Vendredi 20 Octobre 2006 22:36:05

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060220"><HEURE="2006022014">
Alors que l'affaire des caricatures de Mahomet continue d'agiter le
monde musulman, le pape Benoît XVI a estimé, lundi 20 février, qu'il
était "nécessaire et urgent que les religions et leurs symboles soient
respectés". Le Vatican a attendu l'arrivée du nouvel ambassadeur
marocain auprès du Saint-Siège, Ali Achour, pour prendre position.
Même si c'<HAP1>est</HAP1> la première intervention personnelle du souverain
pontife dans l'affaire des dessins publiés par la presse européenne
depuis l'automne, Benoît XVI avait déjà laissé entendre quelle était
la position de l'Eglise catholique il y a quelques jours. Le 16
février, à l'issue d'une audience au Vatican, le premier ministre
libanais, Fouad Siniora, a indiqué avoir abordé le sujet avec le pape
et affirmé que, pour <HAP1><HAP1-et-2>lui</HAP1-et-2></HAP1>, "en aucun cas la liberté d'expression ne
devait être une atteinte aux libertés de chacun". Le pape <HAP1><HAP1-et-2>allemand</HAP1-et-2></HAP1>
aurait aussi "soutenu l'idée que c'était le droit de tous d'exprimer
ses sentiments et ses opinions, mais d'une manière pacifique".
REJET DES "PROVOCATIONS"
Dans la droite ligne de sa discussion avec le chef du gouvernement
libanais, Benoît XVI a demandé, lundi, "que les croyants ne soient pas
l'objet de provocations blessant leur démarche et leurs sentiments
religieux" pour "favoriser la paix et la compréhension entre les
peuples et entre les hommes".
Le pape, qui s'exprimait en français, a cependant ajouté que
"l'intolérance et la violence ne pouvaient jamais se justifier comme
des réponses aux offenses, car ce ne sont pas des réponses
compatibles avec les principes sacrés de la religion". Il a également
dénoncé "les actions de ceux qui profitent délibérément de l'offense
causée aux sentiments religieux pour fomenter des actes violents,
d'autant plus que cela se produit à des fins étrangères à la
religion".

FICHIER 2

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060220"><HEURE="2006022015">
Alors que l'affaire des caricatures de Mahomet continue d'agiter le
monde musulman, le pape Benoît XVI a estimé, lundi 20 février, qu'il
était "nécessaire et urgent que les religions et leurs symboles soient
respectés". Le Vatican a attendu l'arrivée du nouvel ambassadeur
marocain auprès du Saint-Siège, Ali Achour, pour prendre position.
Même si c'<HAP1>est</HAP1> la première intervention personnelle du souverain
pontife dans l'affaire des dessins publiés par la presse européenne
depuis l'automne, Benoît XVI avait déjà laissé entendre quelle était
la position de l'Eglise catholique il y a quelques jours. Le 16
février, à l'issue d'une audience au Vatican, le premier ministre
libanais, Fouad Siniora, a indiqué avoir abordé le sujet avec le pape
et affirmé que, pour <HAP2><HAP1-et-2>celui</HAP1-et-2></HAP2>-<HAP2><HAP1-et-2>ci</HAP1-et-2></HAP2>, "en aucun cas la liberté d'expression
ne devait être une atteinte aux libertés de chacun". Le pape aurait
aussi "soutenu l'idée que c'<HAP1>est</HAP1> le droit de tous d'exprimer ses
sentiments et ses opinions, mais d'une manière pacifique".
REJET DES "PROVOCATIONS"
Dans la droite ligne de sa discussion avec le chef du gouvernement
libanais, Benoît XVI a demandé lundi, "que les croyants ne soient pas
l'objet de provocations blessant leur démarche et leurs sentiments
religieux" pour "favoriser la paix et la compréhension entre les
peuples et entre les hommes".
Le pape, qui s'exprimait en français, a cependant ajouté que
"l'intolérance et la violence ne pouvaient jamais se justifier comme
des réponses aux offenses, car ce ne sont pas des réponses
compatibles avec les principes sacrés de la religion". Il a également
dénoncé "les actions de ceux qui profitent délibérément de l'offense
causée aux sentiments religieux pour fomenter des actes violents,
d'autant plus que cela se produit à des fins étrangères à la
religion".