Zeitung reconnaît déjà un «Alain Delon, vingt-cinq ans plus jeune». Les
critiques allemands semblent malgré tout déçus : «Cela aurait pu être
une satire étincelante de la classe politique ou une comédie romantique
dans un cadre inhabituel», rêve le Spiegel, désolé d’y voir plutôt un
«humour vulgaire».