Vendredi 02 Mars 2007 18:29:14

Projection sur un fichier (au format Lexico3) et constitué de 2 volets :

  • des segments maximaux communs (cf lien à droite),
  • des segments répétés communs,
  • des sous-segments maximaux propres à chaque volet (cf lien à droite),
  • des hapax de l'ensemble des 2 volets,
  • des hapax associés à chacun des 2 volets du texte,
  • des formes propres à chaque volet.

On trouve ci-dessous, le résultat de la projection sur les 2 volets d'un même texte.

Grille de lecture

segment répété
hapax des 2 fichiers
hapax du fichier 1
hapax du fichier 2
forme propre (non hapax) à l'un des 2 fichiers

Liste des SMC : segments maximaux commun
(i.e chaîne comprise entre 2 délimiteurs)
Liste des s-SMC : sous-segments maximaux
(i.e chaîne maximale commune non-SMC)
FICHIER 1FICHIER 2

§ <MOIS=" 200601"><JOUR=" 20060129"><HEURE="2006012912"> Par un froid glacial, les sauveteurs polonais fouillaient, sans plus d'espoir, dimanche 29 janvier, les décombres d'un hall d'exposition qui s'est effondré sur un rassemblement de colombophiles à Chorzow près de Katowice dans le sud de la Pologne, tuant au moins 65 personnes et faisant 141 blessés. Tout au long de la nuit, le macabre bilan de l'accident qui a lieu samedi à 17 h 15 s'est alourdi progressivement. " Il y a maintenant au moins 65 morts et 141 personnes blessées", a indiqué vers 11 heures Krzysztof Mejer, porte-parole du préfet de région. "Je ne cache pas que les chances de retrouver des personnes vivantes sont proches de zéro", a affirmé Janusz Skulich, commandant en chef local des pompiers. " Il n'y a aucune chance de retrouver quelqu'un de vivant, à moins d'un miracle", a confié à l'AFP Marek Brodzki, un chirurgien qui travaille sur place. " Ce tas de tôle, avec la neige agit comme un congélateur", a ajouté le médecin. " Les sauveteurs creusent des puits en découpant la tôle. Mais à l'intérieur il fait encore plus froid", a-t-il dit. La dernière personne vivante a été sortie de l'endroit de la tragédie vers 22 heures. Néanmoins, les sauveteurs ne s'étaient pas encore résolus en fin de matinée à utiliser du matériel lourd. "Le matériel lourd n'a toujours pas été employé. Cela veut dire qu'on recherche toujours des vivants", a dit Witold Maziarz, porte-parole des pompiers nationaux. Selon les sauveteurs, au moins deux étrangers ont péri dans la catastrophe, un Belge et un Allemand d'une soixantaine d'années. Au total, 13 étrangers, de nationalité allemande, tchèque, belge, néerlandaise ou slovaque, sont morts ou blessés, a dit Krzysztof Mejer, sans pouvoir apporter plus de précisions. " Nous avons perdu le contact avec trois personnes", a déclaré Joseph de Scheemaecker, un exposant belge arrivé à Chorzow, de la région d'Anvers. " Entre 50 et 100 Belges ont participé à cette exposition", a indiqué un diplomate à l'ambassade de Belgique à Varsovie. BRUIT TERRIBLE Environ 1 300 pompiers, secouristes, soldats et policiers, venus de toute la Pologne, ont participé toute la nuit à l'action de sauvetage, alors que la température est descendue jusqu'à -17°C. " La neige amassée sur le toit de ce hall d'une surface de 10 000 m2 peut avoir été à l'origine de cet accident", a déclaré Janusz Jonczyk, porte-parole des pompiers locaux. Début janvier, dans un accident similaire, le toit d'une patinoire à Bad Reichenhall en Allemagne s'était écroulé sous le poids de la neige, faisant 15 morts. Un mètre de neige gelée et donc très lourde collait aux pans de toit tombés à terre. Le hall, qui abritait une exposition internationale baptisée" Pigeon 2006" pour le week-end, s'est effondré dans un terrible fracas. " On a entendu un bruit terrible puis tout le toit s'est effondré, on a eu une chance épouvantable", a raconté, la tête en sang, Henk Weerde, un vétérinaire belge de 60 ans. " J'étais assis à 2 mètres du toit qui s'est écroulé. Tout c'est passé très rapidement, en trois secondes", a expliqué un autre rescapé, Jan Panek, joint par téléphone sur son lit d'hôpital. " Si le toit s'était effondré une heure plus tôt, il y aurait eu un massacre. Le hall d'exposition était alors bourré de monde. Il y avait tellement de monde que l'on ne pouvait pas passer", a-t-il ajouté. Dans cette construction métallique, pouvaient se tenir jusqu'à 700 personnes selon la police. Mais la foule avait diminué au moment de l'accident. A la suite de la tragédie, le président polonais Lech Kaczynski a décrété un deuil national. Le premier ministre Kazimierz Marcinkiewicz, qui séjournait non loin de là dans la station de ski de Zakopane, s'est rendu sur place dès samedi soir. Dimanche matin, il s'est rendu dans plusieurs hôpitaux avant d'assister à une messe pour les victimes à la cathédrale de Katowice. Dans ce pays très catholique qu'est la Pologne, les victimes ont reçu samedi soir l'absolution de leur péchés. " On a le droit de le faire pour un groupe quand il y a un danger de mort", a expliqué le père Antoni Kraimski, venu sur place. Plusieurs pays, dont l'Allemagne et l'Israël, ont proposé à la Pologne leur assistance pour l'opération de secours, a indiqué Kazimierz Marcinkiewicz. Mais les responsables de l'opération ont estimé qu'ils n'avaient actuellement pas besoin de cette aide pour le moment, a-t-il dit.

