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          Poutine : «La crise économique russe durera deux ans maximum»

          • Home ECONOMIE Conjoncture
            • Par lefigaro.fr , AFP, AP, Reuters Agences
            • Mis à jour le 18/12/2014 à 14:57
            • Publié le 18/12/2014 à 10:47

          Crédits photo :

          VIDÉOS - Alors que la Russie traverse sa plus grave crise économique depuis 1998, son président affirme que les mesures prises par le gouvernement et la Banque centrale sont «adéquates». La Bourse de Moscou confirme son rebond.

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          Le président russe Vladimir Poutine a estimé jeudi que la Russie, qui traverse sa plus sévère crise monétaire depuis 1998, renouera avec la croissance dans deux ans maximum, tout en reconnaissant qu'il demeure un espoir d'une amélioration plus rapide. Une sortie de crise est «inévitable», en premier lieu parce que l'économie mondiale continue de croître, a expliqué le président en ouvrant sa conférence de presse annuelle devant plus d'un millier de journalistes. «Nous allons utiliser les mesures que nous avons employées avec succès en 2008», a-t-il expliqué. Le chef de l'État russe a assuré que les programmes sociaux (hausses des retraites et des salaires des fonctionnaires) étaient maintenus, mais que le gouvernement serait peut-être contraint de réduire certaines dépenses sociales en fonction de l'évolution de la situation.

          «Nos partenaires ont décidé qu'ils étaient désormais un empire et que les autres étaient des vassaux qu'il faut faire marcher au pas»

          Vladimir Poutine

          Reconnaissant que la chute du rouble constituait une préoccupation nationale, Vladimir Poutine a admis que «les choses auraient pu être faites plus efficacement pour soutenir la stabilité du marché» et que des décisions auraient pu être prises «plus rapidement». Le président russe a jugé toutefois que le gouvernement et la Banque centrale avaient pris les mesures approriées, les problèmes rencontrés par l'économie russe étant liés à des «facteurs extérieurs». «25% des problèmes sont dus aux sanctions» des pays occidentaux liées à la crise en Ukraine, qui représentent 40 milliards de dollars, soit environ 32 milliards d'euros. L'Union européenne a adopté ce jeudi de nouvelles sanctions visant la Crimée. Elle y interdit tous les investissements européens, ainsi que les croisières vers cette péninsule ukrainienne annexée «illégalement» par la Russie. Le chef de l'État en a profité pour lancer de nouveaux coups de griffe à l'adresse de l'Occident. «Nos partenaires ont décidé qu'ils étaient les vainqueurs, qu'ils étaient désormais un empire et que les autres étaient des vassaux qu'il faut faire marcher au pas», a-t-il déclaré.

          La Bourse de Moscou grimpe et le rouble retrouve des couleurs

          La banque centrale russe intervient sur les marchés pour tenter de limiter la chute du rouble face au dollar et à l'euro mais, a précisé Poutine, elle ne va pas dépenser ses réserves de manière inconsidérée. Selon lui, l'économie russe va s'adapter à cette nouvelle situation si les difficultés se poursuivent et le niveau actuel des taux d'intérêt ne sera pas maintenu pendant toute la durée de la crise. «Qu'on ne se méprenne pas! La crise actuelle n'a rien à voir avec 1998, affirme Christopher Dembik, économiste chez Saxo Bank. Il s'agit d'un énième rebond de la guerre des devises et non pas d'une psychose réelle concernant la santé financière de la Russie».

          «Le discours politique est insuffisant pour restaurer la confiance des agents économiques dans la monnaie. Il en faudra plus»

          Christopher Dembik, économiste chez Saxo Bank

          Ce discours positif de Vladimir Poutine a semble-t-il rassuré les investisseurs, même si pour certains économistes, ce ne sera pas suffisant. «La récente appréciation du rouble est simplement la conséquence des dizaines de milliards de dollars injectés par la banque centrale pour soutenir la devise, poursuit-il. Le discours politique est insuffisant pour restaurer la confiance des agents économiques dans la monnaie. Il en faudra plus. J'entends par là de nouvelles interventions sur les changes et potentiellement une autre hausse du taux directeur». Après s'être envolée de plus de 14% mercredi, la Bourse de Moscou grimpe de nouveau ce jeudi de plus de 7% à 770 roubles. «Les valeurs cotées sont aux mains directement ou indirectement du Kremlin, explique l'économiste. Sa réaffirmation à moderniser l'économie russe va se traduire par de nouveaux contrats et un soutien fianncier notamment en direction des entreprises visées par les sanctions occidentales. Donc c'est très positif pour les indices et les actions».

