#Assimil | Le Blog des éditions Assimil » Flux Assimil | Le Blog des éditions Assimil » Flux des commentaires Assimil | Le Blog des éditions Assimil » Franglais, anglicismes : stop ou encore ? Flux des commentaires alternate Robert Leonard à la Polyglot Conference 2015 Benny Lewis à la Polyglot Conference 2015 alternate alternate -- Sélectionner une page Franglais, anglicismes : stop ou encore ? Publié par Éditions Assimil | 30 Nov 2015 | Le Coin des Assimilistes | -- « Smartphone », « parking », « buzz », « blender », « teaser » : les anglicismes nous suivent partout : ce globish constitue une des parts les plus visibles de la mondialisation. Si la tendance ne date pas d’hier, le franglais s’immisce de plus en plus dans notre lexique, au grand dam des défenseurs farouches du français. Faut-il s’inquiéter de l’essor des anglicismes ou forment-ils une évolution naturelle de la langue française ? -- blockbuster américain qui fait le buzz. Si les anglicismes font partie du langage courant pour beaucoup d’entre nous, certaines de ces expressions sont inévitables tandis que d’autres le sont beaucoup moins. -- un match de « ballon au pied » en téléchargeant des applications sur son « téléphone intelligent », difficile de s’en passer. * Les anglicismes involontaires Les anglicismes de la langue française ne se cachent pas seulement dans les mots empruntés : il faut parfois chercher dans la structure de nos phrases et de nos mots pour les dénicher. Si l’on a passé des vacances -- qui semblent français mais qui sont en fait calqués sur des structures et des mots anglais. Confusant, n’est-ce pas ? * Les faux anglicismes Ils sonnent anglais, ils ressemblent à de l’anglais, mais pourtant ils ne sont pas Anglais. En effet, nos parkings, campings et autres tennismen se transforment en parking lot, en camp site et en tennis players chez nos voisins d’Outre-Manche. De l’anglicisme « made in France », en somme. Constatons aussi que même chez nos voisins Québécois, présentés parfois comme des ayatollahs de la langue française, tant ils y sont attachés, les anglicismes existent. Un exemple ? Le mot « job » qui, en québécois, devient féminin : la job. * Les inutiles (en théorie) -- SOS langue française en détresse Devant l’avancée rapide de ces anglicismes dans notre vocabulaire, certaines initiatives sont mises en place pour sauvegarder la langue française. La loi Toubon, entrée en vigueur en 1994, vise à protéger le -- qu’ils sont apparus. Car pour que ces mots supplantent les anglicismes de la langue française, ils doivent être partagés, répétés, employés au quotidien. Un exercice bien difficile quand l’usage du mot anglais est déjà bien