next ? (Submit) Menu Libération (Submit) Connexion Abonnement Mort de Pérès : «Une page de l'histoire d'Israël se tourne» France Planète Futurs Idées Culture / Next Vitamine D : un nourrisson décède après avoir reçu une dose d'Uvestérol 2 janvier 2017 à 23:37 Le jour où François Chérèque a secoué la CFDT 2 janvier 2017 à 20:46 «Les migrants vont nous manquer quand le centre va fermer» 2 janvier 2017 à 20:36 Nouvelle manœuvre pour repousser le premier procès des biens mal acquis 2 janvier 2017 à 19:50 Arte dans les glaces, du Nord au Sud 2 janvier 2017 à 20:36 Les climatologues américains font barrage au péril Trump 2 janvier 2017 à 20:28 Climat: des résistances malgré l’urgence 2 janvier 2017 à 20:27 Bataille navale en mer de Chine méridionale 2 janvier 2017 à 20:27 En France, les régions de droite lâchent les associations en rase campagne 2 janvier 2017 à 20:26 Dix-huit aéroports français changent de mains 2 janvier 2017 à 18:43 Gare du Nord le soir du réveillon : les trains sur leur 31 1 janvier 2017 à 20:26 Trump, Brexit, post-truth, PNL, Hanouna : le générique de fin de 2016 31 décembre 2016 à 21:59 De l’indignation sélective au Maghreb 2 janvier 2017 à 17:51 Olivier Iteanu : «La Silicon Valley cherche à imposer le droit américain à l’Europe» 2 janvier 2017 à 17:26 Schizophrénie turque 2 janvier 2017 à 15:42 Mon cher Turhan, que d’inepties meurtrières 2 janvier 2017 à 11:09 Le son du jour 76 : Draconien comme Factory Floor 3 janvier 2017 à 07:43 Terry Allen, retour à la country natale 2 janvier 2017 à 17:06 Les machines à son de Patrice Moullet 2 janvier 2017 à 17:57 «Reflection», échos d’Eno 2 janvier 2017 à 17:56 Le journal du jour Le direct Six Plus Désintox Photo Le P'tit Libé Portrait Vidéo Sports Voyages Blogs Abonnement 100 numérique A partir de 1€ le premier mois Formule Intégrale Libération en version papier et numérique Èvénements Forum «Demain le travail» Une journée de débat à l'occasion du Salon du Travail Forum «Quand l'eau révèle le monde» Innovation, gouvernance, inégalité, climat La Boutique Unes en affiches Les unes cultes en tirage photo Relire Libé Commander des anciens numéros newsletter (Submit) ok FAQ La rédaction Contact Publicité Données personnelles CGV Charte éthique Crédits Dossier Syrie, la guerre sans fin Tous les articles Un mois dans la vie des femmes Tous les articles Quel avenir pour la Grèce ? Tous les articles Elections américaines 2016 Tous les articles Israël-Palestine, conflit sans fin? Tous les articles Top 1 L’actrice Debbie Reynolds meurt peu après sa fille Carrie Fisher 2 Colombie: le Parlement approuve la loi d’amnistie des Farc 3 Japon: la ministre de la Défense au Yasukuni, un jour après Pearl Harbor 4 Syrie: Moscou et Ankara prévoient un cessez-le-feu avant 2017 5 Piratages russes: des sanctions américaines imminentes info / Vu de Tel-Aviv Mort de Pérès : «Une page de l'histoire d'Israël se tourne» Par Nissim Behar, à Tel-Aviv — 28 septembre 2016 à 11:43 Shimon Peres, à Paris, en mars 2008. Shimon Peres, à Paris, en mars 2008. Photo Sébastien Calvet. Fedephoto L'ancien président, décédé dans la nuit, était une figure politique centrale depuis la création de l'Etat. Mort de Pérès : «Une page de l'histoire d'Israël se tourne» Regrets éternels. Peu avant dix heures du matin, Benyamin Nétanyahou et ses ministres vêtus de noir se sont réunis à Jérusalem pour un «conseil de cabinet exceptionnel» célébrant la mémoire de Shimon Pérès, mort dans la nuit. «Il était le symbole d’Israël, il a accompagné la naissance et le développement de ce pays en contribuant de manière exceptionnelle à sa