Alors que «Charlie Hebdo» a été accusé à l’étranger de tourner en dérision la
mort de l’enfant syrien retrouvé sur une plage turque début septembre, le
«New York Times» explique à ses lecteurs que le journal satirique dénonce au
contraire l'inertie de l'Europe.



Si le numéro a fait peu de remous en France, habituée à l’esprit
de Charlie Hebdo, les réactions ont été particulièrement virulentes à
l’étranger, les internautes accusant le journal satirique de xénophobie
et de racisme, accompagnant leurs messages d’un hashtag
#JeNeSuisPasCharlie. La faute à des images «isolées de leur contexte»


— Gilles Klein (@GillesKLEIN) September 14, 2015

Aucune islamophobie là-dedans, mais une satire des propos du Premier
ministre hongrois Viktor Orban, pour qui l’afflux de réfugiés menace
l’identité chrétienne de l’Europe, explique le New York Times, qui