zola1.txt:24:avançait ainsi, lorsque sur la gauche à deux kilomètres de Montsou, il zola1.txt:25:aperçut des feux rouges, trois brasiers brûlant au plein air, et comme zola1.txt:133:a trois ou quatre ans! Tout ronflait, on ne pouvait trouver des hommes, zola1.txt:177:attelé aux berlines vides. zola1.txt:224:Alors, quand ils ont vu que je ne voulais pas crever, ils m'ont appelé zola1.txt:249:ans. Ensuite, à cause de mes sacrées jambes, ils m'ont mis de la coupe à zola1.txt:299:aujourd'hui abandonnée, là-bas, près de la sucrerie Fauvelle. Tout le pays zola1.txt:336:ah! oui, il y en a, de l'argent! zola1.txt:340:avaient repris leur besogne. Pendant qu'il attelait sa bête, pour zola1.txt:385:accepterait n'importe quelle besogne. Où aller et que devenir, à travers ce zola2.txt:8:avenues, divisées en jardins égaux. Et, sur le plateau désert, on entendait zola2.txt:15:avait une chaleur vivante, cet étouffement chaud des chambrées les mieux zola2.txt:24:allumette et alluma la chandelle. Mais elle restait assise, la tête si zola2.txt:50:au savon noir. Un dernier bâillement ouvrit sa bouche un peu grande, aux zola2.txt:71:anéantis dans le gros sommeil de l'enfance. Alzire, les yeux ouverts, zola2.txt:118:avait l'air d'un petit homme, rien ne lui restait de son sexe, que le zola2.txt:170:avec une lenteur déjà lasse. Alzire, les yeux grands ouverts, regardait zola2.txt:180:autre chandelle, pour préparer le café. Tous les sabots de la famille zola2.txt:204:A vous tous, vous apportez neuf francs. Comment veux-tu que j'arrive? Nous zola2.txt:306:aux histoires que Zacharie racontait sur le maître-porion et la Pierronne, zola2.txt:331:Après avoir bu, Catherine acheva de vider la cafetière dans les gourdes de zola2.txt:333:avalaient en hâte. zola3.txt:9:avoir monté un escalier obscur à moitié détruit, il s'était trouvé sur une zola3.txt:23:autres, en s'éloignant: zola3.txt:32:au fond, tandis que, dans le bureau du receveur, une maigre lampe mettait zola3.txt:127:autres. Une peur vague le décida brusquement: il s'en alla, il ne s'arrêta zola3.txt:164:avec son père, le vieux Mouque, palefrenier, et Mouquet son frère, zola3.txt:170:avait failli crever de colère, criant qu'elle se respectait trop, qu'elle se zola3.txt:172:autre qu'un charbonnier. zola3.txt:216:aussi prendre sa lampe, avec Bébert, gros garçon naïf, et Lydie, chétive zola3.txt:237:allumées. zola3.txt:251:aujourd'hui. zola3.txt:325:au milieu de la fuite tournoyante des charpentes. Puis, tombé dans le noir zola3.txt:399:avec les petites flammes des lampes. Le jeune homme butait à chaque pas, zola3.txt:426:avait le crâne fendu. Pourtant, il suivait avec attention, devant lui, les zola3.txt:461:aplatissant les épaules et les hanches, avançant à la force des poignets, zola3.txt:497:au bout de chaque voie. Le puits dévorateur avait avalé sa ration zola4.txt:14:au-dessus; et, tout en haut enfin, était Maheu. Chacun havait le lit de zola4.txt:46:ainsi qu'une large cheminée, plate et oblique, où la suie de dix hivers zola4.txt:47:aurait amassé une nuit profonde. Des formes spectrales s'y agitaient, les zola4.txt:77:au fond de la galerie par les haveurs, et remblayaient les tranchées zola4.txt:86:abattre, si nous voulons avoir notre compte de berlines. zola4.txt:108:arrivait au jour telle qu'elle partait de la taille, marquée d'un jeton zola4.txt:202:arrivant au plan, fumantes comme des juments