Vendredi 02 Mars 2007 18:28:47

Projection sur un fichier (au format Lexico3) et constitué de 2 volets :

  • des segments maximaux communs (cf lien à droite),
  • des segments répétés communs,
  • des sous-segments maximaux propres à chaque volet (cf lien à droite),
  • des hapax de l'ensemble des 2 volets,
  • des hapax associés à chacun des 2 volets du texte,
  • des formes propres à chaque volet.

On trouve ci-dessous, le résultat de la projection sur les 2 volets d'un même texte.

Grille de lecture

segment répété
hapax des 2 fichiers
hapax du fichier 1
hapax du fichier 2
forme propre (non hapax) à l'un des 2 fichiers

Liste des SMC : segments maximaux commun
(i.e chaîne comprise entre 2 délimiteurs)
Liste des s-SMC : sous-segments maximaux
(i.e chaîne maximale commune non-SMC)
FICHIER 1FICHIER 2

§ <MOIS=" 200602"><JOUR=" 20060208"><HEURE="2006020812"> La France est disposée, si New Delhi le souhaite, à reprendre l'amiante qui doit être encore retirée du Clemenceau, a redit, mercredi 8 février, l'ambassadeur de France en Inde, Dominique Girard. Proposition en avait déjà été faite le 26 janvier. Le porte-avions, désarmé, fait route vers l'Inde où il doit être démantelé. Le 13 février, la Cour suprême indienne doit trancher et décider si le bateau peut ou non entrer dans les eaux territoriales indiennes. " Notre engagement est entier et nous sommes disposés à reprendre l'amiante qui sera retiré du navire, quelle que soit sa quantité, si les autorités indiennes le désirent", a déclaré l'ambassadeur lors d'un point-presse tenu à l'issue d'une visite des chantiers d'Alang, dans l'Etat du Gujarat(ouest) où l'ancien fleuron de la flotte française doit être démoli. Dans le même temps, à Paris, la ministre de la défense française, Michèle Alliot-Marie, a indiqué devant le Sénat qu'il restait 46 tonnes de produits contenant de l'amiante à bord du Clemenceau, et qu'elles étaient" dans des parties inaccessibles sans toucher à sa navigabilité". " PAS DE PLAN B" " Nous nous sentirons liés par la décision du gouvernement indien et des tribunaux indiens. Il est hors de question de contraindre l'Inde", a ajouté le diplomate, assurant qu'il n'y avait" pas de plan B" dans le cas où la Cour suprême indienne refuserait au Clemenceau l'accès aux eaux territoriales indiennes. Ces propos constituent une concession significative de la part du gouvernement français, qui doit faire face à l'adversité de Greenpeace et des organisations syndicales indiennes, qui s'opposent à ce que le porte-avion pénètre dans les eaux territoriales indiennes tant que se trouvent toujours à son bord des subtances toxiques, amiante comprise. "N Nous allons apporter l'équipement adéquat afin de nous assurer que les conditions de travail( des personnes travaillant sur le chantier du Clemenceau) soient les mêmes qu'en Europe", a promis l'ambassadeur, se disant satisfait de ce qu'il avait vu lors de sa visite des chantiers navals. Paris a dépêché sa propre équipe d'experts et surveillera de près la santé des quelque 45 ouvriers qui seront impliqués dans le retrait de l'amiante. Parti de France le 31 décembre, le porte-avions doit être démoli sur le chantier Shree Ram Scrap Vessel, à Alang, après avoir subi la fin de son désamiantage. Il ne resterait à bord, selon le ministère de la défense français, que 46 tonnes de matériaux amiantés ne pouvant être retirées" sans menacer la structure du navire". Les associations écologistes contestent ces chiffres. Greenpeace a publié, vendredi 3 février, deux nouvelles évaluations d'experts évaluant entre 500 et 1 000 tonnes la quantité encore à bord de matériaux contenant de l'amiante. La Commission de contrôle de la Cour suprême indienne(SCMC) avait indiqué, lundi 6 février, qu'elle attendait toujours des données de Paris pour rendre son rapport à la Cour pour son jugement attendu le 13 février.

§ <MOIS=" 200602"><JOUR=" 20060208"><HEURE="2006020813"> La France est disposée, si New Delhi le souhaite, à reprendre l'amiante qui doit être encore retirée du Clemenceau, a redit, mercredi 8 février, l'ambassadeur de France en Inde, Dominique Girard. Proposition en avait déjà été faite le 26 janvier. Le porte-avions, désarmé, fait route vers l'Inde où il doit être démantelé. Le 13 février, la Cour suprême indienne doit trancher et décider si le bateau peut ou non entrer dans les eaux territoriales indiennes. " Notre engagement est entier et nous sommes disposés à reprendre l'amiante qui sera retiré du navire, quelle que soit sa quantité, si les autorités indiennes le désirent", a déclaré l'ambassadeur lors d'un point-presse tenu à l'issue d'une visite des chantiers d'Alang, dans l'Etat du Gujarat(ouest) où l'ancien fleuron de la flotte française doit être démoli. Dans le même temps, à Paris, la ministre de la défense française, Michèle Alliot-Marie, a indiqué devant le Sénat qu'il restait 46 tonnes de produits contenant de l'amiante à bord du Clemenceau, et qu'elles étaient" dans des parties inaccessibles sans toucher à sa navigabilité". " PAS DE PLAN B" " Nous nous sentirons liés par la décision du gouvernement indien et des tribunaux indiens. Il est hors de question de contraindre l'Inde", a ajouté le diplomate, assurant qu'il n'y avait" pas de plan B" dans le cas où la Cour suprême indienne refuserait au Clemenceau l'accès aux eaux territoriales indiennes. Ces propos constituent une concession significative de la part du gouvernement français, qui doit faire face à l'adversité de Greenpeace et des organisations syndicales indiennes, qui s'opposent à ce que le porte-avions pénètre dans les eaux territoriales indiennes tant que se trouvent toujours à son bord des subtances toxiques, amiante comprise. "N Nous allons apporter l'équipement adéquat afin de nous assurer que les conditions de travail( des personnes travaillant sur le chantier du Clemenceau) soient les mêmes qu'en Europe", a promis l'ambassadeur, se disant satisfait de ce qu'il avait vu lors de sa visite des chantiers navals. Paris a dépêché sa propre équipe d'experts et surveillera de près la santé des quelque 45 ouvriers qui seront impliqués dans le retrait de l'amiante. Parti de France le 31 décembre, le porte-avions doit être démoli sur le chantier Shree Ram Scrap Vessel, à Alang, après avoir subi la fin de son désamiantage. Il ne resterait à bord, selon le ministère de la défense français, que 46 tonnes de matériaux amiantés ne pouvant être retirées" sans menacer la structure du navire". Les associations écologistes contestent ces chiffres. Greenpeace a publié, vendredi 3 février, deux nouvelles évaluations d'experts évaluant entre 500 et 1 000 tonnes la quantité encore à bord de matériaux contenant de l'amiante. La Commission de contrôle de la Cour suprême indienne(SCMC) avait indiqué, lundi 6 février, qu'elle attendait toujours des données de Paris pour rendre son rapport à la Cour pour son jugement attendu le 13 février.