§ Les demandes du Liban visant à amender le projet de résolution franco-américain sur le conflit en cours ont repoussé l'adoption du texte, initalement espérée lundi, voire dimanche soir. Les ambassadeurs des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU - Etats-Unis, Chine, Russie, France et Grande-Bretagne - se sont réunis dimanche après-midi à New York sans parvenir à résoudre le problème, a indiqué l'ambassadeur de Russie, Vitaly Tchourkine. "Notre souci est que le gouvernement libanais semble mécontent du projet de résolution produit par la France et les Etats-Unis, donc nous discutons de cette situation mais malheureusement nous n'avons pas de baguette magique", a-t-il résumé, avant d'inviter les Libanais et les pays arabes à "lire très attentivement ce projet", lequel "contient beaucoup de choses qui sont grandement dans l'intérêt du Liban" et "surtout un appel à une cessation des hostilités". Aucune date n'a pu être fixée pour mettre le texte au vote. "Je crois que le scénario le plus probable est que le vote ait lieu mardi", a déclaré un diplomate de l'un des cinq membres permanents. De nouvelles consultations étaient prévues lundi matin. § Les demandes du Liban visant à amender le projet de résolution franco-américain sur le conflit en cours ont repoussé l'adoption du texte, initialement espérée lundi 7 août, voire dimanche soir. Les ambassadeurs des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU Etats-Unis, Chine, Russie, France et Grande-Bretagne se sont réunis à New York, dimanche après-midi, sans parvenir à résoudre le problème, a indiqué l'ambassadeur de Russie, Vitaly Tchourkine. "Notre souci est que le gouvernement libanais semble mécontent du projet de résolution produit par la France et les Etats-Unis, donc nous discutons de cette situation, mais malheureusement nous n'avons pas de baguette magique", a-t-il résumé, avant d'inviter les Libanais et les pays arabes à "lire très attentivement ce projet", lequel "contient beaucoup de choses qui sont grandement dans l'intérêt du Liban" et "surtout un appel à une cessation des hostilités". Aucune date n'a pu être fixée pour mettre le texte au vote. "Je crois que le scénario le plus probable est que le vote ait lieu mardi", a déclaré un diplomate de l'un des cinq membres permanents. De nouvelles consultations étaient prévues lundi matin.