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Home 2. Tech & Web L'intelligence artificielle au service de la traduction automatique * Par Journaliste Figaro Elsa Trujillo * Publié le 07/12/2016 à 06:01 L'intelligence artificielle au service de la traduction automatique Source image: Google Pour se rapprocher de la perfection, les outils de traduction automatique incorporent à leurs algorithmes des mécanismes de plus en plus proches de la réflexion humaine. Longtemps, les résultats des outils de traduction automatique étaient plus drôles qu'utiles. Phrase incohérente, contresens et autres approximations ne permettaient pas une traduction fluide. Mais les progrès rapides de l'intelligence artificielle sont en train de changer la donne. Disponible en 103 langues, soit 99% de celles parlées dans le monde, Google Translate est le fer de lance de cette révolution. Utilisé par 500 millions d'internautes chaque mois, le service fête aujourd'hui ses dix ans et entre dans une ère nouvelle. Depuis mi-novembre, Google Neural Machine Translation (GNMT) a intégré à son application, pour réduire les erreurs de traduction à un taux variant entre 55 % et 85 %. Cette technologie basée sur les réseaux neuronaux informatiques est conçue pour répliquer le cerveau humain. Il ne considère plus les phrases mot à mot mais dans leur globalité, pour les traduire le plus fidèlement possible. Responsable monde de Google Translate, Barak Turovsky voit en cette innovation la troisième phase de rupture pour la traduction automatique. Son équipe, basée à Mountain View (Californie), est constituée d'une cinquantaine d'ingénieurs et chercheurs qui collaborent avec l'équipe Google Brain de Zurich. «En dix ans, nous sommes progressivement passés de la traduction mot-à-mot, utile mais hachée et imprécise, à une traduction basée sur des fragments de phrases, le Phrase-Based Machine Translation (PNMT). Le Google Neural Machine Translation (GNMT) permet aujourd'hui une approche plus globale de la traduction», explique-t-il au Figaro. «La précision de celles réalisées grâce à cette technologie se rapproche progressivement de celle des humains.» Neuf langues sont pour le moment concernées par le GNMT: l'anglais, le français, l'allemand, l'espagnol, le portugais, le chinois, le japonais, le coréen, et le turc. L'outil est donc utile pour plus d'un tiers de la population mondiale, et 35% des requêtes traitées par Google Translate. Des règles linguistiques auto-apprises Si le passage de Google au GNMT a été remarqué, le groupe n'est pas le seul à se pencher sur les promesses des réseaux neuronaux. «Un grand nombre d'entreprises spécialisées dans la traduction développent actuellement un outil de Neural Machine Translation», indique François Massemin, vice-président des Opérations de SYSTRAN, une entreprise française qui lance un moteur traduction neuronal avec plus de trente langues. À chacun sa spécialité néanmoins. Le moteur de SYSTRAN privilégie la spécialisation. «Nous alimentons nos algorithmes de la terminologie des domaines d'activité de nos clients, qu'il s'agisse de l'automobile, de l'industrie, de la chimie ou encore du tourisme. Ils s'entraînent et auto-apprennent à partir de corpus spécifiques et des segments de phrases préalablement traduits par un humain.» Parmi les clients de SYSTRAN, des grandes entreprises, dont PSA, Adobe, Symantec ou la Société Générale, mais aussi des services de renseignement avides de connaître la teneur des messages échangés en ligne. Google et ses concurrents se gardent bien de livrer la recette de leurs moteurs neuronaux. «Une nouvelle génération de puces [les TPU, ndlr] et des algorithmes sont combinés pour les faire fonctionner», détaille à peine Barak Turovsky. «Ces puces jouent un grand rôle dans la vitesse de traduction. Au lancement de Google Translate par moteurs neuronaux, celle-ci était 100 fois plus lente qu'aujourd'hui», spécifie-t-il. Si les technologies d'analyse ont changé, l'approche des données recueillies sur Internet pour alimenter les algorithmes est toujours la même. «Même il y a dix ans, au lancement de Google Translate, nos algorithmes s'alimentaient de textes traduits trouvés sur Internet, en parcourant le Web. Parmi les documents analysés, des livres mais aussi des articles ou le contenu des déclarations des Nations Unies», rapporte Barak Turovsky. IFRAME: