#alternate alternate * Le Scan Politique * International * Economie * Bourse * Décideurs * Le Scan Eco * Sport24 * Le Scan Sport * Culture * Lifestyle * Madame * Figaro Store * FigaroTV * TVmag * Le Scan TV * Santé * Etudiant * Figarochic.cn * Histoire * Immobilier * Nautisme * Golf * Figaroscope * Voyage * Enchères * Vin * Jardin * Météo consult * Annuaire santé avec PagesJaunes * Le particulier * Cadremploi * La chaine météo * Keljob * Kelformation * Explorimmo * Propriétés de France * Ticketac * Cplussur Abonnez-vous * Facebook * Twitter * Google Plus * Instagram * Youtube * Tumblr * Newsletters * iOS (iPhone, iPad..) * Android ____________________ (BUTTON) Rechercher Menu En direct Le journal Suivre Recherche Figaro Figaro Figaro * Premium * Actualité * Economie * Sport * Culture * Lifestyle * Madame * FigaroTV * Vox Menu Figaro Premium Abonnez-vous Menu En direct Le journal ____________________ (BUTTON) * Actualité + Le Figaro Premium + Abonnez-vous + International + Politique + Le Scan Politique + Société + Figaro Vox + Figaro Etudiant + Science & Environnement + Tech & Web + Figaro Magazine + Figaro Santé + FigaroTV / vidéos + Blogs + Diaporamas + Infographies + Toute l'actu + Cop21 en France + Agir pour le climat + Les Bons Moments + Chemins faisant * Economie * Sport * Culture * Lifestyle * Madame * Edition abonnés * Services * Tous les sites du Figaro Dans la tête de Vladimir Poutine * Home ACTUALITE International * + Par Pierre Avril + Mis à jour le 26/04/2014 à 15:36 + Publié le 24/04/2014 à 15:38 En pleine crise ukrainienne, le 28 mars dernier, Vladimir Poutine se rend au Kremlin pour présider une cérémonie en l'honneur d'officiers de haut rang nouvellement brevetés. Une arrivée digne d'un tsar au moment où l'Europe et les Etats-Unis peinent à trouver un plan d'action et hésitent sur le choix d'une stratégie commune. En pleine crise ukrainienne, le 28 mars dernier, Vladimir Poutine se rend au Kremlin pour présider une cérémonie en l'honneur d'officiers de haut rang nouvellement brevetés. Une arrivée digne d'un tsar au moment où l'Europe et les Etats-Unis peinent à trouver un plan d'action et hésitent sur le choix d'une stratégie commune. Crédits photo : REUTERS Le président russe fait peur en Occident. Et de plus en plus depuis le développement de la crise en Ukraine. Sa cote de popularité a pourtant de quoi faire bien des envieux. Que se passe-t-il exactement dans la tête de Vladimir Poutine ? Eléments de réponses, puisés aux meilleures sources. Publicité Source Le Figaro Magazine Lorsqu'il s'avance, de son allure mécanique, près du pupitre disposé dans la salle des fêtes du Kremlin, Vladimir Poutine sait son heure de gloire venue. Sa popularité est au zénith, la population de Crimée s'est jetée deux jours plus tôt dans les bras de la Russie et tous les dirigeants du pays, réunis ce 18 mars pour écouter l'adresse à la nation de leur leader, sont prêts à lui faire un triomphe. Les rubans de Saint-Georges - emblème patriotique de la Russie - sont épinglés aux boutonnières. «La Crimée, ce sont les tombes des soldats russes, c'est aussi Sébastopol, la patrie de notre flotte de la Mer noire. Chacun de ces lieux est saint, ils sont le symbole de notre gloire militaire», déclare Vladimir Poutine, avec en toile de fond la figure de l'aigle à deux têtes. Les nationalistes et les communistes de la Douma exultent. Le pays semble communier derrière son chef. Pour le politologueAlexeï Zoudine, «nous sommes entrés dans une nouvelle réalité politique. Vladimir Poutine est considéré comme une ressource stratégique de l'Etat russe, au même titre que son immense territoire, ses ressources naturelles et ses forces militaires.» Un mois plus tard, l'épisode de la Crimée est en passe de nourrir les futurs manuels d'histoire, en cours d'élaboration. Aux événements de la péninsule, ont succédé les violences dans le sud-est de