          La devise russe a également retrouvé des couleurs en début d'après-midi. L'euro ne valait plus «que» 74,99 roubles (contre 77,69 en milieu de matinée) et le dollar, 60,83 roubles (contre 63,10 roubles en milieu de matinée). La devise russe a perdu 40% de sa valeur depuis le début de l'année, conséquence des sanctions liées à la crise ukrainienne et de la chute des cours du pétrole, première source de revenus de l'État. «

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          314 commentaires

          • Avatar
            jlot1

            Pour Poutine maintenant, il ne lui reste plus qu'à inviter en Russie le nord-coréen, Kim Jong Un, et la boucle serait bouclée, ils pourront voir le film ensemble, LOL!

            Le 19/12/2014 à 20:45
            Lire la réponse à ce commentaire AlerterRépondre
            • Avatar
              Silfen

              C'est fait.
              19.12.214: Vladimir Putin invites Kim Jong-un to Moscow
              http://www.theguardian.com/world/2014/dec/19/vladimir-putin-invites-north-korea-kim-jong-un-moscow

              Le 21/12/2014 à 20:21
              AlerterRépondre
          • Avatar
            Poquelin

            Apres plusieurs annees difficiles Obama enchaine desormais les succes en matiere de politique etrangere.

            Le 19/12/2014 à 10:17
            AlerterRépondre
          • Avatar
            imperium

            En attaquant l'Ukraine et en annexant la Crimée, la Russie a violé sa parole, mais pas seulement. L'intégrité territoriale de l'Ukraine contre sa dénucléarisation (3° arsenal de l'époque) était garantie par le traité du 5 décembre 1994 signé par les états suivants: Russie, Etats-Unis, Royaume-Uni, France et Chine. Tous ces pays ont donc le devoir d'aider l'Ukraine a recouvrer ses frontières de 1994. La Russie n'est pas chez elle chez ses voisins...
            Poutine pensait que les " succès " en Georgie et en Abkhasie, et surtout la reculade contre Damas ont fini de persuader les russes et Poutine de la passivité des occidentaux, de notre peur de la confrontation et que forts de cette certitude ils pensaient que Poutine aurait les mains libres pour bafouer l"intégrité territoriale de ses voisins

            Le 19/12/2014 à 04:04
            AlerterRépondre
          • Avatar
            Poquelin

            Économiquement la Russie va passer derrière l'Italie, ce serait dommage de se faire doubler par la Grèce d'ici 2 ans.

            Le 19/12/2014 à 00:12
            AlerterRépondre
          • Avatar
            enemadu99

            Ce que j'aimerais c'est qu'il y ait un vague de très très gros froid, afin qu'on prennent tous chers, autant au niveau du portefeuille que physiquement, je vous rappelle que le gaz qui chauffe l’Europe viens à 80% de la Russie, s'ils ferment complètement les robinets parce qu'on les sanctionnent trop c'est pas le gaz de schiste impropre, ultra cher qui sera surement exporté en quantité insuffisante qui suffira a nous chauffer.

            Le 18/12/2014 à 23:04
            Lire les 2 réponses à ce commentaire AlerterRépondre
            • Avatar
              nbanba

              En France, seul 10% du gaz vient de russie. Il serait facile de'en faire venir d’Algérie. Mais rien ne vous empêche d'aller rejoindre votre nouvelle patrie et d'abandonner la nationalité française.