https://www.youtube.com/embed/_GdSC1Z1Kzs De ces textes sont déduits des modèles statistiques à répliquer lors d'une traduction. Les réseaux neuronaux ont cela de particulier qu'ils pourront apprendre par eux-mêmes. Autre innovation majeure, ils pourront bientôt traduire une langue à partir d'autres. «Imaginons que l'on dispose de données entre l'anglais et le japonais, entre l'anglais et le coréen mais pas entre le coréen et le japonais. Le modèle multi-langues nous permettra, une fois lancé, de faire une traduction directe entre le coréen et le japonais, alors même que l'algorithme n'a pas été entraîné à traduire entre ces deux langues.» En d'autres termes, Google crée une autre langue, baptisée à de nombreuses reprises «interlangue», pour traduire deux langues sans qu'on lui ait appris. Ce concept est aussi appelé «zero-shot». Une avancée que les chercheurs qualifient eux-mêmes de «surprenante» et qui évite l'intégration laborieuse de données. De nouvelles expériences de traduction Considérables, les progrès de Google Translate ces dix dernières années n'empêchent pas, à l'occasion, l'occurrence d'erreurs de traduction, parfois étonnantes. Début 2016, certaines traductions de l'ukrainien vers le russe donnaient pour résultat le mot «Mordor» pour Ukraine, ou «occupant» pour russe, probablement sous le coup d'une manipulation humaine. Pour ces cinq prochaines années, Barak Turovsky envisage trois pistes essentielles de travail: conquérir davantage d'utilisateurs, développer de nouvelles expériences de traduction, à l'image de WordLense qui traduit automatiquement le contenu texte de photos, ou de Tap to Translate, qui s'intègre aux applications pour accélérer le passage d'une langue à l'autre lors de discussions entre étrangers. Mais aussi, continuer à améliorer la qualité de la traduction. Pour ce faire, il considère la contribution humaine permise par les outils de Google Translate «plus utile que jamais». «Il y a deux ans, certains ressortissants du Kirghizistan ont réclamé l'intégration du kirghize à Google Translate, mais nous n'avions pas assez de données sur cette langue. Nous leur avons indiqué qu'ils devraient pour cela réaliser la traduction et la validation de deux millions de phrases, ce qui semblait impossible. Mais le message a été repris par le gouvernement et, très rapidement, nous avons pu dénombrer 200.000 traductions par jour. Leur langue a finalement été rendue disponible.» IFRAME: https://www.youtube.com/embed/4xtEp55MKRE L'intérêt de SYSTRAN pour les langues les plus rares est restreint à des pratiques de surveillance. «Nous sommes attentifs au développement de langues telles que l'arabizi et le rusizi», notre François Massemin. «Elles concernent ceux qui parlent l'arabe et le russe mais ne sont pas en mesure de l'écrire en alphabet arabe ou cyrillique. Ces langues intéressent beaucoup les services secrets.» À terme, la comparaison entre une traduction humaine et automatique relèvera essentiellement de la qualité du style. Les cours des valeurs sur Figaro Bourse ALPHABET A __________________________________________________________________ 1.064,47$ -1,33% * Cours& graphique * Dernières actus boursières * Données financières [ ] Elsa Trujillo Elsa Trujillo [XVMa2c9e738-bbd4-11e6-b4eb-1c8a14c3df53-805x453.jpg] Journaliste - Sa biographie 79 abonnés Ses derniers articles * Instagram se lance dans le e-commerce * Cyberattaques : le gouvernement américain annonce des sanctions contre la Russie Sur le même sujet * ALPHABET A * Google * SYSTRAN * Traduction * Internet * Hypertexte * Au CES 2019, Apple se moque ouvertement de Google et Amazon Au CES 2019, Apple se moque ouvertement de Google et Amazon * Google a transféré 20 milliards d'euros aux Bermudes en 2017 * Neuf bonnes résolutions faciles pour mieux protéger sa vie privée sur Internet en 2019 * Le «YouTube Rewind 2018» devient la vidéo la plus détestée de YouTube Thématique : ALPHABET A Suivre Tech & Web * + récents * + commentés * + partagés * Et les télés disparurent Et les télés disparurent * Au CES de Las Vegas, le futur a changé de visage * CES 2019: des innovations pour améliorer le quotidien * Au CES, cet objet «sans écran, ni ondes» aide à trouver le sommeil * Pourquoi une start-up française a décidé de parcourir les États-Unis en camion Plus d'actualités Tech & Web Le Figaro Premium Abonnez-vous pour 1€ seulement Saisissez votre