trop chargées. C'était le coup zola4.txt:214:allait rendre les conditions de leur marchandage désastreuses. Chaval se zola4.txt:234:ayant sorti son briquet, mordait gravement à l'épaisse tranche, en lâchant zola4.txt:261:avec son visage fin et ses moustaches noires. Vaguement, elle souriait de zola4.txt:274:avaler deux petits verres, sans avoir le besoin de manger un homme... zola4.txt:300:autre, vivant entre les deux hommes qui la mangeaient, roulant avec eux au zola4.txt:417:arrivé du Pas-de-Calais. zola4.txt:448:abrégeaient le déjeuner, pour ne pas se refroidir; et leurs briquets, mangés zola4.txt:449:aussi loin du soleil, avec une voracité muette, leur chargeaient de plomb zola5.txt:16:aussi, lâchaient la rivelaine. Il y eut un repos. Tous s'essuyaient le zola5.txt:30:autour de lui. zola5.txt:57:accompagné de Dansaert, le maître-porion. zola5.txt:90:allez tous y rester, nom d'un chien! zola5.txt:118:avertis que le chantier a trois francs d'amende. zola5.txt:200:autres l'imitèrent. La vue seule de la taille les jetait hors d'eux. Comme zola5.txt:208:arrêtée au milieu d'une voie pour les laisser passer, et qui leur racontait zola5.txt:217:autre, se retenir aux bois, pour que leurs fesses ne prissent pas feu, zola5.txt:254:autres étaient là, en sueur, dans le courant glacé, muets comme lui, zola5.txt:290:au repos tournaient la tête, avec leurs gros yeux d'enfants, puis se zola5.txt:292:aimés de tout le monde. zola5.txt:321:avoir jamais revu le jour. Très gras, le poil luisant, l'air bonhomme, il zola5.txt:326:aux endroits trop bas. Sans doute aussi il comptait ses tours, car lorsqu'il zola5.txt:327:avait fait le nombre réglementaire de voyages, il refusait d'en recommencer zola5.txt:392:accusèrent la Compagnie de tuer au fond une moitié de ses ouvriers, et de zola6.txt:46:Aussi est-ce qu'on devrait prendre des fainéants, qui se servent de leurs zola6.txt:58:avec le lampiste, qu'il accusait de mal nettoyer la sienne. Ils ne se zola6.txt:60:avait dû trop le charger, car le poêle était rouge, la vaste pièce sans zola6.txt:95:aide. A quoi bon tout cela? zola6.txt:104:aux grandes persiennes d'où soufflait un continuel courant d'air. Les zola6.txt:115:au-dessous d'une vieille sorcière, la mère de la Pierronne, la Brûlé ainsi zola6.txt:118:accusant la vieille de lui ratisser ses pierres, à ce point qu'elle n'en zola6.txt:163:allaient remplacer les marchandages des haveurs, au fond des voies. Jamais zola6.txt:179:au coron. zola6.txt:213:avec un sourire débonnaire. C'était Rasseneur, un ancien haveur que la zola6.txt:216:avait fini par être le chef des mécontents. Sa femme tenait déjà un débit, zola6.txt:217:ainsi que beaucoup de femmes de mineurs; et, quand il fut jeté sur le pavé, zola6.txt:326:autour des bâtiments, le carreau s'étendait, et il ne se l'imaginait pas si zola6.txt:332:ancienne, consumé à l'autre bout par un feu intérieur qui brûlait depuis un zola6.txt:333:an, avec une fumée épaisse, en laissant à la surface, au milieu du gris zola6.txt:341:arbres dépouillés. Et, sous le ciel livide, dans le jour bas de cet zola6.txt:342:après-midi d'hiver, il semblait que tout le noir du Voreux, toute la zola6.txt:344:arbres, sablant les routes, ensemençant la terre. zola6.txt:365:aigu. Ce n'était plus l'inconnu des ténèbres, les tonnerres inexplicables, zola6.txt:377:auquel dix mille affamés donnaient leur chair, sans le connaître.