Comment la SNCF et l’Etat ont « délaissé les trains du quotidien » au profit du TGV La panne qui a paralysé la gare Saint-Lazare, à Paris, reflète le -- Ressources financières et humaines Après le lancement du train à grande vitesse (TGV) en 1981, la création de nouvelles lignes conçues pour relier rapidement les centres des plus grandes villes de France a progressivement pris le pas sur l’entretien -- lignes à grande vitesse (LGV), soit environ 38 % du total Lire aussi Comment le TGV a rétréci la France Là où on estime entre 2,5 et 3 milliards d’euros le montant annuel -- poste d’aiguillage A un moment donné, on a voulu vendre le savoir-faire technologique français, on a voulu soutenir Alstom, mais on s’est rendu compte que le TGV ne répondait qu’à un besoin bien particulier et qu’on avait délaissé les trains du quotidien » Lire aussi TGV : 38 % des investissements, 9,5 % des passagers « Mettre le paquet » -- 46 milliards d’euros prévu par le plan de financement de 2016 est suffisant « pour maintenir en état le réseau structurant », c’est-à-dire les grandes lignes Intercités et TGV, qui représentent la majorité des voyages « Mais sur ces 46 milliards d’euros, rien ne va dans les petites lignes », selon le cadre de la SNCF Sollicitée, la -- collect?v=1&t=pageview&tid=UA-15394037-2&dl=https%3A%2F%2Fwwwlemonde fr%2Fentreprises%2Farticle%2F2018%2F06%2F14%2Fcomment-la-sncf-et-l-etat -ont-delaisse-les-trains-du-quotidien-au-profit-du-tgv_5315000_1656994 html&dt=Le+Mondefr+-+Actualit%C3%A9s+et+Infos+en+France+et+dans+le+mon de