§ <MOIS=" 200601"><JOUR=" 20060129"><HEURE="2006012913"> Après avoir travaillé toute la nuit et la matinée dimanche, les sauveteurs polonais ont arrêté à la mi-journée leur opération de secours dans les décombres d'un hall d'exposition qui s'est effondré samedi 28 janvier sur un rassemblement de colombophiles à Chorzow près de Katowice dans le sud de la Pologne, tuant au moins 65 personnes et faisant 141 blessés. Les sauveteurs considèrent qu'il n'y a pratiquement plus d'espoir de retrouver des survivants. "La phase de secours de l'opération est terminée", a dit Kazimierz Krzowski, commandant des pompiers locaux. "Les chances de retrouver un survivant sont proches de zéro", a-t-il ajouté, Tout au long de la nuit, le macabre bilan de l'accident qui a lieu samedi à 17 h 15 s'est alourdi progressivement. " Il y a maintenant au moins 65 morts et 141 personnes blessées", a indiqué vers 11 heures Krzysztof Mejer, porte-parole du préfet de région. " Il n'y a aucune chance de retrouver quelqu'un de vivant, à moins d'un miracle", a confié à l'AFP Marek Brodzki, un chirurgien qui travaille sur place. " Ce tas de tôle, avec la neige agit comme un congélateur", a ajouté le médecin. " Les sauveteurs creusent des puits en découpant la tôle. Mais à l'intérieur il fait encore plus froid", a-t-il dit. La dernière personne vivante a été sortie de l'endroit de la tragédie vers 22 heures. Selon les sauveteurs, au moins deux étrangers ont péri dans la catastrophe, un Belge et un Allemand d'une soixantaine d'années. Au total, 13 étrangers, de nationalité allemande, tchèque, belge, néerlandaise ou slovaque, sont morts ou blessés, a dit Krzysztof Mejer, sans pouvoir apporter plus de précisions. " Nous avons perdu le contact avec trois personnes", a déclaré Joseph de Scheemaecker, un exposant belge arrivé à Chorzow, de la région d'Anvers. " Entre 50 et 100 Belges ont participé à cette exposition", a indiqué un diplomate à l'ambassade de Belgique à Varsovie. BRUIT TERRIBLE Environ 1 300 pompiers, secouristes, soldats et policiers, venus de toute la Pologne, ont participé toute la nuit à l'action de sauvetage, alors que la température est descendue jusqu'à -17°C. " La neige amassée sur le toit de ce hall d'une surface de 10 000 m2 peut avoir été à l'origine de cet accident", a déclaré Janusz Jonczyk, porte-parole des pompiers locaux. Début janvier, dans un accident similaire, le toit d'une patinoire à Bad Reichenhall en Allemagne s'était écroulé sous le poids de la neige, faisant 15 morts. Un mètre de neige gelée et donc très lourde collait aux pans de toit tombés à terre. Le hall, qui abritait une exposition internationale baptisée" Pigeon 2006" pour le week-end, s'est effondré samedi dans un terrible fracas. " On a entendu un bruit terrible puis tout le toit s'est effondré, on a eu une chance épouvantable", a raconté, la tête en sang, Henk Weerde, un vétérinaire belge de 60 ans. " J'étais assis à 2 mètres du toit qui s'est écroulé. Tout c'est passé très rapidement, en trois secondes", a expliqué un autre rescapé, Jan Panek, joint par téléphone sur son lit d'hôpital. " Si le toit s'était effondré une heure plus tôt, il y aurait eu un massacre. Le hall d'exposition était alors bourré de monde. Il y avait tellement de monde que l'on ne pouvait pas passer", a-t-il ajouté. Dans cette construction métallique, pouvaient se tenir jusqu'à 700 personnes selon la police. Mais la foule avait diminué au moment de l'accident. A la suite de la tragédie, le président polonais Lech Kaczynski a décrété un deuil national. Le premier ministre Kazimierz Marcinkiewicz, qui séjournait non loin de là dans la station de ski de Zakopane, s'est rendu sur place dès samedi soir. Dimanche matin, il s'est rendu dans plusieurs hôpitaux avant d'assister à une messe pour les victimes à la cathédrale de Katowice. Dans ce pays très catholique qu'est la Pologne, les victimes ont reçu samedi soir l'absolution de leur péchés. " On a le droit de le faire pour un groupe quand il y a un danger de mort", a expliqué le père Antoni Kraimski, venu sur place. Plusieurs pays, dont l'Allemagne et l'Israël, ont proposé à la Pologne leur assistance pour l'opération de secours, a indiqué Kazimierz Marcinkiewicz. Mais les responsables de l'opération ont estimé qu'ils n'avaient actuellement pas besoin de cette aide pour le moment, a-t-il dit.