Le Monde | 18.11.2014 à 19h51 • Mis à jour le 18.11.2014 à 19h57 | Par
William Audureau
S'il reste très satirique, GTA V, comme Assassin's Creed, perdent
l'épaisseur politique et sociale de GTA IV.



Hasard du calendrier, aujourd’hui sort le remake de Grand Theft Auto V
(GTA V), réédition améliorée du jeu sorti en septembre 2013. La saga
GTA n’a jamais raté une occasion de donner dans la satire sociale de
son époque, à l’image de GTA IV, qui thématisait l’exclusion dans le
New York de l’après-11-Septembre.


coproducteur Antoine Vimal du Monteil.

GTA V, la satire jusqu’au nihilisme

Alors, certes, l’ADN d’Assassin’s Creed n’est pas celui de GTA. Avec



Le remake de GTA V, disponible depuis aujourd’hui, entérine pourtant un
retour à une vision moins ambitieuse de la ville-monde. Si la satire
sociale et la critique du consumérisme sont désormais des antiennes de
la saga, le dernier épisode perd la puissance des enjeux du numéro IV.