but de Luisao (84^e), les "Reds" se sont
singulièrement compliqués la tâche en vue du match retour, le 8 mars.