Vendredi 20 Octobre 2006 22:41:03

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060219"><HEURE="2006021911">
La police italienne a mené, samedi 18 février, une perquisition dans
les appartements privés des équipes autrichiennes de biathlon et de
ski de fond engagées aux Jeux olympiques de Turin, dont les membres
ont fait l'objet de contrôles antidopage inopinés.
"Dans cette affaire, le CIO a agit sur la foi d'une information
transmise par l'Agence mondiale antidopage (Ama) qui évoquait la
présence de M. Walther Mayer dans les appartements privés des équipes
autrichiennes de biathlon et de ski de fond", précise le Comité
international olympique dans un communiqué. "Dans la mesure où M.
Mayer a été déclaré inapte à participer aux Jeux olympiques jusqu'à
ceux de Vancouver 2010 compris, suite à des délits de manipulations
sanguines commis aux JO de Salt Lake City 2002, le CIO a engagé sa
responsabilité pour soumettre les athlètes qu'il aurait pu influencer
à des contrôles antidopage." A la tête de l'équipe nationale de ski de
fond, Mayer a obtenu en 1998 les premières médailles olympiques de
l'histoire autrichienne. <HAP1>Il</HAP1> y a ajouté l'or des championnats du monde,
l'année suivante en relais, et a décroché deux nouvelles médailles aux
Jeux de Salt Lake City. La Fédération internationale de ski (FIS) a
prononcé son exclusion à vie après la découverte de matériel de
transfusion lors de <HAP1>ces</HAP1> mêmes JO d'hiver de 2002. Mayer a assuré que
son usage était exclusivement thérapeutique. La FIS a ramené l'an
dernier la durée de son exclusion à dix ans. De source proche de
l'enquête, on indiquait dans la soirée que la perquisition avait été
menée à la demande du parquet de Turin. "Les recherches se poursuivent
dans les appartements du biathlon autrichien", avait-on <HAP1>précisé</HAP1>,
ajoutant qu'elles n'avaient rien donné.
"ILS N'ONT RIEN FAIT DE MAL"
Peu après minuit, deux hommes escortés par des policiers sont sortis,
devant l'objectif d'une équipe de Reuters TV, d'un bâtiment de San
Sicario, où se déroulent les épreuves de biathlon. Une voiture de
l'équipe autrichienne se trouvait devant le bâtiment en question. L'un
des deux hommes portait une accréditation pour les JO et l'autre avait
le visage dissimulé sous la veste d'un policier. Ils ont été emmenés à
bord d'une voiture des carabiniers. Les policiers présents sur les
lieux se sont refusés à tout commentaire. Heinz Junqwirth, secrétaire
général du Comité olympique autrichien, avait auparavant déclaré
qu'une plainte serait déposée auprès du CIO. Selon lui, carabiniers et
agents chargés des contrôles sont arrivés dans la soirée à Pragelato.
Tous les membres des équipes de biathlon et de ski fond autrichiennes,
soit 15 athlètes hommes qui y logent dans deux bâtiments, ont ensuite
été conduits à Sestrière, à 5 km, où ils ont été contrôlés avant de
regagner leurs appartements. "Les athlètes ne se sentent <HAP1>pas</HAP1>
coupables. Ils n'ont rien fait de mal", a souligné Junqwirth. "Nous
allons protester vigoureusement contre la manière dont cela a été
mené.
"Nous sommes favorables aux contrôles, mais ce genre de méthodes, à
une heure aussi tardive, <HAP1>est</HAP1> inacceptable", a-t-il poursuivi,
précisant qu'il attendait les <HAP1>résultats</HAP1> dimanche à la première heure.

