celles du nettoyage ethnique. » Un rapprochement inquiétant. D’autant plus que, pour Philippe Reigné, « l’espèce, pour les animaux liminaires, joue donc un rôle semblable à celui de la race pour les humains immigrés ». Pour autant que l’on sache, s’il existe une race humaine, il n’en existe pas de différente pour les migrants. La défense des animaux urbains est louable, mais pas de tels raccourcis.