#alternate alternate Aller au contenu (BUTTON) Menu Abonnez-vous 1€ le premier moisRechercher Notre application Soyez alerté en temps réel avec l'application Le Figaro * Politique * International * Société * Vox * Économie * Sport * Culture * Voyage * Style * Madame * Figaro Live (BUTTON) (BUTTON) Les sites éditoriaux * Figaro Magazine * La Vérification * Figaro Étudiant * Faits divers * Santé * Sciences * Fig Data * Tech et web * Bourse * Figaro Immobilier * Art de vivre * Automobile * Vin * Langue française * Golf * Histoire * Programme TV * Jardin * Figaroscope * Carnet du jour * Guide achat * Services (BUTTON) (BUTTON) Les sites du Groupe Figaro * Figaro Store * Cplussur * TickeTac.com * Propriétés de France * Immobilier * Kelformation * Keljob * La chaîne météo * Météo Consult * Cadremploi * Maisons du voyage * Marco Vasco * Le Particulier (BUTTON) (BUTTON) Nos journaux et magazines * Le Figaro * Le Figaro Magazine * Madame Figaro * TV Magazine Se connecter (BUTTON) Mon compte * Mon espace personnel * Mes newsletters * Mes commentaires * S'abonner * Aide et contact * Se déconnecter Lire FigaroVox en PDF en ligne Lire le journal Abonnez-vous 1€ le premier mois * Vox Politique * Vox Société * Vox Économie * Vox Monde * Vox Culture 1. Accueil 2. Vox 3. Vox Société Les écologistes sont-ils misanthropes? FIGAROVOX/TRIBUNE - Pour Ferghane Azihari, la misanthropie des écologistes est le résultat d’une aigreur anticapitaliste qui, non contente d’avoir échoué à transformer la nature humaine égoïste au siècle dernier, rêve désormais de la voir dépérir. Par Ferghane Azihari Publié le 17/06/2019 à 12:38, Mis à jour le 18/06/2019 à 11:09 CLAUS BECH/AFP __________________________________________________________________ Ferghane Azihari est analyste en politiques publiques. Il collabore notamment à l’Institut de recherches économiques et fiscales (IREF), et est délégué général de L’École de la liberté. __________________________________________________________________ Joseph Schumpeter écrivait que le capitalisme est condamné à soutenir son procès devant des juges qui ont déjà la sentence en poche, quels que soient les arguments invoqués par les avocats. Mais il n’est pas certain qu’il suffise de modifier l’acte d’accusation pour assurer sa défense comme le suggérait l’économiste. Ceux qui instruisent son dossier souhaitent le condamner sous n’importe quel chef d’accusation. Longtemps les marxistes ont-ils reproché à la propriété privée des moyens de production de paupériser les masses. L’embourgeoisement du prolétariat occidental a ensuite conduit les contempteurs du capitalisme à actualiser leur scénario catastrophe. Vint une rhétorique tiers-mondiste destinée à expliquer la richesse des pays du Nord par la pauvreté des pays du Sud. Mais ce narratif s’effondre au rythme où la mondialisation universalise l’opulence. Comment définir cet environnement que tout le monde souhaite protéger ? C’est donc au tour de l’écologie politique et son versant décroissant de fournir aux ennemis des sociétés libérales une nouvelle stratégie: corrompre la finalité des sociétés humaines. À l’instar de penseurs comme André Gorz ou Pierre Fournier, on déplore désormais que l’abondance matérielle que le capitalisme délivre à l’humanité s’obtient au détriment d’une nouvelle victime: l’environnement. Reste toutefois une difficulté à résoudre. Comment définir cet environnement que tout le monde souhaite protéger? Qu’est-ce que l’environnement? Traditionnellement, la pensée occidentale conçoit l’environnement comme un ensemble d’éléments naturels susceptibles d’être domestiqués par l’Homme à son profit. Un philosophe comme John Stuart Mill écrit par exemple que même les techniques industrielles les plus avancées ne peuvent être jugées contre nature. Toutes incorporent les lois de la physique, de la biologie ou de la chimie au service des besoins humains. Or l’Homme est tout aussi naturel que les êtres vivants