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Dossier du 19/03/05
L'enjeu politique du non
Empècher l'entrée de la Turquie et provoquer un renouveau politique

La victoire du non permettrait de faire barrage à la Turquie
Le référendum sur la constitution représente un enjeu politique majeur pour l'avenir de l'Europe comme pour celui de la France. Aujourd'hui, rien n'est joué et la victoire du "non" est possible. Contrairement à ce qu'affirment les partisans du "oui", un tel résultat n'aurait aucune conséquence pratique sur le fonctionnement de l'Europe qui continuerait d'exister sur ses bases actuelles. En revanche une victoire du "non" permettrait non seulement de rejeter cette mauvaise constitution mais aussi et surtout de donner un coup d'arrêt à la Turquie dont l'entrée dans l'Union pourrait dès lors être définitivement abandonnée.

La victoire du non provoquerait une crise salutaire
Le "non" créerait de surcroît une crise politique salutaire au niveau européen, conduisant les dirigeants de l'Union à envisager pour l'Europe d'autres buts et une autre forme d'organisation qui puissent mener à la création d'une Europe puissante et indépendante respectant les nations.

Une recomposition politique à droite
Ce serait aussi un désaveu cinglant pour la classe politicienne. Le "non" au référendum pourrait dès lors devenir l'élément déclencheur d'un changement d'envergure et ouvrir ainsi les voies d'un véritable renouveau. Les partis institutionnels se trouveraient profondément déchirés et discrédités. Et cette situation serait propice à un reclassement et à un renouveau comme celui pour lequel milite le MNR depuis de nombreuses années. À droite, en effet, l'UMP se trouve déjà profondément divisée entre ceux qui s'alignent sur le politiquement correct et qui se retrouvent sur des positions finalement proches de celles du parti socialiste et ceux qui voudraient une politique active de redressement national clairement ancrée à droite.

Crise du FN : la relève par l'extérieurÀ cela s'ajoute du côté du FN des changements importants en perspective. M. Le Pen arrive en fin de parcours politique et son parti est en fin de course. C'est une époque qui s'achève. Le FN n'existe plus que par Le Pen : lorsque celui-ci quittera la scène politique, il n'aura pas de successeurs. Ni Bruno Gollnisch ni Marine Le Pen n'ont l'envergure pour assurer une succession dont Le Pen ne veut d'ailleurs pas. Le FN va donc entrer en déclin et laisser orphelin un électorat potentiel considérable. La relève doit dès lors se faire par l'extérieur. Le MNR est prêt à contribuer à ce projet et à oeuvrer le moment venu au rassemblement des déçus de l'UMP et des orphelins du FN. Des perspectives d'envergure s'ouvrent donc pour les mois et les quelques années qui viennent. Des perspectives susceptibles de déboucher sur un renouveau politique majeur dans notre pays.

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19 novembre 2005
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