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Publié le 20 février 2013 à 12h03 - Mis à jour le 20 février 2013 à 15h32 Temps de Lecture 10 min. * Partage * (BUTTON) Partager sur Facebook Partager sur Facebook * (BUTTON) Envoyer par e-mail Envoyer par e-mail * (BUTTON) Partager sur Messenger Partager sur Messenger * Partager sur Whatsapp Partager sur Whatsapp * (BUTTON) Plus d’options Plus d’options + Plus d’options + (BUTTON) Twitter + (BUTTON) Linkedin + (BUTTON) Copier le lien Enthousiastes, inquiets ou réfractaires, l'immense majorité des pères qui ont répondu à notre appel à témoignages soulignent l'importance de la question financière à l'heure du choix. [ill_1835157_9ab8_000_par3672439.jpg] Enthousiastes, inquiets ou réfractaires, l'immense majorité des pères qui ont répondu à notre appel à témoignages soulignent l'importance de la question financière à l'heure du choix. AFP/FRED DUFOUR Plus de 160 pères ont répondu en quelques heures, à lʼappel à témoignage lancé lundi 18 février sur LeMonde.fr : "Père séparé, vous avez rencontré des difficultés à obtenir la garde de votre enfant". Ils ont entre 23 et 59 ans, ils vivent un peu partout en France, ils sont cadre, fonctionnaire, ingénieur, carrosier, kinésithérapeuthe ou technicien du spectacle. Tous racontent peu ou prou la même histoire : lʼinjustice, la colère et la tristesse ressenties après le refus du juge aux affaires familiales (JAF) de leur accorder la garde ou la résidence alternée des enfants après la séparation dʼavec leur compagne. Nous avons sélectionné quelques-uns de ces témoignages. * "Un père qui nʼa pas la garde de son enfant est un père inexistant", par Vanno, 42 ans "Dès quʼon parle de père et de mère, lʼégalité homme-femme nʼexiste plus. Ma demande de garde alternée a été traitée en 2005. Mon fils avait 2 ans. Ma demande a été refusée soi-disant pour préserver lʼenfant de la relation conflictuelle entre ses parents. A la place jʼai obtenu un droit de visite classique plus tous les mercredi de 9 heures à 18 heures. Autant de moments où mon fils allait être exposé à la relation conflictuelle entre ses parents. Il en a énormément souffert. Au bout de deux ans, jʼai lancé une nouvelle requête. Jʼespérais obtenir le droit de pouvoir le ramener à lʼécole les jeudi/lundi matins au lieu de chez sa mère la veille. Jʼai été débouté. Lʼintérêt de lʼenfant ? La juge sʼest assise dessus. En prime, la pension alimentaire a été augmentée de 60 %. Notons que sur les quatre ou cinq juges à la chambre de la famille de ce TGI, il nʼy a aucun homme. Jʼai par ailleurs été choqué par lʼagressivité de la juge à mon égard. Chez moi, mon fils a toujours eu sa chambre, son lit, ses vêtements, ses activités extrascolaires etc., que je finance seul. Jʼai maintenant deux autres enfants, mais pour les impôts, pour la sécu, pour la CAF, pour les services munipaux de la ville où jʼhabite, pour la carte SNCF famille nombreuse etc., je nʼai que deux enfants. Conclusion: un père qui nʼa pas la garde de son enfant est un père inexistant. Sauf quand il est question de payer." * "Jʼai eu lʼimpression quʼil était obscène quʼun père demande la garde de son fils", par Christian, 42 ans "Apres être passé de nombreuses fois devant le juge aux affaires familliales, jʼai obtenu la garde de mon fils âgé dʼun an à lʼépoque. La procédure fut un long combat juridique durant lequel la mère, se sentant spoliée de sa maternité, a de nombreuses fois, en vain, fait appel de la décision. Les JAF que jʼai croisé à Paris semblaient accepter lʼidée quʼun père puisse obtenir la garde, mais il faut tout de même blinder son dossier, être combatif, prévoir une grande disponibilité pour lʼenfant et choisir un très bon avocat. Les nombreuses visites des enquêteurs sociaux et leurs regards soupconneux ont été difficiles à vivre. Ils brassent du vent dans le sens des clichés, ouvrent le frigo, paraissent surpris que lʼon sache cuisiner, inspectent vos toilettes... Jʼai eu lʼimpression face à eux dʼavoir quelque chose à me reprocher et quʼil était obscène quʼun père demande la garde de son fils. Lorsque la décision définitive a été rendue vinrent de nouvelles inquiétudes, celles de la mère qui ne se remettait pas de la situation, et les miennes. Après quatre ans, je vis toujours comme si la décision du JAF ne tenait quʼà un fil. Jʼai lʼimpression que mon ex et la justice me feront payer la moindre erreur. Je ne sais pas trop si cʼest une parano ou le fond dʼidées reçues sur