§ <MOIS=" 200602"><JOUR=" 20060202"><HEURE="2006020211"> La Bourse de Paris a atteint, jeudi 2 février, des niveaux qu'elle n'avait plus connu depuis d'août 2001. L'indice CAC 40 est monté jusqu'à 5 012, 38 points avant de retomber sous la barre des 5000 points. Auparavant, Tokyo a clotûré sur un plus haut depuis plus de cinq ans et une progression de New York. Les Bourses européennes et Tokyo sont soutenues notamment par un baril de pétrole passé sous 67 dollars et la remontée du billet vert, dopé par une Réserve fédérale américaine qui n'a pas encore sonné la fin du cycle de hausse de ses taux directeurs. Vers 9 h 40, le CAC 40 gagne 0, 11 % à 5 004, 64 points. Les indices en Europe continentale ont également franchi des plus hauts depuis près de cinq ans. Francfort progresse de 0, 47 %, l'EuroStoxx 50 de 0, 44 %, l'EuroFirst 300 de 0, 26 %. Les performances de Londres(+ 0, 06 %) sont plus décevantes. Tokyo a terminé ce matin en hausse de 1, 4 % à 16 700 points, un plus haut depuis septembre 2000. Mercredi, le Dow Jones a gagné 0, 82 %, le S&P 500 0, 19 % et le Nasdaq composite 0, 21 %. Le marché a été soutenu par les comptes trimestriels de Boeing, qui a retrouvé ses niveaux d'avant la crise du transport aérien. Le baril brut léger américain passe sous 67 dollars alors que le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique se réunit jeudi pour décider de saisir le Conseil de sécurité de l'ONU à propos du programme nucléaire iranien. Le dollar est ferme et s'échange autour de 1,2 2047 pour un euro. Le Conseil des gouverneurs de la BCE se réunit aujourd'hui et doit tenir une conférence de presse à 14 h 30. Toutefois, aucune modification des taux directeurs n'est prévue. Selon un consensus Reuters, la BCE devrait relever ses taux en mars et en juin ce qui porterait le taux de refinancement(refi) à 2, 75 % contre 2, 25 % aujourd'hui. D'autres indicateurs sont attendus aujourd'hui: les prix à la production des Douze en décembre, les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis et la productivité américaine au 4^e trimestre 2005.

§ <MOIS=" 200602"><JOUR=" 20060202"><HEURE="2006020212"> La Bourse de Paris a atteint, jeudi 2 février, des niveaux qu'elle n'avait plus connus depuis d'août 2001. L'indice CAC 40 est monté jusqu'à 5 012, 38 points avant de retomber sous la barre des 5 000 points. Auparavant, Tokyo a clôturé sur un plus haut depuis plus de cinq ans et une progression de New York. Les Bourses européennes et Tokyo sont soutenues notamment par un baril de pétrole passé sous 67 dollars et la remontée du billet vert, dopé par une Réserve fédérale américaine qui n'a pas encore sonné la fin du cycle de hausse de ses taux directeurs. Vers 9 h 40, le CAC 40 gagne 0, 11 % à 5 004, 64 points. Les indices en Europe continentale ont également franchi des plus hauts depuis près de cinq ans. Francfort progresse de 0, 47 %, l'EuroStoxx 50 de 0, 44 %, l'EuroFirst 300 de 0, 26 %. Les performances de Londres(+ 0, 06 %) sont plus décevantes. Tokyo a terminé ce matin en hausse de 1, 4 % à 16 700 points, un plus haut depuis septembre 2000. Mercredi, le Dow Jones a gagné 0, 82 %, le S&P 500 0, 19 % et le Nasdaq composite 0, 21 %. Le marché a été soutenu par les comptes trimestriels de Boeing, qui a retrouvé ses niveaux d'avant la crise du transport aérien. Le baril brut léger américain passe sous 67 dollars alors que le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique se réunit jeudi pour décider de saisir le Conseil de sécurité de l'ONU à propos du programme nucléaire iranien. Le dollar est ferme et s'échange autour de 1,2 2047 pour un euro. Le Conseil des gouverneurs de la BCE se réunit aujourd'hui et doit tenir une conférence de presse à 14 h 30. Toutefois, aucune modification des taux directeurs n'est prévue. Selon un consensus Reuters, la BCE devrait relever ses taux en mars et en juin ce qui porterait le taux de refinancement(REFI) à 2, 75 % contre 2, 25 % aujourd'hui. D'autres indicateurs sont attendus aujourd'hui: les prix à la production des Douze en décembre, les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis et la productivité américaine au 4^e trimestre 2005.