Vendredi 20 Octobre 2006 22:39:14

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200606"><JOUR="20060608"><HEURE="2006060808">
Poussé dans ses retranchements par des témoins l'accusant de
violences graves, <HAP2>Emile</HAP2> <HAP2>Louis</HAP2> n'a pas bronché, mercredi 7 juin, et
maintenu ses dénégations devant la cour d'assises de Paris, qui le
juge en appel dans l'affaire des disparues de l'Yonne.
La journée consacrée à l'étude de la personnalité de l'accusé, 72 ans,
n'a pas abordé le septuple assassinat, qui <HAP1>lui</HAP1> a valu la perpétuité en
première instance. Mais elle a donné lieu à une succession de
témoignages accablants pour <HAP2>Emile</HAP2> <HAP2>Louis</HAP2>, qui les a tous récusés en
invoquant, c'est selon, un complot ourdi par des membres de sa famille
ou "un coup monté" des gendarmes.

FICHIER 2

§ <MOIS="200606"><JOUR="20060608"><HEURE="2006060813">
Poussé dans ses retranchements par des témoins l'accusant de
violences graves, <HAP2>Emile</HAP2> <HAP2>Louis</HAP2> n'a pas bronché, mercredi 7 juin, et
maintenu ses dénégations devant la cour d'assises de Paris, qui le
juge en appel dans l'affaire des disparues de l'Yonne.
La journée consacrée à l'étude de la personnalité de l'accusé, 72 ans,
n'a pas abordé le septuple assassinat, qui <HAP1>lui</HAP1> a valu la perpétuité en
première instance. Mais elle a donné lieu à une succession de
témoignages accablants pour <HAP1>lui</HAP1>, qui les a tous récusés en invoquant,
c'est selon, un complot ourdi par des membres de sa famille ou "un
coup monté" des gendarmes.