avec lesquels il rivalise. On ne saurait fonder une morale sur la nature sans verser dans la banalité. L’Homme qui, depuis des millénaires, utilise des pesticides pour éradiquer des espèces hostiles à sa sécurité alimentaire, agit aussi naturellement que les végétaux qui produisent des substances toxiques contre leurs prédateurs. Le technicien qui éradique une zone humide pour combattre les moustiques vecteurs de paludisme agit aussi normalement que le castor qui modifie son écosystème en érigeant des barrages pour ne pas être la victime d’autres bêtes sauvages. Le discours écologiste s’intéresse moins à la sauvegarde d’un environnement désirable pour l’Homme qu’à la lutte contre son anthropisation. Il en va de même pour l’agriculteur qui convertit une forêt en un champs de cultures génétiquement modifiées au nom de la sécurité alimentaire, du prométhéen qui songe à la géo-ingénierie pour administrer le climat terrestre selon les intérêts de la race humaine, ou de l’entrepreneur qui achète et privatise une réserve naturelle en rentabilisant la protection d’espèces qu’il affectionne. Mais pour soutenir ces entreprises, encore faut-il adhérer au postulat de la primauté de l’Homme sur les autres espèces vivantes. Or ce postulat est attaqué par les disciples de «l’écologie profonde». Ils ont intégré le besoin de détruire le pilier moral de la civilisation occidentale qu’est l’anthropocentrisme pour démanteler le capitalisme industriel. Proche des écologistes, la philosophe Catherine Larrère est celle qui en parle le mieux en écrivant que: «s’en tenir au pragmatisme anthropocentré pour défendre l’environnement, c’est, finalement, se régler sur des calculs coûts-avantages si complexes que l’on pourra toujours en opposer un autre, moins favorable à la protection de l’environnement». Un tel aveu signifie que le discours écologiste s’intéresse moins à la sauvegarde d’un environnement désirable pour l’Homme qu’à la lutte contre son anthropisation, même lorsqu’elle est justifiée sur le plan utilitariste, c’est-à-dire pour le bien-être de l’Homme. L’ultime solution pour contrarier les sociétés modernes est donc de déchoir l’utilité humaine de son rang d’étalon de valeur. Chasse à l’Homme C’est là qu’entrent en scène les écoles «bio-centrées» ou «éco-centrées», qui confèrent une valeur intrinsèque aux animaux, aux végétaux et aux écosystèmes primaires. Leur discours est redoutable. Nier la légitimité de l’Homme à instrumentaliser une nature immanente pulvérise logiquement la propriété privée et tous ses corollaires: la libre disposition des choses indûment appropriées, la technologie, le commerce ou l’industrie. Nier la légitimité de l’Homme à instrumentaliser une nature immanente pulvérise logiquement la propriété privée et tous ses corollaires. La gauche intellectuelle qui s’engouffre dans cette brèche ne fait toutefois pas l’économie d’une contradiction. Son progressisme se plaît à éradiquer toute trace de biologie pour expliquer notre rapport à la famille, à la nation ou à l’économie. «Tout est construction sociale», nous dit-on. Mais voilà qu’on veut extirper la construction de ce domaine éminemment social qu’est la relation d’homo sapiens avec son environnement. Bien des écologues, comme Christian Lévêque, rappellent pourtant que les milieux «naturels» les plus appréciés - comme la campagne - sont très souvent le fruit d’une intervention humaine. Les biologistes qui constatent une corrélation entre les moyens alloués à la protection d’une espèce et à sa beauté sont les premiers témoins du rôle des perceptions culturelles et subjectives dans la définition d’une nature idéale. Il en va de même pour les Français qui dissertent sur l’opportunité de réintroduire le loup dans certaines régions ou des Australiens qui veulent exterminer des millions de chats errants qui nuisent à une certaine idée de la faune locale. Au refus des écologistes de considérer l’environnement comme une