Vendredi 20 Octobre 2006 22:37:37

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200605"><JOUR="20060515"><HEURE="2006051511">
Silences, dénégations et justifications du général Rondot n'y
changent rien : les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, chargés de
l'enquête sur l'affaire Clearstream, ont d'ores et déjà réuni assez
d'éléments pour rendre nécessaire l'élargissement de leur saisine.
Ouverte le 3 septembre 2004 du chef de "dénonciation calomnieuse",
après les plaintes de plusieurs personnalités citées dans les listings
de la banque luxembourgeoise, l'information judiciaire met en effet
clairement en évidence la falsification de ces documents qui avaient
été adressés au juge Renaud Van Ruymbeke, puis à certains journaux. De
fait, les dirigeants de Clearstream ont déposé, le 27 avril, une
plainte contre "X" dans laquelle ils retiennent, outre la
"dénonciation calomnieuse", les qualifications pénales de "vol, faux
et usage de faux". Cette plainte devrait être bientôt jointe au
dossier en cours ce qui rendra alors <HAP1><HAP1-et-2>possible</HAP1-et-2></HAP1> des poursuites contre
les falsificateurs et leurs complices éventuels, passibles de trois
ans d'emprisonnement.

FICHIER 2

§ <MOIS="200605"><JOUR="20060515"><HEURE="2006051513">
Silences, dénégations et justifications du général Rondot n'y
changent rien : les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, chargés de
l'enquête sur l'affaire Clearstream, ont d'ores et déjà réuni assez
d'éléments pour rendre nécessaire l'élargissement de leur saisine.
Ouverte le 3 septembre 2004 du chef de "dénonciation calomnieuse",
après les plaintes de plusieurs personnalités citées dans les listings
de la banque luxembourgeoise, l'information judiciaire met en effet
clairement en évidence la falsification de ces documents qui avaient
été adressés au juge Renaud Van Ruymbeke, puis à certains journaux. De
fait, les dirigeants de Clearstream ont déposé, le 27 avril, une
plainte contre "X" dans laquelle ils retiennent, outre la
"dénonciation calomnieuse", les qualifications pénales de "vol, faux
et usage de faux". Cette plainte devrait être bientôt jointe au
dossier en cours ce qui rendra alors <HAP2><HAP1-et-2>possibles</HAP1-et-2></HAP2> des poursuites contre
les falsificateurs et leurs complices éventuels, passibles de trois
ans d'emprisonnement.