Vendredi 20 Octobre 2006 22:38:07

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060223"><HEURE="2006022312">
Youssouf Fofana, le chef présumé du "gang des barbares", soupçonné
d'<HAP1>avoir</HAP1> torturé à <HAP1>mort</HAP1> le <HAP2>jeune</HAP2> <HAP1>Ilan</HAP1> <HAP1>Halimi</HAP1>, près de Paris, a été
arrêté, dans la nuit du mercredi 22 <HAP2>au</HAP2> <HAP2>jeudi</HAP2> 23 février, à Abidjan,
par la police ivoirienne. <HAP1><HAP1-et-2>Auditionné</HAP1-et-2></HAP1> <HAP2>jeudi</HAP2> <HAP1><HAP1-et-2>matin</HAP1-et-2></HAP1> par la police
ivoirienne et les enquêteurs français, il a <HAP1><HAP1-et-2>reconnu</HAP1-et-2></HAP1> sa <HAP1><HAP1-et-2>participation</HAP1-et-2></HAP1>
<HAP2>au</HAP2> <HAP1><HAP1-et-2>meurtre</HAP1-et-2></HAP1> du <HAP2>jeune</HAP2> <HAP1><HAP1-et-2>homme</HAP1-et-2></HAP1>.
Dominique de Villepin a déclaré que le suspect devrait être rapatrié
"dans les toutes prochaines heures". "Dans ce drame odieux, il est
important que la justice puisse être rendue très rapidement", a-t-il
ajouté.
Le leader présumé du gang a été arrêté à un barrage routier de la
police dans le 15^e arrondissement d'Abidjan, dans le quartier
populaire d'Abobo, dans le nord-ouest de la capitale économique
ivoirienne. La police ivoirienne a été informée de la présence de
Youssouf Fofana dans une résidence de ce quartier dans la soirée. Elle
a alors mis en place un dispositif spécial pour son arrestation, car
elle ne pouvait intervenir directement, vu la configuration des lieux.
Des postes de contrôles ont été installés en début de soirée dans
<HAP1>toute</HAP1> la zone, quadrillée par les hommes de la police judiciaire.
Youssouf Fofana a été appréhendé à l'un de ces postes vers 23 h 30
alors qu'il sortait de cette résidence en <HAP2>voiture</HAP2>.
Selon le récit d'un policier ayant participé à l'arrestation, Youssouf
Fofana se trouvait à bord d'une <HAP2>voiture</HAP2> avec quatre autres personnes.
"A travers sa physionomie, on s'est demandé un peu 'est-ce que c'est
le monsieur qui était recherché ?'. Pour vérification d'identité, on
l'a emmené à la base et finalement après constatation, il s'est avéré
que c'était lui", a raconté ce policier sur France-Info. "On ne l'a
jamais brutalisé, il <HAP1>n</HAP1>'y a pas eu de violence. <HAP1>Il</HAP1> ne nous a pas
agressés", a-t-il précisé. Selon ce même policier, toutes les
personnes qui se trouvaient à bord de l'automobile ont été arrêtées et
interrogées par la police judiciaire.
ÉTROITE COLLABORATION DES POLICES FRANÇAISE ET IVOIRIENNE
La justice française avait lancé une commission rogatoire
internationale à l'encontre de Youssouf Fofana, Français d'origine
ivoirienne. Celui-ci était arrivé, mercredi 15 février, en Côte
d'Ivoire, par un vol d'Air France. Sa présence sur le sol ivoirien
avait été établie par la direction de la surveillance du territoire
(DST) ivoirienne, grâce à la liste des entrées sur le territoire, puis
confirmée aux enquêteurs français par les listes de passagers des vols
d'Air France en provenance de Paris.
Les deux enquêteurs français arrivés mardi à Abidjan ont travaillé en
étroite collaboration avec la police judiciaire ivoirienne, qui avait
annoncé son intention de collaborer pleinement avec la police
française dans cette affaire, sur laquelle elle travaillait déjà
depuis plusieurs jours. Tous les services de sécurité <HAP1>ivoiriens</HAP1>
police, gendarmerie, services secrets avaient été mis en alerte pour
empêcher la fuite du suspect.
A Paris, treize personnes, dont trois femmes, ont été mises en examen
dans cette affaire, dont onze sont en détention provisoire. Un
quatorzième suspect interpellé en Belgique est visé par un mandat
d'arrêt européen. Cinq autres suspects sont par ailleurs en <HAP1>garde</HAP1> à
<HAP1>vue</HAP1>, trois à Marseille et deux à Paris.