l'Ukraine. Parallèlement, dans un café bio du centre de Moscou, Viktor Chenderovitch a rendez-vous avec son avocate. Ce journaliste écrivain, l'une des voix les plus critiques de la société russe, est astreint à payer un million de roubles (environ 20 000 euros) à un député de la Douma qui lui reproche d'avoir comparé les agissements du Kremlin au régime hitlérien. Cet intellectuel - une catégorie dont l'influence ne cesse de décliner dans le pays - figure sur l'une de ces nombreuses listes qui fleurissent aujourd'hui sur l'internet, chargées de débusquer les «traîtres à la patrie». Sur son carnet d'adresses téléphonique, il recense les innombrables correspondants anonymes qui, à intervalles réguliers l'injurient, soit par ce qu'il fait partie du cercle honni des libéraux, soit en raison de ses origines juives. L'écrivain ne s'étonne pas, outre mesure, de ces pressions. Elles sont, à ses yeux, le fruit des quinze ans passés par Vladimir Poutine au pouvoir. «Le résultat était prévisible. Celui-ci a réussi à renforcer le régime du pouvoir personnel, à exterminer toute concurrence politique, à contrôler par la télé et la radio l'écrasante majorité de l'expression publique. La propagande déployée est comparable à celle de Goebbels, par son impudence et son éloignement des réalités.» Viktor Chenderovitch décèle trois étapes décisives dans la carrière politique de son adversaire, depuis son accession au Kremlin en 2000: d'abord la prise de contrôle des télévisions privées, la prise d'otages de Beslan par des combattants islamistes (2004) suivie par l'annulation des élections des gouverneurs, et enfin la fameuse phrase selon laquelle, la chute de l'URSS fut «la plus grande catastrophe géopolitique du XXe siècle», précurseur des événements d'Ukraine. «Depuis son retour au Kremlin, en 2012, Poutine est devenu un vrai leader autoritaire, il s'est glissé dans la posture du souverain absolu, et l'Occident commence à comprendre à qui il a affaire», estime Chenderovitch. Depuis les manifestations anti-Poutine de l'hiver 2011, les lois répressives se sont multipliées. Plusieurs économistes rappellent que l'ascension politique de Poutine n'a pu s'accomplir que dans le cadre d'un environnement quasi miraculeux, sur fond de croissance débridée des pays émergents et de prix élevés du pétrole. Corrélée avec une entreprise de stabilisation budgétaire, l'introduction de réformes fiscales et bancaires, ce cadre macro-économique a permis à la Russie d'échapper au chaos des années 90, avec ses crises financières devenues le cauchemar de la population. Néanmoins, quinze ans plus tard, les problèmes de la Russie demeurent. Les promesses de modernisation sont restées lettre morte. Malgré l'adhésion de la Russie à l'OMC en 2012, les réflexes protectionnistes ont repris le dessus, les privatisations annoncées ne se réalisent pas, l'économie reste plus que jamais dépendante des hydrocarbures. L'arrestation de l'oligarque Mikhaïl Khodorkovski en 2003 - dont les conséquences n'ont pas été effacées par sa libération dix ans plus tard - a rappelé à tout grand patron son état de sujétion au Kremlin, tout comme celui de la justice. L'état des routes et du système de santé - pour ne citer qu'eux - reste calamiteux. «Tout le monde crie : Bravo la Crimée! En attendant, le pays est incapable de soigner ses malades», s'insurge Tatiana, enseignante dans un institut moscovite. Surtout, la corruption persiste à l'état endémique. Elle est reconnue comme telle par les citoyens russes et les investisseurs internationaux qui classent le pays à la 127e place (sur 177), selon les barèmes de l'ONG Transparency International. Parmi l'un des principaux reproches adressés à Vladimir Poutine par ses électeurs, figure celui de s'être «associé à des politiciens corrompus», selon un sondage de Levada-Center. «Depuis 2012, il est devenu clair que la priorité de ce régime