appelle des «allers-retours». Que penser, alors, des anglicismes? Je ne vois aucun danger. C’est simplement la marque de la prédominance des États-Unis sur le monde. Les anglicismes que nous employons se retrouvent également en allemand, en italien ou en espagnol. Il n’y a rien d’extraordinaire, d’autant plus que leur nombre est tout à fait