construction sociale s’ajoute le récit d’une nature primitive déifiée et harmonieuse qui fait écho au mythe rousseauiste du bon sauvage. Ses apôtres négligent la brutalité de la loi de la nature et la lutte pour l’existence qu’elle implique. Pour l’écologie anthropophobe, l’Homme est la seule espèce privée du droit de participer à cette lutte. Sa désacralisation est d’autant plus perfide qu’elle mise sur la corruption de la culture judéo-chrétienne qui, aux côtés de la philosophie grecque, l’a longtemps placé au sommet de la hiérarchie des espèces. Animisme, panthéisme et primitivisme Le Pape François, dans sa seconde encyclique intitulée Laudato Si’, multiplie les sous-entendus animistes et panthéistes que les traditionalistes assimileraient volontiers à de l’hérésie. Dans un célèbre article intitulé «les racines historiques de la crise écologique», l’historien américain Lynn White accuse une certaine lecture du christianisme d’avoir commis le péché originel écologique. La mission que Dieu confie à Adam et ses descendants de dominer les espèces animales et végétales aurait libéré l’hubris occidental à l’égard de la nature. Ce discours a fini par contaminer l’esprit de ceux qui se sont longtemps présentés comme les gardiens du temple de l’humanisme occidental. Désireux d’invalider les critiques écologistes contre un christianisme «excessivement anthropocentré», le Pape François, dans sa seconde encyclique intitulée Laudato Si’, multiplie les sous-entendus animistes et panthéistes que les traditionalistes assimileraient volontiers à de l’hérésie. Selon cette idéologie, Dieu n’est plus exclusivement l’Être qui transcende le monde. Il imprègne une nature immanente. On comprend dans ces conditions que «tout crime envers la nature est un péché envers Dieu», ainsi que le clame le Pontife. Reste à savoir ce qu’est un «crime» envers «la nature». Faut-il réprimer tous les bûcherons et les dératiseurs comme certains proto-terroristes persécutent les bouchers au nom de cet autre anti-humanisme qu’est l’antispécisme? Que certains conservateurs se réclament de cette «écologie intégrale» qui porte en elle les germes de la destruction de l’idée occidentale illustre la victoire intellectuelle des écologistes. Cet animisme explique la psychose ambiante sur la sixième extinction de masse. Le manque de rigueur de ce discours n’a pas manqué d’être soulevé par des scientifiques qui rappellent l’imperfection de nos connaissances sur la biosphère, le nombre d’espèces sur terre, leur typologie et leur évolution. Quand bien même le récit sur l’extinction de millions d’espèces sauvages serait parfaitement correct, sa nature anthropophobe s’identifie par le refus de ses propagateurs d’intégrer ces évolutions dans un calcul coûts-avantages. Le climat intellectuel anthropophobe persiste à nourrir d’odieuses paroles et des mesures totalitaires contre l’humanité. Splendeur et misère de l’anthropocène L’une des rares voix audibles à tempérer la sentence accablante des mouvements conservationnistes est celle du docteur Chris D. Thomas, spécialiste de la biologie évolutive à l’Université de York. Dans un ouvrage publié en 2017, Thomas promeut une vision plus optimiste de l’anthropocène. Tempérant le récit qui dépeint l’Homme comme un fossoyeur de la nature, il rappelle dans un premier temps son rôle historique dans la croissance de la biodiversité via le commerce mondial de variétés animales et végétales. Ensuite, déterrant un argument bien connu des scientifiques, l’universitaire britannique invite à ne pas oublier qu’une extinction, loin de signifier la fin du monde, ouvre de nouvelles perspectives évolutives qu’il serait vaniteux d’assimiler à une dégradation de la biosphère. C’est pourquoi il recommande de subordonner totalement l’état de la biosphère aux dynamiques de l’anthropocène et non l’inverse. L’Homme n’aurait plus qu’à délaisser les espèces insuffisamment valorisées, non susceptibles d’être