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Près de un français sur deux est en surpoids et, parmi eux, environ un tiers sont obèses. Pour faire le point sur cette "épidémie" d'obésité, retrouvez tous nos articles récents.
Vous avez englouti la tablette de chocolat ou le paquet de chips en 5 minutes ? Parfois, vous n'arrivez pas à contrôler votre consommation d'aliments gras ou sucrés. Peut-être êtes-vous dépendant. Testez-vous.
Dans nos sociétés, la nourriture est accessible à profusion, partout et en permanence. Nos instincts sont dérégulés. Comment retrouver une alimentation raisonnée ? En utilisant notre conscience, nous explique Christophe André. Entretien.
Certains microbiotes intestinaux favorisent le développement de l'obésité et des pathologies associées, tel le diabète. Modifier leur composition pourrait aider à combattre ces maladies.
Plus notre microbiote intestinal est riche et diversifié, plus ses bienfaits sur notre santé sont nombreux. On pourrait donc soigner certaines maladies, tels le diabète et l'obésité, en agissant sur sa composition.
Un Français sur deux environ serait en surpoids. Et la tendance est à la hausse. Le problème est que, tout au long de la vie, les occasions de grossir sont légion.
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Les cellule du cerveau qui ne sont pas des neurones sont aussi capables de moduler les quantités de nourriture que nous mangeons. Une piste pour réguler les troubles alimentaires.
Si vous n'arrivez pas à tenir votre régime ou à respecter vos bonnes résolutions, c'est probablement à cause d'une connexion neuronale insuffisante dans une partie de votre cerveau.
La nature et la diversité des microorganismes vivant dans l'intestin sont autant de facteurs influant sur la santé de l'hôte. La modulation de ce microbiote ouvre des pistes de traitement dans certains cas de diabète et d'obésité.
Selon une hypothèse émise en 1962, un gène favorisant le stockage des graisses a aidé nos lointains ancêtres à traverser les périodes de disette et expliquerait la pandémie actuelle d'obésité et de diabète. Les chercheurs pensent avoir identifié ce « gène d'épargne ».
L'éthanol est très calorique, mais son métabolisme particulier limite en réalité ses effets sur la prise de poids.
Une enzyme cérébrale, participant à l’action de la leptine, une hormone de la satiété, permettrait d’adapter notre consommation alimentaire à nos besoins énergétiques même quand nous sommes surexposés à de la nourriture grasse et sucrée.
Les fonctions du foie, du pancréas et d'autres tissus se synchronisent avec l'horloge centrale de l'organisme grâce à l'action de certains gènes. Le dérèglement de ces horloges périphériques augmente le risque d'obésité, de diabète, de dépression...
Les femmes et les personnes âgées seraient plus matinales que les hommes. C’est en partie génétique : on a découvert 15 gènes associés à ce rythme de vie.
Les nourritures grasses et sucrées « attaquent » les neurones en diminuant le nombre d’épines dendritiques et de protéines synaptiques, réduisant le volume de l'avant du cerveau et érodant les capacités cognitives.
Si les enfants de pères obèses ont un risque plus élevé d’être obèse, c’est peut-être parce que les spermatozoïdes des pères gardent une mémoire de leur obésité.
En « mangeant » la même chose que nous, nos bactéries intestinales produiraient des protéines qui informent notre cerveau sur notre faim. Ce mécanisme vient d'être prouvé chez les rongeurs.
L’étude de populations préindustrielles suggère que nos ancêtres ne dormaient pas plus que nous.
Pourquoi « craquons-nous » parfois pour engloutir compulsivement toute la nourriture qui nous tombe sous la main ?
Que signifie ce mot ? C'est la science du cerveau pour mieux manger. Avec pour objectifs de rester en bonne santé, de se sentir heureux, d'avoir un esprit vif et de garder la ligne.
Quel bonheur de perdre vite beaucoup de poids grâce au nouveau régime de l'été ! Mais quelle désillusion quand les kilos reviennent quelques mois après, avec en prime un surplus… Aucun régime « grand public » ne fonctionne. Les scientifiques savent pourquoi.
Pas forcément au point de mettre sa santé en danger, car la graisse est plus ou moins nocive selon sa localisation.
Les faits scientifiques sont clairs : dormir insuffisamment favorise la prise de poids. Pour retrouver un bon sommeil, nous avons demandé son avis à une spécialiste, Marie-Françoise Vecchierini.
Quand un neurobiologiste en surpoids se plonge dans la littérature scientifique, il découvre la recette du bien maigrir. Extraits du livre de Michel Desmurget, L'anti-régime.
Pour réguler la sensation de faim, le cerveau sonde en permanence les réserves énergétiques et nutritionnelles de l'organisme. Les échanges nerveux avec le système digestif joueraient un rôle clef.
On utilise de plus en plus des électrodes implantées dans le cerveau pour traiter les maladies mentales. Faut-il s'en inquiéter ?
Certains microbiotes intestinaux favorisent le développement de l'obésité et des pathologies associées, tel le diabète. Modifier leur composition pourrait aider à combattre ces maladies.
Les boissons light et autres sucrettes protègent-elle du diabète et de l'obésité ? Une étude chez la souris suggère l'inverse : les édulcorants pourraient perturber le métabolisme en modifiant la flore intestinale.
Les troubles alimentaires pourraient être en partie causés par certaines bactéries de la flore intestinale, qui produisent une protéine influant sur l'appétit.
[Journée européenne contre l'obésité] Les causes de l'obésité sont suffisamment connues pour pouvoir endiguer l'épidémie. Mais pour les spécialistes, la volonté politique ne suit pas. Retrouvez cet article en accès libre, issu d’un dossier consacré à l'obésité.
La perméabilité de certains vaisseaux alimentant le cerveau change en fonction des besoins en énergie de l'organisme. La plasticité de cette interface serait impliquée dans la régulation de la prise alimentaire. Une nouvelle piste pour expliquer l'obésité ?
C'est la flore intestinale, stimulée par les fibres des fruits et des légumes, qui signale au cerveau de « couper l’appétit ».
La pratique d'un sport a un impact positif bien établi sur la santé. De récentes recherches en génomique permettent maintenant de comprendre comment l'activité physique reprogramme le génome et pourquoi le sport bénéficie plus à certaines personnes.
La flore intestinale de personnes minces, transférée à des souris, les protège de l’obésité. De quoi envisager une nouvelle stratégie de prévention de l’obésité ?
Plus votre flore intestinale est riche, moins le risque de prendre du poids et de développer des maladies liées à l’obésité est grand.
Le théorème de la fourmi géante52 équations insoupçonnées au coeur du quotidien
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Comment fait le gecko pour marcher au plafond ?
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