(Dominique Reymond). Elle va aussi y croiser un animateur poète à ses
heures (Romain Cottard) et le maire (André Marcon).
Dans sa première partie, celle de l'interview, la satire est réussie,
même si Yasmina Reza abuse des silences. On s'amuse des minauderies de
la journaliste. On savoure le malaise de l'écrivain, qui refuse de