CRITIQUE – Attendu avec une pièce 100 % hip-hop, le chorégraphe Bouba Landrille Tchouda lance sur scène des corps transformés en boomerang pour rappeler la violence de notre société et la disparition de l’individu soumis au diktat du groupe. -- -- sol sous la forme de tâches picturales. Évoluant au contact des corps, elles seront le lieu des combats, de la transformation de la danse et des individus, maculant leur peau de traces de vie. La danse apparaît avec l’émouvant solo d’un homme en état de larve qui -- -- forcément de lien entre elles, comme si la danse exprimait son propos par la pulsion, délivrant quelque chose de non palpable, qui submerge l’individu, une société chaotique, finalement sans véritable sens, qu’il faudrait repenser et relier.