FICHIER 2

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060223"><HEURE="2006022313">
Youssouf Fofana, le chef présumé du "gang des barbares", soupçonné
d'<HAP1>avoir</HAP1> torturé à <HAP1>mort</HAP1> le <HAP2>jeune</HAP2> <HAP1>Ilan</HAP1> <HAP1>Halimi</HAP1>, près de Paris, a été
arrêté, dans la nuit du mercredi 22 <HAP2>au</HAP2> <HAP2>jeudi</HAP2> 23 février, à Abidjan,
par la police ivoirienne. <HAP2><HAP1-et-2>Interrogé</HAP1-et-2></HAP2> en <HAP1>garde</HAP1> à <HAP1>vue</HAP1> par des <HAP2><HAP1-et-2>policiers</HAP1-et-2></HAP2>
<HAP1>ivoiriens</HAP1> en présence de deux enquêteurs français, il a <HAP2><HAP1-et-2>admis</HAP1-et-2></HAP2> son
<HAP2><HAP1-et-2>implication</HAP1-et-2></HAP2> dans l'<HAP2><HAP1-et-2>enlèvement</HAP1-et-2></HAP2> d'<HAP1>Ilan</HAP1> <HAP1>Halimi</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>mais</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>nié</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>toute</HAP1>
<HAP2><HAP1-et-2>responsabilité</HAP1-et-2></HAP2> dans sa <HAP1>mort</HAP1>, dit-on de <HAP2><HAP1-et-2>source</HAP1-et-2></HAP2> judiciaire à Paris. "<HAP1>Il</HAP1>
a dit que ce <HAP1>n</HAP1>'était pas <HAP2><HAP1-et-2>prévu</HAP1-et-2></HAP2> de le <HAP2><HAP1-et-2>tuer</HAP1-et-2></HAP2>. <HAP1>Il</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>voulait</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>seulement</HAP1-et-2></HAP2> de
l'<HAP2><HAP1-et-2>argent</HAP1-et-2></HAP2>", a <HAP2><HAP1-et-2>rapporté</HAP1-et-2></HAP2> un policier qui a <HAP2><HAP1-et-2>requis</HAP1-et-2></HAP2> l'<HAP2><HAP1-et-2>anonymat</HAP1-et-2></HAP2>. Youssouf
Fofana <HAP2><HAP1-et-2>nie</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>avoir</HAP1> <HAP2><HAP1-et-2>agi</HAP1-et-2></HAP2> par <HAP2><HAP1-et-2>antisémitisme</HAP1-et-2></HAP2>.
Dominique de Villepin a déclaré que le suspect devrait être rapatrié
"dans les toutes prochaines heures". "Dans ce drame odieux, il est
important que la justice puisse être rendue très rapidement", a-t-il
ajouté.
Le leader présumé du gang a été arrêté à un barrage routier de la
police dans le 15^e arrondissement d'Abidjan, dans le quartier
populaire d'Abobo, dans le nord-ouest de la capitale économique
ivoirienne. La police ivoirienne a été informée de la présence de
Youssouf Fofana dans une résidence de ce quartier dans la soirée. Elle
a alors mis en place un dispositif spécial pour son arrestation, car
elle ne pouvait intervenir directement, vu la configuration des lieux.
Des postes de contrôles ont été installés en début de soirée dans
<HAP1>toute</HAP1> la zone, quadrillée par les hommes de la police judiciaire.
Youssouf Fofana a été appréhendé à l'un de ces postes vers 23 h 30
alors qu'il sortait de cette résidence en <HAP2>voiture</HAP2>.
Selon le récit d'un policier ayant participé à l'arrestation, Youssouf
Fofana se trouvait à bord du <HAP2><HAP1-et-2>véhicule</HAP1-et-2></HAP2> avec quatre autres personnes. "A
travers sa physionomie, on s'est demandé un peu 'est-ce que c'est le
monsieur qui était recherché ?'. Pour vérification d'identité, on l'a
emmené à la base et finalement après constatation, il s'est avéré que
c'était lui", a raconté ce policier sur France-Info. "On ne l'a jamais
brutalisé, il <HAP1>n</HAP1>'y a pas eu de violence. <HAP1>Il</HAP1> ne nous a pas agressés",
a-t-il précisé. Selon ce même policier, toutes les personnes qui se
trouvaient à bord de l'automobile ont été arrêtées et interrogées par
la police judiciaire.
ÉTROITE COLLABORATION DES POLICES FRANÇAISE ET IVOIRIENNE
La justice française avait lancé une commission rogatoire
internationale à l'encontre de Youssouf Fofana, Français d'origine
ivoirienne. Celui-ci était arrivé, mercredi 15 février, en Côte
d'Ivoire, par un vol d'Air France. Sa présence sur le sol ivoirien
avait été établie par la direction de la surveillance du territoire
(DST) ivoirienne, grâce à la liste des entrées sur le territoire, puis
confirmée aux enquêteurs français par les listes de passagers des vols
d'Air France en provenance de Paris.
Les deux enquêteurs français arrivés mardi à Abidjan ont travaillé en
étroite collaboration avec la police judiciaire ivoirienne, qui avait
annoncé son intention de collaborer pleinement avec la police
française dans cette affaire, sur laquelle elle travaillait déjà
depuis plusieurs jours. Tous les services de sécurité <HAP1>ivoiriens</HAP1>
police, gendarmerie, services secrets avaient été mis en alerte pour
empêcher la fuite du suspect.
A Paris, treize personnes, dont trois femmes, ont été mises en examen
dans cette affaire, dont onze sont en détention provisoire. Un
quatorzième suspect interpellé en Belgique est visé par un mandat
d'arrêt européen. Cinq autres suspects sont par ailleurs en <HAP1>garde</HAP1> à
<HAP1>vue</HAP1>, trois à Marseille et deux à Paris.