3. Expressions Ces anglicismes qu’on ne veut plus entendre «Best-seller», «flop»... Les anglicismes collent à la peau de la langue française. Leurs équivalents existent pourtant. Le Figaro vous propose de les utiliser. -- Ils sont inutiles. Risibles. Ridicules. En tout point condamnables. Et pourtant, nous leur réservons toujours la plus belle des places dans nos conversations. Les anglicismes sont comme le sel qui agrémente nos plats. On en met ici et là, même s’il n’est jamais nécessaire d’en ajouter. C’est ainsi que le globish nous noie. On pense par exemple au -- veillent à donner des équivalents au vocabulaire anglophone. C’est à elles que l’on doit, par exemple, la création du terme «infox» pour remplacer le vicieux anglicisme «fake news». Molière n’a pas dit son dernier mot à Shakespeare! Le Figaro vous propose, grâce au livre 100 anglicismes à ne plus jamais utiliser! , de Jean Maillet, une courte liste pour pallier ces anglicismes du quotidien. » LIRE AUSSI - Cinq anglicismes à bannir au bureau ● Un best-seller Le mot est passé dans le langage courant pour parler de «succès». De l’anglais best «le mieux» et seller, «le vendeur», l’anglicisme signifie littéralement ce qui se vend le mieux». En l’occurrence «les livres». À l’origine en effet, à la fin du XIXe siècle, la locution -- Concernant ce dernier mot, on rappellera seulement qu’il s’agit non pas tant d’un anglicisme que d’une antonomase, c’est-à-dire, un nom propre qui est devenu un nom commun. Ainsi que le rapporte Le Trésor de la langue française, le mot vient du «nom du capitaine Charles C. Boycott -- Sujets * Anglicisme * Langue française -- * jla2 le 30/05/2019 à 12:54 "Ces anglicismes qu’on ne veut plus entendre" Brexit ? (BUTTON) Lire les 2 commentaires -- (BUTTON) Ces anglicismes qu’on ne veut plus entendre S'ABONNER Fermer