* * Politique * En parlant de «pays de race blanche», l’élue lorraine Nadine Morano fait des vagues Politique En parlant de «pays de race blanche», l’élue lorraine Nadine Morano fait des vagues -- Les propos de l’eurodéputée (LR) Nadine Morano, qui a parlé samedi soir sur France 2 de « la France, un pays de race blanche », a suscité une vague de condamnations du côté des responsables républicains et centristes, notamment dans le grand Est, où elle est tête de liste en -- nancéienne, et candidate aux régionales, après avoir tweeté qu’« être Français, c’est adhérer aux valeurs de la République “sans distinction d’origine, de race ou de religion “ », selon l’article 1er de la constitution de la Ve République. Dont « le père n’est autre que ce grand homme que fut le général de Gaulle », insiste le maire de Nancy, -- « Pas acceptable » Le terme de « race » a fait vivement réagir plusieurs candidats aux primaires : aussi bien Alain Juppé qui juge « la notion pas acceptable » que Bruno Le Maire pour qui « la France n’est pas une race, ni une religion, ni une couleur de peau », ou François Fillon qui, « à l’évidence », n’aurait pas employé le terme de « race ». Dès dimanche soir, Valérie Pécresse, chef de file des Républicains en Ile-de-France, avait marqué sa différence avec Nadine Morano. « C’est un non-sens pour moi de parler de race », avait-elle déclaré. « Je ne connais qu’une seule race, la race humaine », réagit, pour sa part, Nathalie Griesbeck, vice-présidente du MoDem et députée européenne grand Est, qui vient de conclure une alliance avec Philippe