les compétences éducatives des parents selon leur sexe qui provoque cela. Certains doivent encore penser que cette situation est contre-nature." * "Un père qui se bat pour la garde de ses enfants est plus que suspect" par Pierre "Cʼest mot pour mot la justification donnée par le juge il y a neuf ans, lors de lʼordonnance de non conciliation, pour me refuser la garde que je demandais. Jʼétais alors père au foyer, les enfants voulaient vivre avec moi et cʼest mon ex-épouse qui mʼavait trompé et détruit notre famille. Neuf ans plus tard, et je ne sais plus très bien combien de jugements toujours dans le même sens, le fait accompli sʼest pérénisé et les enfants sont toujours chez leur mère... Visiblement pour les juges comme pour les psys, un père qui se bat pour la garde de ses enfants est plus que suspect. A quand lʼégalité ?" * "Un père a bien moins de droits quʼune mère", par Christophe "Mon fils me voit chez sa mère - quand elle est dʼhumeur à me recevoir. Mon fils de 8 ans a fait un arrêt de croissance depuis quʼil ne mʼa plus régulièrement trois à quatre jours par semaine. Une séparation et la vente dʼune maison ont tout bouleversé. Dʼaudience en audience à coups de 700 € de frais dʼavocat tous les quatre mois; tant quʼon est un père, on a bien moins de droits quʼune mère même lorsque lʼon est précisément dans son droit et que lʼon a rien à vous reprocher. La vie de mon fils est gâchée et la mienne aussi. Alors je comprends parfaitement cet homme qui demeure en haut de cette grue depuis trois jours et ce quʼil a fait. A quand des magistrats hommes comme JAF dans les tribunaux de France et une reconnaissance sincère dʼautre chose que le portefeuille, le doute ou la rancœur devant les tribunaux pour nous les papas qui aimons nos enfants plus que tout ?" * "Jʼai vécu la séparation dʼavec mes enfants comme sʼil sʼétait agi dʼun rapt légal", par Daniel, 58 ans "Cinq ans ans après mon divorce, jʼai vécu la séparation dʼavec mes enfants comme sʼil sʼétait agit dʼun rapt légal. Mon ex-épouse avait tout simplement décidé de sʼéloigner en emportant les enfants comme un bagage, au mépris de la relation nécessaire de ses enfants avec leur père. La justice lui a donné raison. Elle nourrit évidemment, culturellement une forte prédilection pour la mère et lorsquʼelle se prononce, en principe, dans lʼintérêt des enfants, lorsquʼelle nie une paternité, elle ment et elle blesse les enfants quʼelle prétend défendre. Ma fille a 30 ans maintenant. Elle mʼa avoué il y a quelques années regretter ne pas avoir davantage osé dire quʼelle préférait rester avec moi. Je lui ai dit quʼelle ne devait rien regretter puisquʼen faisant cela elle se serait opposée à sa mère, ce qui nʼest pas facile pour un enfant. En conclusion rapide je dois dire que je ne trouve rien de plus simple et de plus intelligent que dʼappliquer, comme au Canada, le principe suivant: donner la résidence principale des enfants au parent faisant le moins obstacle à lʼautre parent. Dans mon cas, cʼétait moi. Si la résidence principale de mes enfants avait été fixé à mon domicile, mes enfants auraient pu rencontrer leur mère autant quʼil lʼaurait souhaité." * "Un juge aux affaires familiales décide de lʼavenir de vos relations avec vos enfants", par Didier, 46 ans "Lorsquʼon divorce ou se sépare subitement un JAF decide de lʼavenir de vos relations avec vos enfants ! Du jour au lendemain sans autre forme de raison quʼun soi disant intérêt de lʼenfant de tous les jours (malgré le fait que la maman vit à 500 mètres) vous ne voyez votre enfant que quatre jours par mois en passant tous les jours devant son lieu de résidence et son école et tout sʼécroule .(...) Et les années défilent et les liens se coupent et lʼéducation nʼest faite que par un seul parent .... et lʼenfant dans tout cela ? voilà mon histoire cʼest pourquoi je milite pour quʼun magistrat nʼait plus à traiter du temps libre dʼun enfant ni de pension alimentaire. En quoi le partage du temps libre dʼun enfant et le coût de son éducation doivent-ils dépendre de la loi ?" * "Jʼai ressenti une grande discrimination en tant quʼhomme", par Heykel, 45 ans "Séparé en mai 2010, jʼai la garde et la résidence principale de mes deux enfants depuis décembre 2012. Je ne dois rien à mes trois avocats successifs qui nʼavaient de cesse de me dire que mon dossier était compliqué. Selon eux, je nʼavais pas assez de fric pour me défendre ! Les divorces ne les intéressent pas. Ils mʼont fait signer le protocole