domestiquées et incapables de s’adapter aux évolutions de l’environnement dictées par sa prospérité. Ce discours rationnel peut-il triompher d’un animisme à deux doigts de considérer la loi de la jungle supérieure au Code civil? Ou faut-il renouer avec une certaine conception du sacré pour relégitimer l’existence humaine? En attendant qu’un esprit vaillant réponde à cette question, le climat intellectuel anthropophobe persiste à nourrir d’odieuses paroles et des mesures totalitaires contre l’humanité. À l’instar des néo-malthusiens qui estiment la planète surpeuplée, les figures du mouvement écologiste multiplient les comparaisons assimilant l’humanité à un virus étranger à la nature qui mérite d’être combattu. Il n’est donc pas surprenant que certains commencent à les prendre au mot. L’écologie politique n’est donc plus seulement le nouvel avatar d’un collectivisme totalitaire. Un chargé de mission au Sénat dénommé Antoine Bueno peut ainsi publier sans complexe un essai en faveur de l’instauration d’un permis de procréer chez une grande maison d’édition. Quant à l’organisation écologiste WWF, elle arme et finance des milices qui commettent des actes criminels contre des populations expropriées de leurs terres au profit de réserves naturelles en Afrique dans l’indifférence générale. L’écologie politique n’est donc plus seulement le nouvel avatar d’un collectivisme totalitaire. Il est le stade logique d’une aigreur anti-capitaliste qui, non contente d’avoir échoué à transformer cette vile nature humaine égoïste au siècle dernier, rêve désormais de la voir dépérir. La rédaction vous conseille * Alain de Benoist et Alain Minc: «Le système va-t-il exploser?» * Droits de l'homme, que d'erreurs commet-on en votre nom! Sujets * John Stuart Mill * Pape François * Joseph Schumpeter * Espèces Animales Et Végétales * Politiques Publiques * Homo Sapiens 32 commentaires * anonym2018 le 04/11/2019 à 14:12 Pas forcément d’accord avec les opinions exprimées dans l’article, mais la question est intéressante et mérite d’être posée. * Libertés Individuelles le 04/11/2019 à 13:28 Les mêmes écolos qui dans les années 1970 nous disaient que les pluies acides allaient tuer toutes les forêts d'ici l'an 2000 si on ne supprimait pas les voitures.... En 2019 elles se portent à merveille et leur superficie a largement progressé. Ils ont donc trouvé un autre cheval de bataille, le CO2 pour justifier leur existence.... Ce sont les mêmes qui voulaient changer les hommes derrière le rideau de fer qui se sont repeints en vert. * justafrog le 08/10/2019 à 02:12 Quel tissu d'âneries au service de la pensée libérale ! Bien sûr que l'homme a sa place sur cette planète. Malgré (parfois) quelques excès de langage provoqués par l'angoisse ressentie face à la réalité que chacun peut observer, 99% des gens qui se pensent écolos ne souhaitent pas la disparition de notre espèce ! Cela étant dit, admettre comme une péripétie l'effondrement biologique provoqué par l'homme et utiliser comme argument la marche en avant de l'évolution du vivant est un argument fallacieux. L'évolution des espèces est un phénomène extrêmement lent rapporté à la brièveté de nos vies. Or, l'effondrement de la biodiversité et des écosystèmes liés se produit sous nos yeux à une vitesse folle. Le nier est suicidaire et les idéologies visant à justifier notre course en avant n'empêcheront pas l'impact dans le mur vers lequel nous nous précipitons. Tirer à boulets rouges vers les lanceurs d'alerte non plus. Quand Greta montre la catastrophe, l'idiot regarde Greta. (BUTTON) Lire les 32 commentaires Plus de services (BUTTON) L'actualité à ne pas manquer * Résultats des élections * Elections municipales 2020 * Brexit : tout savoir * Tension Iran-Etats Unis * Crise politique italienne * Mandat Donald Trump * Corée-Du-Nord * Actualité politique en temps réel * Analyses, débats politiques et sociétaux * Crise des prisons (BUTTON) Programme TV * Programme