§ Au moins 27 personnes ont été tuées et 39 autres blessées, mardi 28 février, dans l'explosion quasi simultanée de deux voitures piégées et d'un kamikaze dans plusieurs quartiers de Bagdad, selon un bilan encore provisoire de la police. La première explosion a eu lieu sur un marché à Karrada, au centre-ville. La deuxième a eu lieu à Bagdad-Jadida (sud-est), près d'un bureau de poste à une heure de grande affluence. Le troisième attentat a été l'uvre d'un kamikaze qui a fait sauter sa ceinture explosive au milieu d'une file d'attente de personnes qui achetaient du fuel domestique dans le quartier al-Amine (sud-est). VIVES TENSIONS La police précise que les trois attentats ont eu lieu vers midi (10 heures à Paris). Les tensions sont très vives entre les communautés chiite et sunnite depuis l'attentat qui a endommagé, mercredi 22 février, la mosquée d'or de Samarra, haut-lieu du chiisme irakien. Selon le Washington Post du mardi 28 février, les violences entre communautés ont entraîné la mort de plus de 1 300 Irakiens. Ce bilan est près de trois fois supérieur à celui fourni par l'armée américaine et les médias. § Au moins 27 personnes ont été tuées et 39 autres blessées, mardi 28 février, lors de l'explosion quasi simultanée de deux voitures piégées et d'un kamikaze dans plusieurs quartiers de Bagdad, selon un bilan encore provisoire de la police. La première explosion a eu lieu sur un marché à Karrada, au centre-ville. La deuxième a eu lieu à Bagdad-Jadida (sud-est), près d'un bureau de poste à une heure de grande affluence. Le troisième attentat a été l'uvre d'un kamikaze qui a fait sauter sa ceinture explosive au milieu d'une file d'attente de personnes qui achetaient du fuel domestique dans le quartier d'Al-Amine (sud-est). VIVES TENSIONS La police précise que les trois attentats ont eu lieu vers midi (10 heures à Paris). Les tensions sont très vives entre les communautés chiite et sunnite depuis l'attentat qui a endommagé, mercredi 22 février, la mosquée d'or de Samarra, haut lieu du chiisme irakien. Selon le Washington Post du mardi 28 février, les violences entre communautés ont entraîné la mort de plus de 1 300 Irakiens. Ce bilan est près de trois fois supérieur à celui fourni par l'armée américaine et les médias.