de divorce devant le JAF sans mʼen dire les conséquences... (...) Jʼai eu mon ex à lʼusure et lʼai contraint par la force des choses à lui faire reconnaître que jʼétais le plus capable pour élever les enfants. Si jʼavais cédé et écouté mes avocats, je serai peut-être aujourdʼhui perché à mon tour sur une grue. Les enquêtes sociales sont indigentes et partiales. Jʼai ressenti une grande discrimination en tant quʼhomme aux moyens financiers communs. Le JAF traite les dossier de manière mécanique à lʼaudience et les enfile à la chaîne en les survolant. Les femmes jouent en terrain conquis, se jouent des failles dʼun système acquis à leur cause et nʼhésitent pas à mentir grossièrement. Les avocats sont avides dʼaffaires rentables, pas de divorces." * "Un sentiment d’injustice insupportable", par Thierry, 36 ans "Lorsque j’ai reçu le jugement début janvier, j’ai ressenti un sentiment d’injustice insupportable. J’ai pleuré de tout mon corps. Une semaine sur deux et la moitié des vacances, voici ce que la justice des hommes a daigné m’accorder pour transmettre à mon fils. Je travaillais depuis deux ans à temps partiel pour m’occuper de lui le mercredi et me suis toujours énormément investi. Mon ex-compagne était vigilante à ce que je partage les tâches à 50% bien qu’elle ne travaillait pas et ne cherchait pas de travail. J’ai passé de nombreuses nuits sans dormir et autant de soirées à bercer mon fils pendant des heures le soir. J’ai fait tout ce qu’il fallait pour demander une résidence alternée : j’ai réussi à trouver un appartement avec deux chambres à dix minutes à pied de l’école, ce qui est un exploit dans le centre-ville ; j’ai rassemblé un vingtaine d’attestations de médecins, de l’école et de proches montrant l’attention que je porte à mon fils. Mais il aura suffit d’un stage de trois mois non rémunéré à mon ex-compagne pour arracher notre enfant de son école et de l’emmener à 200 kilomètres de là pour rendre toute résidence alternée impossible. Car puisque mon fils avait moins de trois ans le jour de l’audience (2 ans et 9 mois), la juge a appliqué la jurisprudence qui dit que tout enfant de cet âge doit rester avec sa mère. Et peu importe mon engagement, peu importe les raisons de cette séparation, ce fut un jugement à charge contre le père, tout simplement." * "Un calvaire", par Guillaume, 38 ans, "En 2007, suite à la séparation dʼavec la mère de ma fille, la garde de notre enfant est attribuée à la mère. Bien que jʼai prouvé que je mʼoccupais autant et même un peu plus de lʼenfant (la mère était souvent en voyage pour raisons personnelles), la juge décide quʼil est "préférable de ne pas rompre le lien avec la mère." Cʼest pourquoi on lui accorde la garde, et même on lʼautorisa à retourner vivre en Italie, son pays dʼorigine, avec notre fille. Au bout de cinq ans et demi, la mère a déménagé quatre fois, elle nʼa pas de travail. Mon travail est stable, et je nʼai jamais déménagé. Je ne vois plus ma fille que sept fois par an environ, le plus souvent pour quelques jours, et cela au prix de tractations interminables sur la date et le prix du trajet. Les conversations au téléphone ou via Skype sont également très difficiles à obtenir, je dois parfois réclamer pendant plusieurs jours de parler à ma fille. Parallèlement, la mère refuse toute médiation, et mʼenvoie des mails pleins de menaces et dʼaccusations ridicules. Je sais que je ne dois pas répondre, sous peine de voir mon droit de visite encore diminué. Elle a le droit de me menacer, moi pas. Cela alors que je constate tous les jours que notre fille est élevée de façon erratique, sinon inquiétante. Ma fille a bientôt neuf ans. Elle réclame depuis trois ans environ de revenir vivre avec moi, et il semble quʼon va enfin lʼécouter. Ce sera pour moi la fin dʼun calvaire et lʼoccasion de jouer réellement mon rôle de père." Voir les contributions * Partage * (BUTTON) Partager sur Facebook Partager sur Facebook * (BUTTON) Envoyer par e-mail Envoyer par e-mail * (BUTTON) Partager sur Messenger Partager sur Messenger * Partager sur Whatsapp Partager sur Whatsapp * (BUTTON) Plus d’options Plus d’options + Plus d’options + (BUTTON) Twitter + (BUTTON) Linkedin + (BUTTON) Copier le lien Dans la même rubrique Les plus lus 1. Téhéran s’affranchit de l’accord de Vienne, les Américains ciblés en Irak 2. Derrière la fuite de Carlos Ghosn, un masque chirurgical, une malle percée et deux « barbouzes » 3. 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