TV ce soir * Programme TV en ce moment * Programme TV TNT * Séries Netflix, HBO, OCS et TV * Election et photos Miss France * Programme TV film * Programme TV Canalsat * Programme TV Free * Programme TV SFR * Actu people (BUTTON) Sport * Calendriers et résultats des matchs en direct * Résultats, classement général Tour De France * Ballon d'Or France Football * Actualité cyclisme * Actualité Euro 2020 * Transferts football * Classement Ligue 1 * Jeux Olympiques Japon Tokyo 2020 * Calendrier Euro 2020 * Classement top 14 (BUTTON) Madame * Horoscope * Guide du mariage * Recettes de cuisine * Brigitte Macron * Actu mode * Apéritif dînatoire * Fête des mères * Tendance bijoux * Meghan Markle * Gainer son corps (BUTTON) Santé * Fiches et guides des médicaments * Astuces et conseils bien-être * Santé et sexualité * Index des maladies * Conseils alimentation, nutrition et santé * L'encyclopédie des organes * Conseils en psychologie * La pollution va t-elle nous tuer ? * Apnée du sommeil : Comment mieux dormir ? * 15 mythes sur les vertus des aliments (BUTTON) Guide d'achat * Guide d'achat maison et jardin * Guide d'achat santé et beauté * Guide d’achat high-tech * Guide d'achat smartphones et tablettes * Comment choisir le meilleur extracteur de jus ? * Quelle est la meilleure montre connectée ? * Quel est le meilleur home cinéma sans fil ? * Comparatif semelle gel * Quel épilateur électrique choisir ? * Bons plans (BUTTON) Éducation et orientation * Résultats Bac * Révisions du Bac * Parcoursup * Annuaire des écoles de commerce * Les entreprises qui recrutent * Trouver un stage * Résultats Brevet des collèges * Classement des écoles de commerce * Trouver une alternance * Agenda étudiant : JPO, salons… (BUTTON) Culture * Succession de Johnny Hallyday * Sorties cinéma * Guide arts et expositions * Actualité musicale * Actualité jeux-vidéo * Citations et proverbes * Réservation de spectacles et théâtre * Sortir à Paris * Histoire de France * Langue française (BUTTON) Codes promos et réductions * Code promo Wish * Code promo Cdiscount * Code promo SheIn * Code promo eBay * Code promo AliExpess * Code promo Deliveroo * Code promo Nike * Code promo Sephora * Code promo Showroomprive * Code promo Asos (BUTTON) Offres d'emploi * Toutes les offres d'emploi * Emploi à Paris * Emploi à Lyon * Emploi à Toulouse * Emploi à Nantes * Emploi à Bordeaux * Emploi commercial * Emploi contrôleur de gestion * Emploi logistique * Emploi communication (BUTTON) Annonces immobilières * Annonces immobilières * Achat appartement Paris * Achat appartement Nice * Achat appartement Cannes * Achat appartement Bordeaux * Achat appartement Lyon * Achat appartement Aix-en-provence * Achat maison Bordeaux * Achat maison Marseille * Achat maison Montpellier (BUTTON) Économie argent et finances * Simulateur de seuil de richesse * Actualité économique et analyses * Impôts sur le revenu : simulateur * Palmarès des villes où investir dans l'immobilier * Studios et 2-pièces : les loyers ville par ville * Calculer l'impôt à payer * Barême des droits de succession et donation * Indice de référence des loyers (IRL) * En France, les hauts revenus sont-ils tous des «riches»? * Carte familles nombreuses : jusqu’à 75 % de réduction sur les billets de train (BUTTON) Voyage * Guide des croisières * Guide voyage Jordanie * Guide voyage Namibie * Guide voyage Maroc * Guide voyage New York * Guide voyage Birmanie * Guide voyage Lille * Guide voyage Antilles * Guide voyage Japon * Guide voyage Amsterdam (BUTTON) Les magazines Figaro * Le Figaro Magazine * Madame Figaro * Le Figaro * Le Figaro Hors-Série * TV Magazine * Le Figaro Scope * F, l'art de vivre (BUTTON) Services * SCPI de rendement * L'assurance en 2021 * Guide Actes Etat Civil * Changer d’assurance de prêt immobilier Suivez l’actu en temps réel avec l’application Le Figaro (BUTTON) Les écologistes sont-ils misanthropes? 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