n'est plus la croissance économique mais la recherche d'un système qui permettrait aux élites actuelles de rester au pouvoir le plus longtemps possible», explique l'économiste Sergueï Gouriev, réfugié en France depuis un an, où il enseigne à Sciences-Po Paris. Ces faiblesses structurelles, que Vladimir Poutine n'a pas su ou pas voulu corriger, devraient alourdir le fardeau du pays, au moment où son économie s'apprête à entrer en récession. Seuls les prix élevés du pétrole devraient permettre à Moscou d'encaisser le choc, l'une des meilleures assurances-vie du Président russe, aux côtés de la fidélité que lui témoignent, toujours, ses multiples affidés. [micronav.png] La rédaction vous conseille : * Halte au Poutine bashing! Le témoignage d'un écrivain franco-russe [picture-261706-5hr0qc1.jpg] Pierre Avril * auteur * 53 abonnés * Correspondant à Moscou Ses derniers articles * La Sibérie, fabrique à djihadistes * L'Ukraine fait défaut sur sa dette russe de 3 milliards de dollars * Les banques russes engagées dans un sauvetage périlleux Sur le même sujet < > * Vladimir Poutine * Viktor Chenderovitch * Mikhail Khodorkovski * Serguei Gouriev * Ukraine * Russie * Russie : la crise freine la conquête de la Lune * La Russie prépare aussi un plan d'austérité * Poutine : toutes les femmes de sa vie * Russie: le Kremlin de nouveau aux trousses de Khodorkovski * Thématique : Vladimir Poutine * International * + récents * + commentés * + partagés * L'Iran appréhende deux navires de la Marine américaine dans ses eaux territoriales * Obama appelle les Américains à ne pas avoir peur de l'avenir * 180 Cubains ont quitté le Costa Rica pour les Etats-Unis * Attentat à Istanbul, les médias turcs sous contrôle * Plus d'articles International Services Partenaires Le figaro Premium Le Figaro en illimité et un plaisir de lecture inédit dans votre nouveau rendez-vous avec l'information. 1 mois offert sans engagement Réagir à cet article Publicité 330 commentaires * Avatar arunachal A quand un article "dans la tête de bush" qui est responsable de millions de morts en irak et "dans la tête de sarko" pour la guerre menée en libye, alors que poutine pour l'instant n'a fait aaucun mort même en annexant la crimée? Visiblement la propagande occidentale bat son plein! Le 28/04/2014 à 15:17 AlerterRépondre * Avatar Fabius Maximus Pierre Avril for President ! Oups, je voulais dire наш Президент. Le 27/04/2014 à 23:43 Lire la réponse à ce commentaire AlerterRépondre + + Avatar Kolchik Россия без Путина! Le 28/04/2014 à 12:06 AlerterRépondre * Avatar varenyky A lire le nombre de commentaires négatifs, la majorité des lecteurs pensent que Pierre Avril est plus "à coté de ses pompes" que dans la tête de Vladimir Poutine. Je le pense également. Le 27/04/2014 à 19:06 AlerterRépondre * Avatar Abonné VERVEINE3 Il est dommageable que ce qu'il y a dans la tête de Poutine ne soit pas aussi dans la tête de notre président, c'est là le problème, je n'en vois pas d'autre. Le 27/04/2014 à 16:03 Lire la réponse à ce commentaire AlerterRépondre + + Avatar ZORBECK Non merci, sans façon, en plus d'être, comme la Russie, en crise économique, je n'apprécierais pas que notre Président plonge le Pays dans la guerre et les sanctions internationales. Le 27/04/2014 à 17:11 AlerterRépondre * Avatar NS2022 Poutine est une star dans son pays, seul Kim Jong-un jouit d'un tel niveau de popularité. Le 27/04/2014 à 13:55 Lire les 3 réponses à ce commentaire AlerterRépondre + + Avatar Abonné Nicolas 259 Cela vous est donc tellement insupportable que le peuple russe soit en majorité fier et content de son gouvernement ? ? Le 27/04/2014 à 15:56 AlerterRépondre o o Avatar Fabius Maximus Oui, c'est ça (et ça se voit). A l'Ouest, on préfère un président russe qui affaiblit le pays et le rend plus pauvre et vulnérable que le contraire. On ne veut pas se rendre compte que les années '90 sont