défense», a déclaré le chef du gouvernement devant ses ministres, affichant une mine de circonstance. Sur sa lancée, Nétanyahou a également célébré «celui qui n’a jamais arrêté de croire à la paix». Une remarque ambiguë lorsque l’on sait que le leader du Likoud et la plupart des membres de son gouvernement ont, dans le courant des années 90, été des opposants farouches à l’accord de paix d’Oslo dont le disparu a été la cheville ouvrière. A l’époque, certains de ceux qui célèbrent aujourd’hui sa mémoire en versant des larmes de crocodile réclamaient d’ailleurs qu’on «le fusille dans le dos»… A lire Shimon Pérès, entre guerres et paix Durant son hommage obligé, le Premier ministre israélien n’a d’ailleurs pas caché ses divergences politiques avec le disparu. «Mais nous avons appris à nous connaître et à nous apprécier au fil du temps», a-t-il poursuivi en révélant qu’il le rencontrait régulièrement en toute discrétion. Et d’ajouter : «Je l’aimais.» A Jérusalem, toutes les radiotélévisions israéliennes ont interrompu leurs programmes habituels dans la nuit de mardi à mercredi pour annoncer la mort de Pérès. Mais l’information n’a pas surpris grand monde puisque, quelques heures auparavant, les membres de sa famille et ses plus proches collaborateurs avaient été appelés à son chevet pour se séparer de lui alors qu’il avait déjà sombré dans le coma. «Sa disparition va créer un vide» Certes, la vie de l’Etat hébreu ne s’est pas arrêtée mais bon nombre d’Israéliens ont eu un pincement au cœur. «Qu’ils l’aient aimé ou détesté, ils se sentent un peu orphelins puisqu’il fait partie de leur cadre de vie», explique Yossi Beilin, une figure du camp de la paix qui a longtemps travaillé avec le disparu. «En effet, depuis la création d’Israël en 1948, Pérès a toujours occupé le devant de la scène israélienne et internationale. Cela signifie que, durant toutes ces années, les Israéliens ont régulièrement vu sa photo, entendu sa voix, ou lu quelque chose à son propos. Sa disparition va créer un vide, ça va faire bizarre.» Sauf imprévu, la dépouille de l’ex-Premier ministre sera exposée jeudi à la Knesset et inhumée le lendemain sur le mont Herzl (Jérusalem). Pour l’occasion, des dizaines de personnalités et de chefs d’Etat sont d’ores et déjà attendus dont François Hollande, Barack Obama, Hillary et Bill Clinton, et le prince Charles, entre autres. «Sans entrer dans des comparaisons qui n’ont aucune raison d’être, ce sera un événement mondial au moins aussi important que l’enterrement de son partenaire Yitzhak Rabin, assassiné en 1995 par le militant d’extrême droite Yigal Amir, affirme le chroniqueur politique Hanan Krystal. A la fin de cette journée, une page de l’histoire d’Israël aura été tournée.» Nissim Behar à Tel-Aviv partager tweeter Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui découvrir le sommaire lire l'édito feuilleter s'abonner à partir d'1€ Offre 100 numérique: 1 € le premier mois Le journal du jour en exclusivité et le journal de demain avant tout le monde Voir les offres d’abonnement partager tweeter Aucun commentaire Portrait Deborah De Robertis : nue debout Grande timide, l’artiste luxembourgeoise de 32 ans, en procès pour exhibition sexuelle, se dénude dans les musées. next Vous êtes abonné à Libération Le journal d'aujourd'hui découvrir le sommaire lire l'édito feuilleter s'abonner à partir d'1€ Offre 100 numérique: 1 € le premier mois Consultation illimitée sur tous les supports Voir les offres d’abonnement Un mot à ajouter ? xiti IFRAME: http://cstatic.weborama.fr/iframe/customers/premium.html?idEditeur=1084 idSite=26