FICHIER 2

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060219"><HEURE="2006021914">
La police italienne a mené, samedi 18 février, une perquisition dans
les appartements privés des équipes autrichiennes de biathlon et de
ski de fond engagées aux Jeux olympiques de Turin, dont les membres
ont fait l'objet de contrôles antidopage inopinés.
"Dans cette affaire, le CIO a agit sur la foi d'une information
transmise par l'Agence mondiale antidopage (Ama) qui évoquait la
présence de M. Walther Mayer dans les appartements privés des équipes
autrichiennes de biathlon et de ski de fond", précise le Comité
international olympique dans un communiqué. "Dans la mesure où M.
Mayer a été déclaré inapte à participer aux Jeux olympiques jusqu'à
ceux de Vancouver 2010 compris, suite à des délits de manipulations
sanguines commis aux JO de Salt Lake City 2002, le CIO a engagé sa
responsabilité pour soumettre les athlètes qu'il aurait pu influencer
à des contrôles antidopage." A la tête de l'équipe nationale de ski de
fond, Mayer a obtenu en 1998 les premières médailles olympiques de
l'histoire autrichienne. <HAP1>Il</HAP1> y a ajouté l'or des championnats du monde,
l'année suivante en relais, et a décroché deux nouvelles médailles aux
Jeux de Salt Lake City. La Fédération internationale de ski (FIS) a
prononcé son exclusion à vie après la découverte de matériel de
transfusion lors de <HAP1>ces</HAP1> mêmes JO d'hiver de 2002. Mayer a assuré que
son usage était exclusivement thérapeutique. La FIS a ramené l'an
dernier la durée de son exclusion à dix ans. De source proche de
l'enquête, on indiquait dans la soirée que la perquisition avait été
menée à la demande du parquet de Turin. "Les recherches se poursuivent
dans les appartements du biathlon autrichien", avait-on <HAP1>précisé</HAP1>,
ajoutant qu'elles n'avaient rien donné.
"ILS N'ONT RIEN FAIT DE MAL"
Peu après minuit, deux hommes escortés par des policiers sont sortis,
devant l'objectif d'une équipe de Reuters TV, d'un bâtiment de San
Sicario, où se déroulent les épreuves de biathlon. Une voiture de
l'équipe autrichienne se trouvait devant le bâtiment en question. L'un
des deux hommes portait une accréditation pour les JO et l'autre avait
le visage dissimulé sous la veste d'un policier. Ils ont été emmenés à
bord d'une voiture des carabiniers. Les policiers présents sur les
lieux se sont refusés à tout commentaire. Heinz Junqwirth, secrétaire
général du Comité olympique autrichien, avait auparavant déclaré
qu'une plainte serait déposée auprès du CIO. Selon lui, carabiniers et
agents chargés des contrôles sont arrivés dans la soirée à Pragelato.
Tous les membres des équipes de biathlon et de ski fond autrichiennes,
soit 15 athlètes hommes qui y logent dans deux bâtiments, ont ensuite
été conduits à Sestrière, à 5 km, où ils ont été contrôlés avant de
regagner leurs appartements. "Les athlètes ne se sentent <HAP1>pas</HAP1>
coupables. Ils n'ont rien fait de mal", a souligné Junqwirth. "Nous
allons protester vigoureusement contre la manière dont cela a été
mené.
"Nous sommes favorables aux contrôles, mais ce genre de méthodes, à
une heure aussi tardive, <HAP1>est</HAP1> inacceptable", a-t-il poursuivi,
précisant qu'il attendait les <HAP1>résultats</HAP1> dimanche à la première heure.
<HAP2><HAP1-et-2>Six</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>fondeurs</HAP1-et-2></HAP2> et <HAP2><HAP1-et-2>quatre</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>biathlètes</HAP1-et-2></HAP2> ont été <HAP2><HAP1-et-2>testés</HAP1-et-2></HAP2>, <HAP2><HAP1-et-2>selon</HAP1-et-2></HAP2> le Pr <HAP2><HAP1-et-2>Arne</HAP1-et-2></HAP2>
Ljungqvist, <HAP2><HAP1-et-2>président</HAP1-et-2></HAP2> de la <HAP2><HAP1-et-2>commission</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>médicale</HAP1-et-2></HAP2> et <HAP2><HAP1-et-2>scientifique</HAP1-et-2></HAP2> du CIO
qui <HAP2><HAP1-et-2>s</HAP1-et-2></HAP2>'<HAP1>est</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>exprimé</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>plus</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>tard</HAP1-et-2></HAP2> dans la <HAP2><HAP1-et-2>journée</HAP1-et-2></HAP2>. "Les <HAP1>résultats</HAP1> de <HAP1>ces</HAP1>
<HAP2><HAP1-et-2>tests</HAP1-et-2></HAP2>, <HAP2><HAP1-et-2>tous</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>urinaires</HAP1-et-2></HAP2>, <HAP2><HAP1-et-2>seront</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>connus</HAP1-et-2></HAP2> dans deux <HAP2><HAP1-et-2>jours</HAP1-et-2></HAP2>. <HAP1>Il</HAP1> n'y a <HAP1>pas</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>eu</HAP1-et-2></HAP2>
de <HAP2><HAP1-et-2>test</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>sanguin</HAP1-et-2></HAP2>", a <HAP1>précisé</HAP1> le Pr Ljungqvist.