alchimiste, il fait disparaître ses épouses successives. Veuf de sa
cinquième, il la choisit au hasard parmi les filles du village. C'est
léger, mais aussi une satire de la bonne société, sous les frasques
de Napoléon III. "C'est la satire d'un monde bourgeois, c'est aussi la
satire des contes de fées qui sont très cruels, souvent" explique Alain
Surrans, le directeur de l'Opéra de Rennes.
Cruel et comique, puisque sa dernière épouse, Boulotte, refait surface