Vendredi 20 Octobre 2006 22:34:37

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200601"><JOUR="20060127"><HEURE="2006012709">
Une caractéristique génétique commune aux différentes souches des
virus de la grippe aviaire est absente dans la version humaine de la
grippe, ce qui pourrait expliquer leur plus grande virulence quand ils
infectent l'homme. "Les virus de la grippe aviaire ont tous une
caractéristique moléculaire particulière dont sont dépourvus les
virus de la grippe chez l'homme ce qui pourrait les rendre plus
toxiques quand ils infectent des cellules humaines", ont expliqué des
épidémiologistes américains dont les travaux ont paru dans la revue
Science datée du 27 janvier.
Le virus de la grippe aviaire qui a infecté depuis 2003 au moins 152
personnes en Asie et en Turquie dont 83 sont mortes , aussi bien que
la souche responsable de la pandémie très meurtrière de 1918, avaient
cette caractéristique, ont-ils souligné. Les virus responsables des
autres grandes épidémies de grippe (1957 et 1968) à faible taux de
mortalité, en étaient dépourvus.
Ces chercheurs pensent que cette caractéristique génétique permet au
virus d'origine aviaire d'interférer avec le fonctionnement de
certaines protéines dans le corps humain.
"VÉRITABLE MINE D'INFORMATIONS"
Cette découverte a été faite dans le cadre d'une analyse de 2 196
gènes de virus de la grippe aviaire et de 169 génomes complets de ces
pathogènes tirés de divers échantillons prélevés sur des oiseaux
sauvages depuis 30 ans.
Ces travaux, conduits par John Obenauer à l'hôpital St. Jude de
l'université du Tennessee, "donnent le premier éclairage de fond sur
l'évolution des virus de la grippe dans la nature, à la source de
toutes les souches virales de la grippe infectant les humains, les
animaux domestiques et les oiseaux sauvages", a souligné Robert
Webster, un des grands experts mondiaux de la grippe et professeur à
St. Jude. "C'est une véritable mine d'informations et nous invitons
tous les chercheurs à nous aider à percer les secrets de la grippe",
a-t-il ajouté.
"L'intérêt majeur de ce projet est qu'il donne à la communauté
scientifique un nombre beaucoup plus grand de nouvelles données et
d'outils d'analyse pouvant faire avancer la compréhension de ces
virus potentiellement très dangereux", a ajouté John Obenauer. "<HAP1><HAP1-et-2>Ceci</HAP1-et-2></HAP1>
devrait déboucher sur des stratégies efficaces pour le contrôle de ces
pathogènes chez les volatiles et les humains", a-t-il ajouté.
Le virus H5N1 actuel de la grippe aviaire n'a pas encore muté pour se
transmettre de personne à personne mais, selon les épidémiologistes,
ce n'est qu'une question de temps. Le virus pourrait alors provoquer
une pandémie tuant plusieurs millions de personnes dans le monde.
Les personnes malades ont été infectées à la suite de contacts avec
des volailles malades. L'épizootie de grippe aviaire a entraîné
l'abattage de centaines de millions de volailles, surtout en Asie.

FICHIER 2

§ <MOIS="200601"><JOUR="20060127"><HEURE="2006012710">
Une caractéristique génétique commune aux différentes souches des
virus de la grippe aviaire est absente dans la version humaine de la
grippe, ce qui pourrait expliquer leur plus grande virulence quand ils
infectent l'homme. "Les virus de la grippe aviaire ont tous une
caractéristique moléculaire particulière dont sont dépourvus les
virus de la grippe chez l'homme, ce qui pourrait les rendre plus
toxiques quand ils infectent des cellules humaines", ont expliqué des
épidémiologistes américains dont les travaux ont paru dans la revue
Science datée du 27 janvier.
Le virus de la grippe aviaire qui a infecté depuis 2003 au moins 152
personnes en Asie et en Turquie dont 83 sont mortes , aussi bien que
la souche responsable de la pandémie très meurtrière de 1918, avaient
cette caractéristique, ont-ils souligné. Les virus responsables des
autres grandes épidémies de grippe (1957 et 1968) à faible taux de
mortalité, en étaient dépourvus.
Ces chercheurs pensent que cette caractéristique génétique permet au
virus d'origine aviaire d'interférer avec le fonctionnement de
certaines protéines dans le corps humain.
"VÉRITABLE MINE D'INFORMATIONS"
Cette découverte a été faite dans le cadre d'une analyse de 2 196
gènes de virus de la grippe aviaire et de 169 génomes complets de ces
pathogènes tirés de divers échantillons prélevés sur des oiseaux
sauvages depuis <HAP2><HAP1-et-2>trente</HAP1-et-2></HAP2> ans.
Ces travaux, conduits par John Obenauer à l'hôpital St Jude de
l'université du Tennessee, "donnent le premier éclairage de fond sur
l'évolution des virus de la grippe dans la nature, à la source de
toutes les souches virales de la grippe infectant les humains, les
animaux domestiques et les oiseaux sauvages", a souligné Robert
Webster, un des grands experts mondiaux de la grippe et professeur à
St Jude. "C'est une véritable mine d'informations et nous invitons
tous les chercheurs à nous aider à percer les secrets de la grippe",
a-t-il ajouté.
"L'intérêt majeur de ce projet est qu'il donne à la communauté
scientifique un nombre beaucoup plus grand de nouvelles données et
d'outils d'analyse pouvant faire avancer la compréhension de ces
virus potentiellement très dangereux", a ajouté John Obenauer. "<HAP2><HAP1-et-2>Cela</HAP1-et-2></HAP2>
devrait déboucher sur des stratégies efficaces pour le contrôle de ces
pathogènes chez les volatiles et les humains", a-t-il ajouté.
Le virus H5N1 actuel de la grippe aviaire n'a pas encore muté pour se
transmettre de personne à personne mais, selon les épidémiologistes,
ce n'est qu'une question de temps. Le virus pourrait alors provoquer
une pandémie tuant plusieurs millions de personnes dans le monde.
Les personnes malades ont été infectées à la suite de contacts avec
des volailles malades. L'épizootie de grippe aviaire a entraîné
l'abattage de centaines de millions de volailles, surtout en Asie.