email ____________________ J'en profite Annulable à tout moment Réagir à cet article 23 commentaires * Avatar Abonné Helen Garnier Dans les 2 exemples "Google Translate" reproduits, l'ancienne traduction contient une erreur de syntaxe mais la nouvelle est impeccable. Le 26/06/2017 à 13:52 Alerter Répondre * Avatar lotariev puisqu'elle est artificielle, il faut travailler pour que l'intelligence améliore la pensée humaine, cela rendrait grand service aux politiciens qui courent après les idées. Le 11/12/2016 à 13:06 Alerter Répondre * Avatar Caroline Subra-Itsutsuji Le style, c'est la valeur ajoutée par excellence du traducteur humain ("biotraducteur" pour les intimes), outre le discernement. En traduction, comme en journalisme d'ailleurs, l'intelligence artificielle est une imposture. Pour longtemps. Le 09/12/2016 à 10:25 Lire la réponse à ce commentaire Alerter Répondre + Avatar Abonné Helen Garnier Exact, mais l'elegance de style n'entre pas en jeu dans ces techniques. Les bons traducteurs litteraires seront toujours apprecies. Et la qualite du traducteur n'a rien a voir avec la langue parlee. Andre Gide fut longtemps considere comme le meilleur traducteur de "Hamlet" mais son anglaisparle etait incomprehensible. Le 26/06/2017 à 13:51 Alerter Répondre * Avatar Loïc Lacressonniere Vu que les américains ont du mal à comprendre d'autres langues j'imagine que les progrès en TALN sont une priorité pour la surveillance de masse. Le 07/12/2016 à 17:41 Alerter Répondre * Avatar Dodo128 C'est bien, encore un peu et Google me mettra au chômage... Le 07/12/2016 à 12:16 Alerter Répondre * Avatar Autrement qu’ainsi Je ne comprends pas qu'on puisse réellement s'imaginer qu'une machine puisse traduire correctement un jour. A mon avis, il y a plus de chances que les hommes renoncent à tout humour, toute référence implicite, toute expression imaginée légèrement ou franchement détournée, bref, à leur langue pour adopter un simple code aisément déchiffrable par une machine. C'est vraiment dommageable de propager cette idée absurde auprès du grand public, et ça a aussi de plus en plus de conséquences néfastes sur la profession. Le 07/12/2016 à 10:57 Lire la réponse à ce commentaire Alerter Répondre + Avatar Sir G Vous semblez craindre pour le métier de traducteur. La vrai catastrophe est l'arrivée sur ce marché de milliers de diplômés des départements de LEA des universités, dont le niveau est affligeant. La machine, qu'il serait imprudent de sous-estimer, traduit mieux que la plupart d'entre eux, et convient bien aux textes techniques. Quant aux bons traducteurs, ils n'ont aucun souci à se faire, car comme vous le dites, on aura toujours besoin de gens capable de percevoir la finesse et le sous-entendu, en littérature en particulier. Le 07/12/2016 à 12:13 Alerter Répondre * Avatar de PATUREL BRIGITTE PATUREL BRIGITTE La traduction automatique n'est pas encore de haut niveau, il y a certaines langues ou le Français traduit en Russe laisse à désirer Le 07/12/2016 à 10:36 Lire la réponse à ce commentaire Alerter Répondre + Avatar Gondebaud sachant que vous-même avez déjà des soucis de syntaxe, c'est vrai que ce n'est pas gagné ! Le 07/12/2016 à 12:21 Alerter Répondre * Avatar Abonné féal Il y a encore du chemin à faire, car il y a des langues (allemand notamment, mais bien d'autres aussi) qui me font hurler de rire... Le 07/12/2016 à 10:29 Alerter Répondre * Avatar de KAISADIRE KAISADIRE Encore très imprécise et expérimentale la traduction automatique ... ce n'est pas ce qu'on croit ... Le 07/12/2016 à 10:28 Alerter Répondre * Avatar Sir G Je me suis amusé à faire traduire plusieurs paragraphes de l'article par Google Translate. Les progrès sont effectivement assez impressionnants, et l'outil commence à être utilisable, à condition de procéder à une relecture attentive du résultat, car il reste du chemin à parcourir, comme en atteste la traduction de la phrase "De ces textes sont déduits des modèles statistiques à répliquer lors d'une traduction" par "These texts are deduced from the statistical models to be replicated during a translation", cherchez l'erreur... Le 07/12/2016 à 10:12 Alerter Répondre * Avatar pascapple L'utilisation de la traduction automatique Google ou Facebook est toujours un grand moment de rigolade... qui plus est, c'est gratuit et à la portée de tous. Mais l'optimisme des informaticiens