Etudes supérieuresUniversité - LicenceLes universités adoptent des logiciels anti-plagiat [ADTECH;loc=300;] -- -- [etudiant-desktop.png] Les universités adoptent des logiciels anti-plagiat Par Assma Maad • Publié le 11/06/2013 à 18:23 -- -- [d8d2d0ac-d1e9-11e2-a500-4affa5658f57-493x328.jpg] L’université de Toulouse permet à ses étudiants de contrôler le plagiat dans leurs thèses. cercamon, sous licence Creative commons. -- -- 15% d’emprunts, les étudiants devront refaire leur travail. Véritable fléau dans les universités, le plagiat est désormais pris plus au sérieux. Une majorité d’établissement d’enseignement supérieur -- plus au sérieux. Une majorité d’établissement d’enseignement supérieur a acheté des logiciels anti-plagiat. L’université Toulouse 1 Capitole vient à son tour de se doter de l’outil «Compilatio Magister», chargé -- vient à son tour de se doter de l’outil «Compilatio Magister», chargé de traquer le plagiat universitaire. Le système effectue une recherche de similitude entre un document -- -- déposé est analysé (il faut 5 à 10 minutes pour scruter une thèse de 400 pages). Puis un rapport statistique est publié. L’étudiant peut alors constater la part de plagiat présente dans son devoir. Lorsque la thèse dépasse le seuil minimum de 15%, jugé acceptable par l’instance universitaire, les couleurs évoluent vers le orange, puis le rouge -- -- est habilité à contrôler les travaux. Mais l’Université de Toulouse tient à souligner qu’elle a choisi délibérément de le mettre à disposition des étudiants. «Le plagiat n’est pas toujours un acte intentionnel, et nous savons qu’aucun travail ne comportera jamais 0% de similitude», confie Corinne Mascala, première vice-présidente de -- -- responsabiliser et non les punir», précise-t-elle. «Le plagiat décrédibilise la recherche» Pourtant la tentation est grande. À Toulouse uniquement, le nombre de -- -- Pourtant la tentation est grande. À Toulouse uniquement, le nombre de cas de plagiat a augmenté ces dernières années. «Au total, notre université a recensé 5 cas ces quatre dernières années», avance Corinne Mascala, également présidente du conseil de discipline. -- -- universités du pays, comme ce fut le cas à Toulouse. «Sur 60 pages, 40 étaient totalement reprises d’ailleurs», remarque Corinne Mascala. «Le plagiat décrédibilise la recherche, le plagiat la rend contestable», poursuit-elle. -- -- LIRE AUSSI: » Thèses, doctorats: le plagiat reste tabou à l’université » Le copier-coller sur Internet irrite les profs -- -- Cela fait maintenant deux ans que j'étudie à l'étranger et dans mon université, tout passe par un logiciel anti-plagiat. Je ne vous dis pas à quel point c'est stimulant pour bien citer toutes les sources utilisées. -- -- Par Guillaume13100 12/06/2013 à 13:16 Signaler un abus Et à quand les analyses de plagiat des cours "préparés" par les professeurs? orthographe10