REFRESH(900 sec): http://www.lemonde.fr/sante/article/2012/10/16/obesite-un-facteur-socia l-de-plus-en-plus-marque_1775992_1651302.html #alternate alternate alternate Le Monde.fr : Santé IFRAME: //www.googletagmanager.com/ns.html?id=GTM-MS62MT Le Monde Télérama Le Monde diplomatique Le Huffington Post Courrier international La Vie L'Obs Services Le Monde Partenaires Le Monde Annonces auto Annonces emploi Annonces immo Codes promo Citations Cours d’anglais Formation professionnelle Jardinage Modèles de lettres Orthographe Paroles de chansons Prix de l’immobilier Ventes aux enchères Boutique Le Monde Accueil Hors-Séries Livres DVD CD Unes du Monde Loisirs & papeterie Promotions S'abonner au Monde à partir de 1 € * Édition globale * Édition afrique * Facebook * Twitter * Google+ * Instagram Rechercher Emploi Newsletters * S'inscrire * Connexion Obésité : un facteur social de plus en plus marqué Partager Tweeter En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGV et l’utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d’intérêts et vous permettre l'utilisation de boutons de partages sociaux. En savoir plus et gérer ces paramètres. Rubriques * Accueil * International * Politique * Société * Éco * Culture * Idées * Planète * Sport * Sciences * Pixels * Campus * Le Mag * Édition Abonnés * PLUS DE RUBRIQUES Grands Formats Les décodeurs Vidéos Données du Monde Santé * Société * Santé * Accès aux soins * Accident thérapeutique à Rennes * Addictions * Financement de la santé * Fin de vie * Maternité * Nutrition * Pandémies * Pathologies * Santé mentale * Sécurité sanitaire * Vaccins Obésité : un facteur social de plus en plus marqué La progression de l'obésité se poursuit en France, mais pour la première fois depuis 1997, la hausse se ralentit. La pauvreté est un facteur de plus en plus influent dans la prévalence du surpoids. Le Monde | 16.10.2012 à 10h23 • Mis à jour le 16.10.2012 à 12h33 | Par Pascale Santi La progression de l'obésité se poursuit en France, mais pour la première fois depuis 1997, la hausse se ralentit. La progression de l'obésité se poursuit en France, mais pour la première fois depuis 1997, la hausse se ralentit. C'est ce que montre la dernière étude ObEpi-Roche sur la prévalence de l'obésité et du surpoids, réalisée de janvier à mars auprès de 25 714 personnes âgées de plus de 18 ans, publiée mardi 16 octobre et disponible sur le site Roche.fr. Selon cette enquête, menée tous les trois ans depuis 1997, ces maux touchent aujourd'hui 15 % de la population, contre 14,5 % en 2009, soit une augmentation de 3,4 % qui rompt avec les hausses à deux chiffres des précédentes enquêtes. "C'est la première fois depuis quinze ans qu'il n'y a pas d'évolution significative de l'obésité. On peut espérer que cela se confirme", se félicite le professeur Arnaud Basdevant, chef du service nutrition à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, qui coordonne l'enquête, financée par Roche, avec le docteur Marie-Aline Charles, épidémiologiste et directrice de recherche à l'Inserm. La France fait partie des pays européens qui "résistent" le mieux, contrairement à la Grande-Bretagne et à l'Allemagne qui sont sur des tendances évolutives préoccupantes, sur le "modèle" nord-américain (30 % d'obèses). La part de la population adulte en surpoids dans notre pays reste cependant élevée, avec un taux actuel de 32,3 % (31 % en 1997), soit 14,8 millions de personnes. Le nombre d'obèses a presque doublé en quinze ans pour atteindre 6,9 millions de personnes parmi les 3,1 % de cas d'obésité sévère et 1,2 % d'obésité dite morbide, les plus à risques pour la santé. Les femmes sont plus touchées que les hommes – 15,7 % contre 14,3 % alors qu'on ne comptait que 8,3 % d'obèses dans la population féminine il y a quinze ans. FACTEUR SOCIAL DE PLUS EN PLUS MARQUÉ En France, trois études montrent une stabilisation chez les enfants. En revanche, le nombre d'obèses dans la tranche d'âge 18-24 ans a progressé de 35 % en trois ans, et touche désormais 5,4 % de cette population. Une enquête sur les habitudes de vie des jeunes réalisée par Ipsos-Logica Business Consulting pour Doing Good Doing Well, publiée jeudi 11 octobre, a donné des pistes pour comprendre cette progression. Ainsi, 61 % des jeunes disent manger au moins une fois sur deux devant un écran, ils sautent souvent des repas, compensent en grignotant. Plus d'un jeune sur trois déclare ne pas faire de sport (38 %), un sur quatre boit "souvent" des sodas lors des repas, contre seulement un sur six qui dit boire "très souvent" de l'eau. Le facteur social, observé depuis plusieurs années, est de plus en plus marqué, selon l'enquête ObEpi-Roche. "Cet impact de la trajectoire sociale sur le développement de l'obésité est l'un des points qui nous préoccupe le plus", insiste le professeur Basdevant. L'étude montre en effet que les pauvres sont beaucoup plus touchés par l'obésité que la moyenne. Un quart des personnes dont les revenus