Le 9 décembre 2013 à 07h00 Face aux anglicismes, une armée d'érudits de la Commission générale de terminologie et de néologie se creuse les méninges pour trouver, dès qu'un terme anglais fait du « forcing », la parade française. Comme « florilège » pour « best of », « sonal » pour « jingle », ou « mot-dièse » pour « hashtag » (un terme utilisé par les utilisateurs de Twitter). « C'est très difficile de faire accepter un équivalent à un anglicisme », explique Alain Rey, lexicographe, linguiste, conseiller éditorial auprès des Editions Les Dictionnaires Le Robert, mais aussi membre de -- riding coat devenu redingote, explique Alain Rey. Mais, aujourd'hui, on a malheureusement tendance à être bêtement respectueux de la langue d'origine », donc à garder des anglicismes. Or, dès qu'un mot anglais fait irruption dans notre langue, si l'on ne trouve pas tout de suite le bon néologisme français correspondant, c'est fichuâ?¦ Ainsi, «