Vendredi 20 Octobre 2006 22:37:18

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200603"><JOUR="20060301"><HEURE="2006030109">
Le ministre de l'économie, Thierry Breton, a lancé, mardi 28 février,
une réforme en profondeur des soldes en France, portant sur leur
durée, leurs dates et l'assouplissement des promotions.
Le projet devrait être bouclé dans deux mois, en avril, a précisé M.
Breton à l'issue d'une réunion du <HAP1><HAP1-et-2>conseil</HAP1-et-2></HAP1> national de la consommation
(CNC) à Bercy avec les représentants des consommateurs et des
commerçants. "On a décidé qu'il y avait trois pistes de réflexion sur
les soldes", a dit le ministre.
La possibilité d'instaurer une date fixe pour les soldes sur tout le
territoire va être étudiée, ainsi qu'un raccourcissement de la durée
des soldes d'hiver ou d'été, quitte à rallonger l'autre période.Le
troisième volet porte sur un assouplissement des promotions, comme le
souhaite une grande partie des commerçants : "Quelles régulations
appliquer aux fins de série, aux déstockages ?", a demandé M. Breton.
Pour le moment, les reventes à perte ne sont autorisées qu'aux moments
des soldes. La réforme pourrait éventuellement autoriser les
commerçants à le faire pendant ces promotions. "On s'est donné deux
mois" pour mener la réflexion avec les services des ministères de
l'économie et du commerce, a dit M. Breton. La piste d'une
multiplication des soldes en France n'est "pas celle que nous
privilégions", a affirmé le ministre du commerce, Renaud Dutreil.
PAVÉ DANS LA MARE
Thierry Breton, en <HAP1><HAP1-et-2>charge</HAP1-et-2></HAP1> de la consommation, avait jeté un pavé dans
la mare début janvier en s'interrogeant sur l'opportunité d'une
multiplication de soldes pour doper la consommation, comme dans
d'autres pays européens, quitte à faire voter une nouvelle loi. M.
Dutreil s'y était d'emblée montré opposé. Pour l'instant, les soldes
restent limités à deux périodes (l'une en été, l'autre en hiver) et
<HAP1><HAP1-et-2>elles</HAP1-et-2></HAP1> sont strictement encadrés.
L'association Consommation, logement et cadre de vie (CLCV), prenant
l'exemple allemand, se dit <HAP1><HAP1-et-2>carrément</HAP1-et-2></HAP1> pour une déréglementation et donc
une plus grande liberté pour les commerçants de faire des soldes quand
<HAP1>ils</HAP1> le veulent.
Mais les commerçants, craignant pour leurs marges, se disent tous
contre. La Confédération générale des petites et moyennes entreprises
(CGPME) a condamné aussi cette éventualité : "Cela mettrait en péril
la stabilité financière des commerçants, car si les soldes engendrent
une augmentation de chiffres d'affaires, la marge dégagée est loin
d'être équivalente, bien au contraire !", a-t-elle indiqué mardi.
Si l'hypothèse de la multiplication des soldes a suscité la polémique,
la réunion a permis d'évoquer d'autres questions où il y a désaccord.
Depuis des années, différentes voix s'élèvent notamment sur la durée
des soldes (quatre à six semaines selon les départements). Les
commerçants parisiens, par exemple, penchent pour une période plus
courte, car au bout de deux semaines l'intérêt des clients s'émousse
selon eux.
A l'opposé, les commerçants indépendants, les grands magasins et la
CGPME ne sont pas opposés à une durée de six semaines. Pour eux, les
commerçants sont libres d'arrêter les soldes avant, alors que si une
nouvelle loi fixait une durée de trois semaines, par exemple, il
serait impossible d'aller au-delà.

FICHIER 2

§ <MOIS="200603"><JOUR="20060301"><HEURE="2006030110">
Le ministre de l'économie, Thierry Breton, a lancé, mardi 28 février,
une réforme en profondeur des soldes en France, portant sur leur
durée, leurs dates et l'assouplissement des promotions.
Le projet devrait être bouclé dans deux mois, en avril, a précisé M.
Breton à l'issue d'une réunion du <HAP2><HAP1-et-2>Conseil</HAP1-et-2></HAP2> national de la consommation
(CNC) à Bercy avec les représentants des consommateurs et des
commerçants. "On a décidé qu'il y avait trois pistes de réflexion sur
les soldes", a dit le ministre.
La possibilité d'instaurer une date fixe pour les soldes sur tout le
territoire va être étudiée, ainsi qu'un raccourcissement de la durée
des soldes d'hiver ou d'été, quitte à rallonger l'autre période.Le
troisième volet porte sur un assouplissement des promotions, comme le
souhaite une grande partie des commerçants : "Quelles régulations
appliquer aux fins de série, aux déstockages ?", a demandé M. Breton.
Pour le moment, les reventes à perte ne sont autorisées qu'aux moments
des soldes. La réforme pourrait éventuellement autoriser les
commerçants à le faire pendant ces promotions. "On s'est donné deux
mois" pour mener la réflexion avec les services des ministères de
l'économie et du commerce, a dit M. Breton. La piste d'une
multiplication des soldes en France n'est "pas celle que nous
privilégions", a affirmé le ministre du commerce, Renaud Dutreil.
PAVÉ DANS LA MARE
Thierry Breton, <HAP2><HAP1-et-2>chargé</HAP1-et-2></HAP2> de la consommation, avait jeté un pavé dans la
mare début janvier en s'interrogeant sur l'opportunité d'une
multiplication de soldes pour doper la consommation, comme dans
d'autres pays européens, quitte à faire voter une nouvelle loi. M.
Dutreil s'y était d'emblée montré opposé. Pour l'instant, les soldes
restent limités à deux périodes (l'une en été, l'autre en hiver), et
<HAP1>ils</HAP1> sont strictement encadrés.
L'association Consommation, logement et cadre de vie (CLCV), prenant
l'exemple allemand, se dit <HAP2><HAP1-et-2>franchement</HAP1-et-2></HAP2> pour une déréglementation et
donc une plus grande liberté pour les commerçants de faire des soldes
quand <HAP1>ils</HAP1> le veulent.
Mais les commerçants, craignant pour leurs marges, se disent tous
contre. La Confédération générale des petites et moyennes entreprises
(CGPME) a condamné aussi cette éventualité : "Cela mettrait en péril
la stabilité financière des commerçants, car si les soldes engendrent
une augmentation de chiffres d'affaires, la marge dégagée est loin
d'être équivalente, bien au contraire !", a-t-elle indiqué mardi.
Si l'hypothèse de la multiplication des soldes a suscité la polémique,
la réunion a permis d'évoquer d'autres questions où il y a désaccord.
Depuis des années, différentes voix s'élèvent notamment sur la durée
des soldes (quatre à six semaines selon les départements). Les
commerçants parisiens, par exemple, penchent pour une période plus
courte, car au bout de deux semaines l'intérêt des clients s'émousse,
selon eux.
A l'opposé, les commerçants indépendants, les grands magasins et la
CGPME ne sont pas opposés à une durée de six semaines. Pour eux, les
commerçants sont libres d'arrêter les soldes avant, alors que si une
nouvelle loi fixait une durée de trois semaines, par exemple, il
serait impossible d'aller au-delà.