Vendredi 20 Octobre 2006 22:34:56

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200601"><JOUR="20060131"><HEURE="2006013117">
1 000 emplois au Japon et 4 000 dans le reste du monde : Fujifilm a
annoncé un plan de <HAP2>réduction</HAP2> d'effectifs, mardi 31 janvier. Il doit
prendre effet d'ici le mois de septembre et s'accompagne de la
délocalisation en Chine de la production d'appareils photo numériques.
Les mesures drastiques annoncées par le directeur général du groupe,
Shigetaka Komori, sont justifiées par les mauvais résultats de
Fujifilm. C'est la production d'appareils numériques et de films photo
qui est touchée. "L'environnement entourant notre division image a
empiré de façon beaucoup plus drastique que ce que nous pensions", a
commenté M. Komori.
Depuis l'avènement du numérique, des fabriquants de matériel
<HAP2>photographique</HAP2>,, comme Nikon et Konica Minolta se sont complètement
retirés de la photo analogique. Pas question pour l'instant d'adopter
cette stratégie à Fujifilm, malgré la chute libre de la rentabilité.
M. Koromi est convaincu que "la consommation de films ne disparaîtra
jamais" car "il y a encore beaucoup de gens qui ont une haute opinion
de la qualité de la photo sur <HAP2>film</HAP2>". Le groupe souhaite donc
"contribuer à préserver la culture photo analogique" et maintient sa
production de <HAP2>film</HAP2> <HAP2>photographique</HAP2>. Elle est cependant considérablement
réduite.
LA DEMANDE D'APPAREILS NUMÉRIQUES DIMINUE
Le Japonais cherche aussi à ne pas mettre tous ses ufs dans le même
panier. Car la rentabilité diminue aussi dans le domaine numérique.
D'après le directeur général de Fujifilm, les prix moyens des
appareils numériques sur les marchés mondiaux ont chuté de 10 % en un
an et la demande est en train de ralentir. Pour réduire les coûts de
<HAP2>réduction</HAP2> et faire face à la concurrence, le groupe a donc décidé de
déménager les sites de production d'appareils numériques du Japon vers
la Chine.
Au total, Fujifilm consacrera 165 milliards de yens (soit 1,16
milliard d'euros) à ces restructurations. Les prévisions de résultat
pour l'exercice 2005-2006 sont donc revues en nette baisse. Au lieu
des 85 milliards de yens (soit 599 millions d'euros) précédemment
escomptés, le groupe s'attend à faire un bénéfice net de seulement 20
milliards de yens (soit 141 millions d'euros, en baisse de 76 % par
rapport à 2004-2005).

FICHIER 2

§ <MOIS="200601"><JOUR="20060131"><HEURE="2006013118">
1 000 emplois au Japon et 4 000 dans le reste du monde : Fujifilm a
annoncé un plan de <HAP2>réduction</HAP2> d'effectifs, mardi 31 janvier. Il doit
prendre effet d'ici le mois de septembre et s'accompagne de la
délocalisation en Chine de la production d'appareils photo numériques.
Les mesures drastiques annoncées par le directeur général du groupe,
Shigetaka Komori, sont justifiées par les mauvais résultats de
Fujifilm. C'est la production d'appareils numériques et de films photo
qui est touchée. "L'environnement entourant notre division image a
empiré de façon beaucoup plus drastique que ce que nous pensions", a
commenté M. Komori.
Depuis l'avènement du numérique, des fabriquants de matériel
<HAP2>photographique</HAP2>, comme Nikon et Konica Minolta, se sont complètement
retirés de la photo analogique. Pas question pour l'instant d'adopter
cette stratégie à Fujifilm, malgré la chute libre de la rentabilité.
M. Koromi est convaincu que "la consommation de films ne disparaîtra
jamais" car "il y a encore beaucoup de gens qui ont une haute opinion
de la qualité de la photo sur <HAP2>film</HAP2>". Le groupe souhaite donc
"contribuer à préserver la culture photo analogique" et maintient sa
production de films <HAP2><HAP1-et-2>photographiques</HAP1-et-2></HAP2>. Elle est cependant
considérablement réduite.
LA DEMANDE D'APPAREILS NUMÉRIQUES DIMINUE
Le Japonais cherche aussi à ne pas mettre tous ses ufs dans le même
panier. Car la rentabilité diminue aussi dans le domaine numérique.
D'après le directeur général de Fujifilm, les prix moyens des
appareils numériques sur les marchés mondiaux ont chuté de 10 % en un
an et la demande est en train de ralentir. Pour réduire les coûts de
production et faire face à la concurrence, le groupe a donc décidé de
déménager les sites de production d'appareils numériques du Japon vers
la Chine.
Au total, Fujifilm consacrera 165 milliards de yens (soit 1,16
milliard d'euros) à ces restructurations. Les prévisions de résultat
pour l'exercice 2005-2006 sont donc revues en nette baisse. Au lieu
des 85 milliards de yens (soit 599 millions d'euros) précédemment
escomptés, le groupe s'attend à faire un bénéfice net de seulement 20
milliards de yens (soit 141 millions d'euros, en baisse de 76 % par
rapport à 2004-2005).