de la rose ou Le Pendule de Foucault. En deux cents pages, il raconte
la vie éphémère d'un journal créé par un mystérieux commanditaire et
composé de bras cassés. Cette satire féroce permet au sémiologue
d'évoquer un de ses sujets préférés: le complot, en déclinant un
demi-siècle d'histoire italienne, de la mort de Mussolini à celle de