Vendredi 02 Mars 2007 18:29:22

Projection sur un fichier (au format Lexico3) et constitué de 2 volets :

  • des segments maximaux communs (cf lien à droite),
  • des segments répétés communs,
  • des sous-segments maximaux propres à chaque volet (cf lien à droite),
  • des hapax de l'ensemble des 2 volets,
  • des hapax associés à chacun des 2 volets du texte,
  • des formes propres à chaque volet.

On trouve ci-dessous, le résultat de la projection sur les 2 volets d'un même texte.

Grille de lecture

segment répété
hapax des 2 fichiers
hapax du fichier 1
hapax du fichier 2
forme propre (non hapax) à l'un des 2 fichiers

Liste des SMC : segments maximaux commun
(i.e chaîne comprise entre 2 délimiteurs)
Liste des s-SMC : sous-segments maximaux
(i.e chaîne maximale commune non-SMC)
FICHIER 1FICHIER 2

§ <MOIS=" 200601"><JOUR=" 20060123"><HEURE="2006012312"> Le gouvernement koweïtien a annoncé que l'émir Saad Al-Abdallah Al-Sabah était dans l'incapacité d'assumer ses fonctions dans une demande adressée dimanche au Parlement pour le destituer, a rapporté, lundi 23 janvier, l'agence officielle Kuna. " Le conseil des ministres a la preuve que Sa Majesté l'émir du pays a perdu sa capacité, ( en raison de son) état de santé, à exercer ses prérogatives constitutionnelles", écrit le gouvernement à la Chambre. C'est le première fois que le gouvernement invoque ouvertement l'incapacité de Cheikh Saad, 75 ans, à exercer ses fonctions à la tête de l'Etat depuis qu'il a succédé automatiquement à Cheikh Jaber Al-Ahmad Al-Sabah, décédé le 15 janvier. Le président du Parlement, Jassem Al-Khorafi, a confirmé que le gouvernement avait officiellement demandé, par lettre, que se tienne mardi une session extraordinaire du Parlement pour procéder à la destitution du nouvel émir. Acculé, l'émir a demandé au Parlement à pouvoir prêter serment dès lundi, condition sine qua non pour qu'il puisse assumer ses fonctions. " UNE CARACTÉRISTIQUE FONDAMENTALE DE LA FAMILLE RÉGNANTE" Le bureau du Parlement a tenu lundi matin une réunion extraordinaire afin d'examiner la crise constitutionnelle ouverte par ces deux demandes de sessions extraordinaires. Au terme de cette rencontre, la demande de l'émir de pouvoir prêter serment de manière anticipée a été rejetée. Le président du Parlement avait espéré, dimanche, que " la sagesse" prévaudrait au sein de la famille régnante pour régler la crise, ajoutant toutefois que si le Parlement était appelé à assumer ses responsabilités, il les assumerait. Si Cheikh Saad est destitué, il s'agirait d'une première dans l'histoire de la famille Al-Sabah. Car, comme le soulignait l'analyste politique Ismaïl Al-Chatti dans un long article publié dimanche dans le quotidien Al-Watan, " le transfert pacifique du pouvoir est une caractéristique fondamentale de la famille régnante au Koweït". Pour destituer l'émir, le Parlement doit se prononcer à la majorité des deux-tiers de ses 65 membres, chiffre incluant les 16 membres du gouvernement, qui disposent d'un droit de vote à la Chambre. Un tel vote profiterait au premier ministre, qui dirige de facto l'émirat depuis plusieurs années, pour devenir émir.

§ <MOIS=" 200601"><JOUR=" 20060123"><HEURE="2006012313"> Le gouvernement koweïtien a annoncé que l'émir Saad Al-Abdallah Al-Sabah était dans l'incapacité d'assumer ses fonctions dans une demande adressée dimanche au Parlement pour le destituer, a rapporté, lundi 23 janvier, l'agence officielle Kuna. " Le conseil des ministres a la preuve que Sa Majesté l'émir du pays a perdu sa capacité, ( en raison de son) état de santé, à exercer ses prérogatives constitutionnelles", écrit le gouvernement à la Chambre. C'est la première fois que le gouvernement invoque ouvertement l'incapacité de Cheikh Saad, 75 ans, à exercer ses fonctions à la tête de l'Etat depuis qu'il a succédé automatiquement à Cheikh Jaber Al-Ahmad Al-Sabah, décédé le 15 janvier. Le président du Parlement, Jassem Al-Khorafi, a confirmé que le gouvernement avait officiellement demandé, par lettre, que se tienne mardi une session extraordinaire du Parlement pour procéder à la destitution du nouvel émir. Acculé, l'émir a demandé au Parlement à pouvoir prêter serment dès lundi, conditionsine qua non pour qu'il puisse assumer ses fonctions. " UNE CARACTÉRISTIQUE FONDAMENTALE DE LA FAMILLE RÉGNANTE" Le bureau du Parlement a tenu, lundi matin, une réunion extraordinaire afin d'examiner la crise constitutionnelle ouverte par ces deux demandes de sessions extraordinaires. Au terme de cette rencontre, la demande de l'émir de pouvoir prêter serment de manière anticipée a été rejetée. Le président du Parlement avait espéré, dimanche, que " la sagesse" prévaudrait au sein de la famille régnante pour régler la crise, ajoutant toutefois que si le Parlement était appelé à assumer ses responsabilités, il les assumerait. Si Cheikh Saad est destitué, il s'agirait d'une première dans l'histoire de la famille Al-Sabah. Car, comme le soulignait l'analyste politique Ismaïl Al-Chatti dans un long article publié dimanche dans le quotidien Al-Watan, " le transfert pacifique du pouvoir est une caractéristique fondamentale de la famille régnante au Koweït". Pour destituer l'émir, le Parlement doit se prononcer à la majorité des deux tiers de ses 65 membres, chiffre incluant les 16 membres du gouvernement, qui disposent d'un droit de vote à la Chambre. Un tel vote profiterait au premier ministre, qui dirige de facto l'émirat depuis plusieurs années, pour devenir émir.