Comment est-on passé des droits naturels aux droits de l’homme ? L’individu a-t-il gagné en liberté ? Vous aimez cet article ? Partagez le ! -- -- Originellement, l’idée de droit naturel a d’abord été apportée par John Locke dans son Traité du Gouvernemen Civil (1689). Le terme signifie que l’individu en tant qu’être humain naît avec des droits. Ces droits sont inhérents à sa nature, ils n’ont pas été inventés par l’homme, ils préexistent au législateur. Ces droit naturels, ce sont les droits de -- -- droits en des faits concrets. Mais c’est un ordre injuste qui étouffe l’individu et son droit à la liberté. La Révolution a fait couler du sang justement parce que ces droits ont été niés, et non parce que la doctrine en elle-même conduit -- -- droits ont été niés, et non parce que la doctrine en elle-même conduit désespérément à des massacres. Marx argumentait que l’homme était égoïste et que ces droits individuels montaient les individus les uns contre les autres, ce qui était la vraie source de la violence. Tout le monde connait sa solution qui était l’utilisation de la coercition pour -- -- monde connait sa solution qui était l’utilisation de la coercition pour créer l’artifice d’une communauté harmonisée. Le communisme du siècle dernier nous a bien montré qu’à vouloir effacer l’individu, son indéniable soif de liberté finit toujours par ressurgir. Ce sont ceux qui violent ces droits naturels qui créent la violence et les guerres, -- -- la construction des droits de l’homme d’aujourd’hui comme nous le verrons après. Mais encore une fois je pense qu’il est dans l’erreur, car même si la méthodologie est individuelle, le droit naturel dépasse l’individu dans le sens où, bien que ce soit une règle découlant de la nature humaine, il est aussi et surtout une règle qui permet de réguler -- nature humaine, il est aussi et surtout une règle qui permet de réguler la vie en société, c’est-à-dire l’échange entre les individus. Le droit de propriété, même absolu, n’empiète sur aucune liberté. -- -- les droits naturels comme une abstraction métaphysique bien trop simple et trop détachée de la réalité. Je lui répondrais que ce n’est ni plus ni moins que respecter la nature profonde de chaque individu. Qu’il soit égoïste, altruiste, homosexuel, hétérosexuel, homme ou femme, -- soit égoïste, altruiste, homosexuel, hétérosexuel, homme ou femme, l’individu veut qu’on le laisse vivre comme il en a envie tout en laissant vivre les autres comme ils en ont envie. Il ne veut pas être forcé de vivre selon des principes qui ont été reconnus comme justes et -- -- propriété est mentionnée seulement en anglais (property) mais entendu comme la fortune (traduction française). Cette mention spécifie que la fortune d’un individu ne peut pas être un critère de discrimination devant la loi. -- -- parmi les bénéficiaires des droits de l’homme… Il a fallu expliquer gentiment que le maltraitance de sa population n’avait rien à voir avec la culture et que le but de cet accord était de protéger les individus. Outre ces cas extrêmes, même au sein de l’Europe existaient des -- -- politique. Alors que le droit naturel défendrait le fait que chaque individu est libre de faire ses propres choix du moment qu’il en subit les conséquences, les droits de l’homme ne voient aucun inconvénient à -- -- État-nounou. C’est un choix politique. Alors que le droit naturel défendrait le fait que chaque individu est propriétaire de son corps et donc le seul à même de définir sa dignité, les droits de l’homme ne voient aucun inconvénient à laisser l’État -- -- propriétaire de son corps et donc le seul à même de définir sa dignité, les droits de l’homme ne voient aucun inconvénient à laisser l’État juger si le comportement d’un individu est digne ou non, comme si le corps d’autrui lui appartenait, empêchant cette personne d’exercer la profession qu’il a choisie. Est-ce vraiment nécessaire ? C’est un choix -- -- Dans de nombreux cas, les droits de l’homme sont maintenant devenus un outil de coercition pour imposer une vision politique de la société au détriment du respect de la nature de l’individu. L’État n’aime pas la vision lockienne des droits naturels car justement elle lui barre la route, elle est neutre, alors que la politique est engagée. L’État veut -- -- l’humanité en tout lieu et en tout temps, il n’y aurait jamais eu de guerre, la justice régnerait depuis des millénaires, toutes les civilisations seraient prospères et les individus libres. Dans un tel monde il n’y aurait pas besoin d’impôts, d’armées, d’armes, de services secrets, de censures ni de toutes autres pratiques qui par essence -- -- Faut-il violer le droit de propriété pour prévenir une éventuelle menace de la part de ces individus ? Peut-être, mais à condition que la menace soit réelle, certaine et extrêmement importante, que l’impact de l’éventuel passage à l’acte soit démesurément plus grave que la -- -- menace soit réelle, certaine et extrêmement importante, que l’impact de l’éventuel passage à l’acte soit démesurément plus grave que la privation de certains droits pour ces mêmes individus. Ah, mais attendez, un nouveau choix politique… -- -- les ambitions, violer des convictions personnelles, tuer la pensée, l’intelligence et le progrès, piller et miner la réussite, propager la violence et la haine, infantiliser les individus et homogénéiser la société. -- -- n’a aucun moyen d’améliorer son niveau de vie. » La question serait donc : Le système (peu importe lequel) doit-il permettre à tout individu d’exercer son « droit naturel à » et peu importe qu’en faisant cela le système contraigne les autres à perdre justement leur droit naturel ? -- -- religieuse ou étatique. Il faut donc accepter que ce droit dans certain cas ne soit jamais octroyé. Ce qui revient à accepter que des individus meurent si personne ne les aident volontairement, sans coercition. 4. BABA le 30 octobre 2016 à 15 h 58 min -- -- 4. BABA le 30 octobre 2016 à 15 h 58 min « Qu’il soit égoïste, altruiste, homosexuel, hétérosexuel, homme ou femme, l’individu veut qu’on le laisse vivre comme il en a envie tout en laissant vivre les autres comme ils en ont envie. » Je suis d’accord avec la premiere partie, mais je connais