Vendredi 20 Octobre 2006 22:34:03

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060215"><HEURE="2006021510">
Le jeune homme <HAP1>dont</HAP1> le corps torturé a été découvert, lundi 13
février, à Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne), avait été enlevé le 21
janvier par un "gang organisé" qui exigeait une rançon de plusieurs
centaines de milliers d'euros. D'après le procureur de la République
de Paris, Jean-Claude Marin, le gang en question avait déjà réalisé au
moins trois tentatives d'enlèvement. Les ravisseurs du jeune homme
sont toujours en fuite.
Le jeune homme tué, âgé d'une vingtaine d'années et vendeur dans un
magasin de téléphonie à Paris, a été abordé dans la boutique où il
travaillait, le 17 janvier, par une jeune femme "avenante", d'origine
maghrébine, à laquelle il a donné son numéro de portable. Il a été
découvert lundi matin nu, bâillonné, menotté et portant des traces de
tortures et de graves brûlures, agonisant à proximité de la gare de
Sainte-Geneviève-des-Bois. D'après l'employeur de la victime, dans le
quartier où se trouve sa boutique, "c'est arrivé à trois ou quatre
personnes le mois dernier" d'être abordé par une charmante personne
et de disparaître après un premier rendez-vous, "surtout dans des
boutiques de téléphonie".
Demandant à la famille dans un premier temps, par courriel, par SMS ou
par téléphone, une rançon d'environ 400 000 ou 450 000 euros, les
ravisseurs ont ensuite réclamé "100 000 ou 200 000 euros". Ils ont
envoyé plusieurs fois à la famille, des photos de leur fils les yeux
bandés avec une coupure de presse pour attester de la date et donner
des "garanties de bonne santé". Selon le procureur, aucune rançon n'a
été versée, la famille n'étant de toute façon pas capable de réunir la
somme demandée. Un rendez-vous aurait été organisé avec les
ravisseurs, <HAP1>mais</HAP1> ceux-ci ne s'y seraient pas rendus. Le dernier
contact téléphonique remonte au 9 février.
APPEL À TÉMOINS
Les enquêteurs disent avoir identifié quatre "appâts" , quatre
séducteurs ou séductrices chargés d'attirer la victime dans un piège.
La première tentative d'enlèvement connue et semblant émaner du même
<HAP1>groupe</HAP1> date de début décembre 2005. Dans l'un des trois cas recensés
de tentative d'enlèvement, à Paris et dans sa région, le jeune homme
visé, à Créteil, était absent. C'est son père qui a été violemment
agressé par trois hommes dans un parking. Ceux-ci ont pris la fuite,
surpris par des passants.
Un appel à témoins a été lancé : deux portraits-robots d'une jeune
femme blonde ayant servi d'appât ont été diffusés ainsi <HAP1>que</HAP1> la photo
d'un <HAP1>suspect</HAP1>, le visage masqué jusqu'aux yeux. Les enquêteurs mettent
en <HAP1>garde</HAP1> contre des tentatives de séduction de "jolies jeunes filles
et de jolis garçons".

FICHIER 2

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060215"><HEURE="2006021511">
Le jeune homme <HAP1>dont</HAP1> le corps torturé a été découvert, lundi 13
février, à Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne), avait été enlevé le 21
janvier par un "gang organisé" qui exigeait une rançon de plusieurs
centaines de milliers d'euros. D'après le procureur de la République
de Paris, Jean-Claude Marin, le gang en question avait déjà réalisé au
moins trois tentatives d'enlèvement. Les enquêteurs ont <HAP2><HAP1-et-2>indiqué</HAP1-et-2></HAP2> <HAP1>que</HAP1>
les ravisseurs du jeune homme sont toujours en fuite <HAP1>mais</HAP1>, de <HAP2><HAP1-et-2>source</HAP1-et-2></HAP2>
<HAP2><HAP1-et-2>judiciaire</HAP1-et-2></HAP2>, <HAP2><HAP1-et-2>on</HAP1-et-2></HAP2> a <HAP2><HAP1-et-2>appris</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>qu</HAP1-et-2></HAP2>'un homme a été <HAP2><HAP1-et-2>placé</HAP1-et-2></HAP2> en <HAP1>garde</HAP1> à <HAP2><HAP1-et-2>vue</HAP1-et-2></HAP2> le 14
février. Le <HAP1>suspect</HAP1>, <HAP1>dont</HAP1> le <HAP2><HAP1-et-2>rôle</HAP1-et-2></HAP2> "n'est pas <HAP2><HAP1-et-2>encore</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>défini</HAP1-et-2></HAP2> par les
enquêteurs", "<HAP2><HAP1-et-2>pourrait</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>faire</HAP1-et-2></HAP2> <HAP2><HAP1-et-2>partie</HAP1-et-2></HAP2> du <HAP1>groupe</HAP1> de ravisseurs".
Le jeune homme tué, âgé d'une vingtaine d'années et vendeur dans un
magasin de téléphonie à Paris, a été abordé dans la boutique où il
travaillait, le 17 janvier, par une jeune femme "avenante", d'origine
maghrébine, à laquelle il a donné son numéro de portable. Il a été
découvert lundi matin nu, bâillonné, menotté et portant des traces de
tortures et de graves brûlures, agonisant à proximité de la gare de
Sainte-Geneviève-des-Bois. D'après l'employeur de la victime, dans le
quartier où se trouve sa boutique, "c'est arrivé à trois ou quatre
personnes le mois dernier" d'être abordé par une charmante personne
et de disparaître après un premier rendez-vous, "surtout dans des
boutiques de téléphonie".
Demandant à la famille dans un premier temps, par courriel, par SMS ou
par téléphone, une rançon d'environ 400 000 ou 450 000 euros, les
ravisseurs ont ensuite réclamé "100 000 ou 200 000 euros". Ils ont
envoyé plusieurs fois à la famille, des photos de leur fils les yeux
bandés avec une coupure de presse pour attester de la date et donner
des "garanties de bonne santé". Selon le procureur, aucune rançon n'a
été versée, la famille n'étant de toute façon pas capable de réunir la
somme demandée. Un rendez-vous aurait été organisé avec les
ravisseurs, <HAP1>mais</HAP1> ceux-ci ne s'y seraient pas rendus. Le dernier
contact téléphonique remonte au 9 février.
APPEL À TÉMOINS
Les enquêteurs disent avoir identifié quatre "appâts" , quatre
séducteurs ou séductrices chargés d'attirer la victime dans un piège.
La première tentative d'enlèvement connue et semblant émaner du même
<HAP1>groupe</HAP1> date de début décembre 2005. Dans l'un des trois cas recensés
de tentative d'enlèvement, à Paris et dans sa région, le jeune homme
visé, à Créteil, était absent. C'est son père qui a été violemment
agressé par trois hommes dans un parking. Ceux-ci ont pris la fuite,
surpris par des passants.
Un appel à témoins a été lancé : deux portraits-robots d'une jeune
femme blonde ayant servi d'appât ont été diffusés ainsi <HAP1>que</HAP1> la photo
d'un <HAP1>suspect</HAP1>, le visage masqué jusqu'aux yeux. Les enquêteurs mettent
en <HAP1>garde</HAP1> contre des tentatives de séduction de "jolies jeunes filles
et de jolis garçons".