mensuels sont inférieurs à 900 euros sont obèses, contre 7 % de celles dont les revenus dépassent 5 300 euros. Une même corrélation est observée avec le niveau d'instruction ou la profession. Evolution de la prévalence de l'obésité, en fonction du sexe, de l'âge et des revenus IFRAME: http://www.roche.fr/fmfiles/re7199006/obepi2012/index.html?module4 Autre facteur d'inégalité : le lieu de résidence. Des différences régionales perdurent: le Nord-Pas-de-Calais est la région à plus forte prévalence d'obésité (21,3 %), suivie par la Champagne-Ardenne (20,9 %) et la Picardie (20 %). La région Provence-Alpes-Côte d'Azur et Midi-Pyrénées sont les régions où ces taux sont les plus faibles, respectivement 11,7 % et 11,6 %. Cette étude ne prend pas en compte l'outre-mer, où les chiffres sont bien supérieurs. Les personnes obèses ont davantage de pathologies que le reste de la population. Une sur trois présente un problème cardio-vasculaire, contre une sur cinq pour la moyenne nationale. De même, on note sept fois plus de diabète traité chez les sujets obèses. Il n'y a pas de méthode miracle pour guérir de l'obésité, dont les causes sont multifactorielles. Le mode de vie est souvent en cause : alimentation trop abondante et/ou trop grasse, vie trop sédentaire, etc. Dans tous les cas, il est nécessaire de mettre en place une prise en charge personnalisée et psychologique. Certes, la psychanalyse n'est pas une technique pour soigner l'obésité. "Mais on essaye de savoir ce qui dans l'histoire de la personne fait qu'elle a un rapport désordonné à l'alimentation", explique Catherine Grangeard, qui propose une approche axée sur l'analyse. Pour Arnaud Basdevant, "au-delà des plans ponctuels de lutte contre l'obésité, il faut mettre en place des programmes de santé publique plus avancés. Le développement des maladies chroniques doit inciter à imaginer des politiques plus ambitieuses". > Voir les résultats de l'étude présentés sous forme de widgets : Les données sur l'obésité et le surpoids en France >> Lire également l'interview de Catherine Grangeard, psychologue et psychanalyste : "L'alimentation peut révéler des blessures" >> "Nous dînons en famille et cela n'a pas de prix", compte-rendu de notre appel à témoignage en direction des 15-25 ans Sur le même sujet * Médecins et patients pour une prise en charge à 100 % de l'hypertension sévère * Philatélie au quotidien * Famille sens dessus dessous Édition abonnés Contenu exclusif * Le rayonnement des "bars à sourire" * Peut-on déduire la pension alimentaire de ses impôts ? * Les privations volontaires Abonnez-vous à partir de 1 € Vu d'ailleurs ▪ École primaire et secondaire ▪ Réforme du collège ▪ La rentrée scolaire ▪ Mort de Zyed et Bouna ▪ Affaire Merah ▪ Société ▪ Exclusion ▪ Attentats du 13 novembre ▪ Affaire des fadettes Le monde abonnements Profitez du journal où et quand vous voulez. Abonnements papier, offres 100 % numériques sur Web et tablette. S'abonner au Monde à partir de 1 € Déjà abonné au journal Le Monde ? * Activez votre accès à l'Édition abonnés du Monde.fr * Gérez votre abonnement Les rubriques du Monde.fr * International * Politique * Société * Économie * Culture * Sport * Techno * Style * L'époque * Idées * Planète * Éducation * Disparitions * Santé * Monde Académie * Résultats élection législatives 2017 * Résultats par circonscription * Résultats par commune Les services du Monde * Annonces auto * Annonces immo * Conjugaison * Cours d'anglais * Jeux * Formation professionnelle * La boutique du Monde * Prix de l'immobilier * Programme télé * Shopping * Source Sûre * Trafic * Decodex * Orthographe et grammaire Sur le web * Sélection de livres * Blog séries TV * Série télévision * Programme TV * Ce soir à la TV TNT * Programme TV de France 5 en replay * Télérama * Musique * Programme TV de Canal plus en replay * Blog TV Les sites du Groupe * Télérama.fr * Talents.fr * Le Huffington Post * CourrierInternational.com * Monde-Diplomatique.fr * La Société des lecteurs du Monde * Le Prix Le Monde de la recherche * L'Obs Partenaires Le Monde * citation amour * radis noir * * Poule au pot * Oeuf mollet * Chantilly * courrier de résiliation * Formation gestion du temps * Codes promo * Code promo Volotea * Paroles Tout va bien Suivez-nous Suivez-nous sur Facebook Suivez-nous sur Twitter Suivez-nous sur Google Plus Suivez-nous sur Instagram Suivez-nous sur Mobile Abonnez-nous à nos flux RSS Recevez nos newsletters Index actualités A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z © Le Monde.fr | CGV | Fréquentation certifiée par l'OJD | Données personnelles | Mentions légales | Qui sommes-nous ? | Charte groupe | Publicité | Aide (FAQ) Journal d'information en ligne, Le Monde.fr offre à ses visiteurs un panorama complet de l'actualité. Découvrez chaque jour toute l'info en direct (de la politique à l'économie en passant par le sport et la météo) sur Le Monde.fr, le site de news leader de la presse française en ligne. En Continu