FIORINA » Flux des commentaires Le blog de Jean-François FIORINA » Faut-il (encore) un diplôme pour réussir ? Flux des commentaires -- Faut-il (encore) un diplôme pour réussir ? -- internationale, Certification, certification professionnelle, certificats de compétences, diplôme, formation continue, Marque, marque et stratégie -- À l’heure où les étudiants passent le BAC, les oraux pour décrocher leur diplôme ou entrer dans l’école de leurs rêves, une question se pose : doivent-ils encore en obtenir un pour réussir ? Cette -- réseaux sociaux. Voici mes réflexions, ouvertes et sans tabou, sur la valeur du diplôme. N’est-il pas préférable de se tourner vers les certificats qui attestent de compétences particulières ? Faut-il s’appuyer sur une marque puissante et son diplôme pour garantir potentiel et crédibilité ? Panacher les deux ? Avec qui et quelles -- connaissances et de compétences. Lorsque qu’un établissement porte une marque forte et internationale, le diplôme est essentiel. À l’inverse, si ce n’est pas son objectif, le diplôme devient plus relatif. Discours récemment contredit par certaines entreprises qui estiment que pour embaucher un nouvel employé, le diplôme n’est plus nécessaire (du tout). Et pourtant encore aujourd’hui, lors d’entretiens d’embauche, une personne qui n’aurait pas fait l’X ou Harvard serait considérée avec un a priori négatif voire étonnement ! En tout cas, le diplôme ne protège plus ( l-echo.info ). Si la dernière livraison des chiffres du chômage affiche une embellie, le baromètre mensuel de l’agence d’intérim Qapa.fr, révélait en début d’année que le diplôme n’était plus un passeport pour l’emploi. Et que l’embauche en contrat court -- reconnaissance d’une compétence, d’un niveau et d’un profil, et surtout, la certification d’une expertise. Pour certains, le diplôme sera moins important mais permettra de rebondir. L’entreprise comme vu -- paraître quelques articles sur le fait que « les entreprises ne recrutent pas sur diplôme ». Mais attention aux effets d’annonce, les injonctions sont contradictoires. À l’avenir, l’apprenant devra gérer -- Les deux binômes : diplôme/institution, certificat/domaine de compétence -- l’établissement émetteur. Pour tous ceux qui se veulent d’une marque de dimension internationale, la notion de diplôme sera importante. Cela soulève beaucoup d’autres questions dont celle de la dénomination des diplômes. Pour les autres, le diplôme ne sera pas forcément essentiel. Nous verrons apparaître des certificats qui seront des reconnaissances à un -- L’entreprise se projettera peut-être sur les diplômes, mais les certificats seront à la fois un élément d’attraction et un élément de validation. Je vous renvoie à ce que j’ai vu dans le post du 13 juin sur ce qui se passe aux Etats-Unis. De toute façon, diplôme, certificat ou pas, tout va dépendre de la qualité de l’émetteur. -- Premièrement, parce que nous évoluons vers de nouveaux modèles de construction de profils : diplôme + quelques certificats pour reconnaître des compétences. Et puis, nous verrons peut-être apparaître d’autres formes de diplômes avec d’autres noms. Elles seront la somme de certifications diverses et variées mais reconnues. Le diplôme restant « je reconnais un potentiel et une capacité à évoluer ». Le -- synthèse qu’Alain Goudey qu’exprime dans un tweet récent sur sa vision du diplôme. -- de combiner différents certificats avec un attribut donnant lieu à un diplôme. Nous entrons alors dans un élément fantasmé de la formation tout au long de la vie. Nous allons avoir besoin d’un service qui sera -- Pour nous, il y a un diplôme et des certificats. Ces derniers étant utiles à nos étudiants dans la construction et la validation de leurs