m'étonnera toujours... parler de réseaux neuronaux alors qu'ils sont grosso modo en train d'enregistrer des phrases toutes faites, c'est quand même très fort! Le 07/12/2016 à 09:55 Lire la réponse à ce commentaire Alerter Répondre + Avatar aud51 commentaires de personnes croyant tout savoir sur tout, c'est également un grand moment de rigolade ! Le 07/12/2016 à 10:27 Lire les 2 réponses à ce commentaire Alerter Répondre o Avatar Gondebaud exactly ! Le 07/12/2016 à 12:22 Alerter Répondre o Avatar world28 +10000 Le 07/12/2016 à 10:35 Alerter Répondre * Avatar Henriette du Mans Bien utile, mais peut mieux faire pour traduire oralement et en temps réel, la langue de bois de nos très coûteux politiques qui que savent toujours quoi pas dire. Le 07/12/2016 à 09:14 Alerter Répondre * Avatar Swordy Certes le génie logiciel national à laissé de sérieuses références, comme le langage Prologue, né en France, qui a été conçu par Alain Colmerauer et Philippe Roussel début des années 70, et continue d'être utilisé dans le traitement de données linguistiques. C'est l'un des excellents langages de l'intelligence artificielle de syntaxe facile et intuitive, initialement fondé sur les Clauses de Horn, il utilise le calcul des prédicats du premier ordre, avec d'autres évolutions apportées par le développement d'applications spécialisées. Le 07/12/2016 à 09:09 Lire la réponse à ce commentaire Alerter Répondre + Avatar Amadeus 3.0 Exact mais il s'agit du langage PROLOG... Le 07/12/2016 à 10:08 Alerter Répondre * Avatar Louis Sergent Quels sont les meilleures applications et logiciels de traductions ? Merci ! Et merci également pour votre article très intéressant ! Le 07/12/2016 à 08:09 Lire la réponse à ce commentaire Alerter Répondre + Avatar Sir G Pour de courtes traductions, utilisez Google Translate, et relisez soigneusement le résultat. Je ne connais pas de "logiciel de traduction", mais il existe sur le marché de nombreux logiciels "d'aide à la traduction", dont les plus performants sont chers, souvent assez lourds à utiliser, et pas mal boggés. Ils nécessitent un véritable apprentissage et sont clairement destinés aux traducteurs professionnels. Le 07/12/2016 à 10:18 Lire la réponse à ce commentaire Alerter Répondre o Avatar Louis Sergent Sir G, merci pour votre information ! Le 07/12/2016 à 11:08 Alerter Répondre * Testez vos connaissances ! Des cadeaux à gagner Testez vos connaissances ! Des cadeaux à gagner Jouer * Votre nouveau job parmi 10 000 offres d'emploi Votre nouveau job parmi 10 000 offres d'emploi Rechercher * La boutique en ligne du Figaro La boutique en ligne du Figaro Découvrir * Le Figaro dès 22h sur votre ordinateur Le Figaro dès 22h sur votre ordinateur Lire * 10 astuces pour apprendre n'importe quelle langue facilement 10 astuces pour apprendre n'importe quelle langue facilement Découvrir * Suivez Le Figaro sur Facebook Suivez Le Figaro sur Facebook Découvrir * Plus de 15 newsletters thématiques Plus de 15 newsletters thématiques S'inscrire * Passez votre annonce dans le Carnet du Figaro Passez votre annonce dans le Carnet du Figaro Découvrir * Plus de 500 000 annonces immobilières Plus de 500 000 annonces immobilières Rechercher * Suivez l'évolution de vos conditions météo Suivez l'évolution de vos conditions météo En savoir + * L'actu en temps réel avec Le Figaro L'actu en temps réel avec Le Figaro Suivre * Le meilleur de la presse quotidienne et magazine Le meilleur de la presse quotidienne et magazine S'inscrire * Trouvez la meilleure assurance santé en 3 minutes Trouvez la meilleure assurance santé en 3 minutes Comparer * Jusqu'à 80% de réduction sur les spectacles Jusqu'à 80% de réduction sur les spectacles Réserver * Plus de 7 000 recettes de cuisine à décrouvrir Plus de 7 000 recettes de cuisine à décrouvrir Rechercher * Le vin du mois en exclusivité - prix direct propriété Le vin du mois en exclusivité - prix direct propriété Découvrir * L'intégrale du Figaro sur tous vos écrans L'intégrale du Figaro sur tous vos écrans S'abonner * Toutes les applications mobiles du Figaro Toutes les applications mobiles du Figaro Télécharger * Plan du site * Charte * CGU * CGV * Infos cookies * FAQ * Contact * Abonnements * Services * Mentions légales * Publicité IFRAME: https://cstatic.weborama.fr/iframe/customers/premium.html?idEditeur=114 5&idSite=181 [Iwgj0BF3WBn46VR9y5pCTA?name=Demarking_Le_Figaro]