              Le 19/12/2014 à 18:59
              AlerterRépondre
            • Avatar
              Poquelin

              Oui voilà. Donc comme la Russie n'a plus d'argent avec le pétrole elle va arrêter de nous vendre du gaz, ça semble logique. Les russes recommencerons à manger dans 2 ans après tout. A part ça vous souhaitez qu'on meurt de froid pour avoir raison, c'est gentil de votre part. Un peu comme un écolo qui souhaiterait l'explosion d'une centrale nucléaire pour pouvoir dire "je vous l'avais bien dit".

              Le 19/12/2014 à 00:08
              AlerterRépondre
          • Avatar Abonné
            Proff

            Par contre en France, le président assure...

            Le 18/12/2014 à 19:52
            AlerterRépondre
          • Avatar
            Alain PRIVAT

            Les Russes ne devraient pas attendre deux ans pour virer Poutine.....

            Le 18/12/2014 à 19:07
            Lire les 4 réponses à ce commentaire AlerterRépondre
            • Avatar
              Bo W.

              Alain Privat@19:07
              Pourquoi voulez-vous, que les Russes " virent " un présidant populaire ? Le notre est impopulaire et il est toujours là..!

              Le 18/12/2014 à 20:32
              AlerterRépondre
              • Avatar
                Kolchik

                Il est populaire (ce sont les sondages russes qui le disent) mais il s'accroche aussi au pouvoir en faisant voter des lois pour s'y maintenir ad vitam... là est le problème.

                Le 18/12/2014 à 20:59
                AlerterRépondre
                • Avatar
                  Bo W.

                  Kolchik@19:07
                  Vous raisonnez avec une conception occidentale où le mot démocratie a une " certaine " signification, mais pas toujours dans le bon sens... En revanche en Russie, avant la chute du communisme, ce mot n'existait pas dans le vocabulaire russe et le pays a toujours été gouverné par des " dictateurs " et le plus libéral de tous était certainement Nicolas II, le dernier tsar.

                  Le 18/12/2014 à 22:19
                  AlerterRépondre
                • Avatar
                  Peatesque

                  C'est un problème... pour vous.

                  Le 18/12/2014 à 21:45
                  AlerterRépondre
          • Avatar
            redazur

            Si c'est Mr Irma qui le dit!

            Le 18/12/2014 à 18:25
            AlerterRépondre
          • Avatar
            EL FAHAMA

            Je pense que les sanctions contre la Russie n'auront aucun effet à long terme. La Russie est le premier pays producteur de pétrole et gaz, il lui suffit de serrer un tout petit peu les vannes du gaz pour voir l'Europe grelotter. Devant les Américains les Russes sont prêts a tous les sacrifices, les perdants sont les USA qui investissent des sommes colossales pour le gaz et pétrole de schistes qui ne sera pas rentables dans les jours a venir, ensuite ce sera l'effondrement de l'ensemble des économies le Krash et on verra qui va gagner.

            Le 18/12/2014 à 18:07
            Lire la réponse à ce commentaire AlerterRépondre
            • Avatar
              Alain PRIVAT

              La Russie a désespérément besoin de vendre son gaz et son pétrole qui sont ses seules sources de devises. Pas de devises = pas d'importations de biens alimentaires = famine en Russie !

              Le 18/12/2014 à 18:41
              AlerterRépondre
          • Avatar
            prof1

            Deux ans, c'est ce qui reste à Obama pour terminer son mandat. Une fois cet instigateur de la guerre froide contre la Russie parti, on peut espérer un président Américain plus équilibré, moins obsédé par Poutine.

            Le 18/12/2014 à 18:06
            Lire les 2 réponses à ce commentaire AlerterRépondre
            • Avatar
              jlot1

              "on peut espérer un président Américain plus équilibré"
              Heu....Bush??LOL!

              Le 18/12/2014 à 19:10
              AlerterRépondre
            • Avatar
              Tomeck

              Vous faites des illusions, le prochain président pourrait être républicain. Les républicains ne sont pas meilleurs que les démocrates pour la Russie. Regardez McCain.

              Le 18/12/2014 à 18:41
              AlerterRépondre
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