Vendredi 20 Octobre 2006 22:38:39

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060208"><HEURE="2006020812">
La France est disposée, si New Delhi le souhaite, à reprendre
l'amiante qui doit être encore retirée du Clemenceau, a redit,
mercredi 8 février, l'ambassadeur de France en Inde, Dominique Girard.
Proposition en avait déjà été faite le 26 janvier. Le porte-avions,
désarmé, fait route vers l'Inde où il doit être démantelé. Le 13
février, la Cour suprême indienne doit trancher et décider si le
bateau peut ou non entrer dans les eaux territoriales indiennes.
"Notre engagement est entier et nous sommes disposés à reprendre
l'amiante qui sera retiré du navire, quelle que soit sa quantité, si
les autorités indiennes le désirent", a déclaré l'ambassadeur lors
d'un point-presse tenu à l'issue d'une visite des chantiers d'Alang,
dans l'Etat du Gujarat (ouest) où l'ancien fleuron de la flotte
française doit être démoli.
Dans le même temps, à Paris, la ministre de la défense française,
Michèle Alliot-Marie, a indiqué devant le Sénat qu'il restait 46
tonnes de produits contenant de l'amiante à bord du Clemenceau, et
qu'elles étaient "dans des parties inaccessibles sans toucher à sa
navigabilité".
"PAS DE PLAN B"
"Nous nous sentirons liés par la décision du gouvernement indien et
des tribunaux indiens. Il est hors de question de contraindre
l'Inde", a ajouté le diplomate, assurant qu'il n'y avait "pas de plan
B" dans le cas où la Cour suprême indienne refuserait au Clemenceau
l'accès aux eaux territoriales indiennes.
Ces propos constituent une concession significative de la part du
gouvernement français, qui doit faire face à l'adversité de Greenpeace
et des organisations syndicales indiennes, qui s'opposent à ce que le
porte-<HAP1><HAP1-et-2>avion</HAP1-et-2></HAP1> pénètre dans les eaux territoriales indiennes tant que se
trouvent toujours à son bord des subtances toxiques, amiante comprise.
"Nous allons apporter l'équipement adéquat afin de nous assurer que
les conditions de travail (des personnes travaillant sur le chantier
du Clemenceau) soient les mêmes qu'en Europe", a promis l'ambassadeur,
se disant satisfait de ce qu'il avait vu lors de sa visite des
chantiers navals. Paris a dépêché sa propre équipe d'experts et
surveillera de près la santé des quelque 45 ouvriers qui seront
impliqués dans le retrait de l'amiante.
Parti de France le 31 décembre, le porte-avions doit être démoli sur
le chantier Shree Ram Scrap Vessel, à Alang, après avoir subi la fin
de son désamiantage. Il ne resterait à bord, selon le ministère de la
défense français, que 46 tonnes de matériaux amiantés ne pouvant être
retirées "sans menacer la structure du navire". Les associations
écologistes contestent ces chiffres. Greenpeace a publié, vendredi 3
février, deux nouvelles évaluations d'experts évaluant entre 500 et 1
000 tonnes la quantité encore à bord de matériaux contenant de
l'amiante.
La Commission de contrôle de la Cour suprême indienne (SCMC) avait
indiqué, lundi 6 février, qu'elle attendait toujours des données de
Paris pour rendre son rapport à la Cour pour son jugement attendu le
13 février.

FICHIER 2

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060208"><HEURE="2006020813">
La France est disposée, si New Delhi le souhaite, à reprendre
l'amiante qui doit être encore retirée du Clemenceau, a redit,
mercredi 8 février, l'ambassadeur de France en Inde, Dominique Girard.
Proposition en avait déjà été faite le 26 janvier. Le porte-avions,
désarmé, fait route vers l'Inde où il doit être démantelé. Le 13
février, la Cour suprême indienne doit trancher et décider si le
bateau peut ou non entrer dans les eaux territoriales indiennes.
"Notre engagement est entier et nous sommes disposés à reprendre
l'amiante qui sera retiré du navire, quelle que soit sa quantité, si
les autorités indiennes le désirent", a déclaré l'ambassadeur lors
d'un point-presse tenu à l'issue d'une visite des chantiers d'Alang,
dans l'Etat du Gujarat (ouest) où l'ancien fleuron de la flotte
française doit être démoli.
Dans le même temps, à Paris, la ministre de la défense française,
Michèle Alliot-Marie, a indiqué devant le Sénat qu'il restait 46
tonnes de produits contenant de l'amiante à bord du Clemenceau, et
qu'elles étaient "dans des parties inaccessibles sans toucher à sa
navigabilité".
"PAS DE PLAN B"
"Nous nous sentirons liés par la décision du gouvernement indien et
des tribunaux indiens. Il est hors de question de contraindre
l'Inde", a ajouté le diplomate, assurant qu'il n'y avait "pas de plan
B" dans le cas où la Cour suprême indienne refuserait au Clemenceau
l'accès aux eaux territoriales indiennes.
Ces propos constituent une concession significative de la part du
gouvernement français, qui doit faire face à l'adversité de Greenpeace
et des organisations syndicales indiennes, qui s'opposent à ce que le
porte-avions pénètre dans les eaux territoriales indiennes tant que se
trouvent toujours à son bord des subtances toxiques, amiante comprise.
"Nous allons apporter l'équipement adéquat afin de nous assurer que
les conditions de travail (des personnes travaillant sur le chantier
du Clemenceau) soient les mêmes qu'en Europe", a promis l'ambassadeur,
se disant satisfait de ce qu'il avait vu lors de sa visite des
chantiers navals. Paris a dépêché sa propre équipe d'experts et
surveillera de près la santé des quelque 45 ouvriers qui seront
impliqués dans le retrait de l'amiante.
Parti de France le 31 décembre, le porte-avions doit être démoli sur
le chantier Shree Ram Scrap Vessel, à Alang, après avoir subi la fin
de son désamiantage. Il ne resterait à bord, selon le ministère de la
défense français, que 46 tonnes de matériaux amiantés ne pouvant être
retirées "sans menacer la structure du navire". Les associations
écologistes contestent ces chiffres. Greenpeace a publié, vendredi 3
février, deux nouvelles évaluations d'experts évaluant entre 500 et 1
000 tonnes la quantité encore à bord de matériaux contenant de
l'amiante.
La Commission de contrôle de la Cour suprême indienne (SCMC) avait
indiqué, lundi 6 février, qu'elle attendait toujours des données de
Paris pour rendre son rapport à la Cour pour son jugement attendu le
13 février.