Vendredi 20 Octobre 2006 22:37:54

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200603"><JOUR="20060320"><HEURE="2006032018">
Sans surprise, le tribunal des affaires de sécurité sociale de Nantes
a débouté lundi 20 mars un couple d'homosexuelles, mères d'un petit
garçon de 21 mois et d'une petite fille de 15 jours, qui réclamaient
le droit au congé paternité.
Basile était né après que Karine a pratiqué une insémination
artificielle en Belgique. Elodie, sa compagne, avait demandé un congé
paternité à la Caisse primaire d'assurance-maladie de Nantes, et avait
porté plainte après le refus de celle-ci. A l'audience, le 23 janvier,
le directeur de la CPAM de Nantes, Claude Frémont, avait expliqué
qu'Elodie n'avait pas droit à ce congé car la loi stipule que seul le
"père" peut y prétendre.

FICHIER 2

§ <MOIS="200603"><JOUR="20060321"><HEURE="2006032107">
Sans surprise, le tribunal des affaires de sécurité sociale de Nantes
a débouté, lundi 20 mars, un couple d'homosexuelles, mères d'un petit
garçon de <HAP2><HAP1-et-2>vingt</HAP1-et-2></HAP2> et un mois et d'une petite fille de <HAP2><HAP1-et-2>quinze</HAP1-et-2></HAP2> jours, qui
réclamaient le droit au congé paternité.
Basile était né après que Karine a pratiqué une insémination
artificielle en Belgique. Elodie, sa compagne, avait demandé un congé
paternité à la Caisse primaire d'assurance-maladie de Nantes, et avait
porté plainte après le refus de celle-ci. A l'audience, le 23 janvier,
le directeur de la CPAM de Nantes, Claude Frémont, avait expliqué
qu'Elodie n'avait pas droit à ce congé car la loi stipule que seul le
"père" peut y prétendre.