• Premium
  • Actu
  • Economie
  • Sport
  • Culture
  • Lifestyle
  • Madame
  • Figaro Store
  • FigaroTV
  • Santé
  • Etudiant
  • Figarochic.cn
  • Histoire
  • Bourse
  • Nautisme
  • Golf
  • TVmag
  • Scope
  • Voyage
  • Enchères
  • Vin
  • Evene
  • Sport24
  • Météo consult
  • Le particulier
  • Cadremploi
  • La chaîne météo
  • Keljob
  • Kelformation
  • Explorimmo
  • Propriétés de France
  • Ticketac
  • Vodeo
  • Cplussur
  • Twitter
  • Facebook
  • Google Plus
  • Instagram
  • Newsletters

Menu

En direct

Journal

Suivre

Recherche
Culture Culture Culture
  • Cinéma
  • Musique
  • Le Live
  • Théâtre
  • Art-expos
  • Livres
  • BD
  • Jeux vidéo
  • Enchères
  • Vidéos
Menu
Culture

Menu

En direct

Journal
  • Actualité
  • Economie
  • Sport
  • Culture
    • Cinéma
    • Musique
    • Théâtre
    • Art-Expos
    • Livres
    • BD
    • Jeux Vidéo
    • Histoire
    • TV Magazine
    • Le Scan Télé
    • Enchères
    • Chemins faisant
    • Bons Plans
    • Vidéos culture
  • Lifestyle
  • Madame
  • Edition abonnés
  • Services
  • Tous les sites du Figaro

          Umberto Eco : « Il faut filtrer l'information ! »

          • Home CULTURE Livres
            • Par Bruno Corty
            • Publié le 21/05/2015 à 09:29
          Dans son prochain roman, Umberto Eco s'attaque avec vigueur et humour aux tares du journalisme à scandale.

          Dans son prochain roman, Umberto Eco s'attaque avec vigueur et humour aux tares du journalisme à scandale. Crédits photo : Sébastien SORIANO/Le Figaro

          INTERVIEW- Dans Numéro zéro, le sémiologue et romancier italien s'attaque avec vigueur et humour aux tares du journalisme à scandale.

          À quatre-vingt-trois ans, Umberto Eco connaît l'un de ses plus beaux succès en Italie avec numéro zéro. Ce court roman mené à un rythme «jazzy» ne ressemble en rien à ses grandes «symphonies» que sont Le Nom de la rose ou Le Pendule de Foucault. En deux cents pages, il raconte la vie éphémère d'un journal créé par un mystérieux commanditaire et composé de bras cassés. Cette satire féroce permet au sémiologue d'évoquer un de ses sujets préférés: le complot, en déclinant un demi-siècle d'histoire italienne, de la mort de Mussolini à celle de Jean-Paul Ier, en passant par le réseau Gladio, la loge P2 et les Brigades rouges. Le complot et donc, forcément, le métier de journaliste.

          LE FIGARO. - Pourquoi écrire ...

          Cet article a été publié dans l'édition du Figaro du 21/05/2015 . 86% reste à lire.

          Je suis déjà abonnéJe me connecte
          Figaro Digital
          Précédent Suivant
          • Testez vos connaissances ! Des cadeaux à gagner

            Jouer
          • Le meilleur de la presse quotidienne et magazine

            S'inscrire
          • Le vin du mois en exclusivité - prix direct propriété

            Découvrir
          • Plus de 500 000 annonces immobilières

            Rechercher
          • Suivez l'évolution de vos conditions météo

            En savoir +
          • Plus de 15 newsletters thématiques

            S'inscrire
          • Plus de 7 000 recettes de cuisine à décrouvrir

            Rechercher
          • Toutes les applications mobiles du Figaro

            Télécharger
          • Trouvez la meilleure assurance santé en 3 minutes

            Comparer
          • Plan du site
          • Charte
          • CGU
          • CGV
          • Infos cookies
          • FAQ
          • Contact
          • Abonnements
          • Services
          • Mentions légales
          • Publicité
          • Sitemap