terminées depuis longtemps et qu'il serait bon d'adapter l'agenda politique aux réalités au lieu de vivre dans l'illusion. Le 27/04/2014 à 23:48 AlerterRépondre # # Avatar Kolchik Un homme pour être heureux n'a pas besoin que d'aisance matérielle, la liberté de dire, d'entreprendre, de créer et une société paisible c'est essentiel aussi. La vie ne se résume pas un sac de marque ou à de clinquantes galeries commerciales. Le 28/04/2014 à 19:37 AlerterRépondre * Avatar alain reveniaud Les lecteurs en ont assez de cette désinformation prégnante anti Poutine qui ruine la crédibilité de la presse et vont chercher ailleurs l'information. Par ailleurs, Poutine est le chef d'état qui défend son pays quand les autres, européens ceux là, l'abandonnent aux mains d'une Europe US... Cette Europe US entretenue délibérément dans une tour de Babel improductive et pour que les rênes de cette Europe là soient confiés aux US, l'affaire de l'Ukraine est révélatrice, qui négocie avec les russes, sont-ce les européens ???!! Toute cette grande mystification européenne est sur UPR. fr qui vous explique la nécessité et les moyens d'en sortir. Une pépite.. Le 27/04/2014 à 08:54 Le 27/04/2014 à 12:51 Lire les 4 réponses à ce commentaire AlerterRépondre + + Avatar Jim009 @alain reveniaud - Ben voyons.. Tout le monde sait très bien que des pays membres de l'Union européenne comme l'Allemagne, l'Autriche, les Pays-Bas, la Finlande, la Slovaquie, et bien d'autres sont "improductifs"... Le 27/04/2014 à 13:52 AlerterRépondre o o Avatar alain reveniaud Non, Autriche et surtout Allemagne nous plument à cause d'euro trop fort qui leur va comme un gant et vous ne devez pas vous rendre beaucoup aux Pays Bas ni côtoyer de néerlandais pour dire que ça va bien chez eux , quant à la Finlande, un pays de 2.5 millions d'habitants, à peine plus grande que Paris ! Creuser est important, tjs, avant de lancer des poncifs ! Le 27/04/2014 à 15:39 AlerterRépondre # # Avatar Jim009 @alain - Aucun" poncif "... Vous exposez que l'Europe est "improductive".. Aussi, démontrez-nous que ces pays sont "improductifs".. Le 27/04/2014 à 16:46 AlerterRépondre @ @ Avatar alain reveniaud @Jim09 L'Europe au sens de l'Union européenne telle que je l'entends est improductive puisque le taux de chômage explose dans les pays ZE par rapport aux pays HZE. De 2007 à nos jours, pendant la période de crise, on voit très clairement l’accroissement inexorable du taux de chômage entre ZE17 et HZE10. En mars 2013, ZE17 est à un taux de chômage de 12,1 % alors que HZE10 est à un taux de chômage de 8,6 %, soit un différentiel de 3,5 points, ce qui est considérable ! On voit que le taux de chômage entre 2011 et mars 2013 pour HZE10 diminue de 9 % à 8,6 % alors que celui de ZE17 augmente de 10,7 % à 12,1 %.. Voilà pour l'économie, on pourrait segmenter par pays ZE et HZE mais ce serait trop long... Au plan politique, l'échec tient à l'impossibilité de faire accepter à des états nations la perte de leur souveraineté pour aller vers un fédéralisme quand aucune véritable communauté d'intérêts ne les réunit et de facto, la destruction de l'euro viendra d'elle-même comme toutes les monnaies plurinationales de l'histoire !! Le 27/04/2014 à 19:49 AlerterRépondre * Avatar alain reveniaud Les résultats décoiffants d'un sondage du journal britannique The Independent, lequel pose la question : « Quel est votre leader favori à l’échelle mondiale ? » avec une teneur anti-russe manifeste. Le classement est sans appel : Poutine 82%, Merkel 8%, Obama 4%, Cameron 2%, Hollande 1%, Shinzo Abe 1%... Le 27/04/2014 à 12:47 Lire la réponse à ce commentaire AlerterRépondre + + Avatar Kolchik UN sondage?!! Vous voulez dire une question posée en direct aux internautes de The independant avec un choix restreint de 8 chefs d'état. D'ailleurs ce soir Poutine est redescendu à 61% et Shinzo Abe est à 32% Hollande à 0%. Tout ça n'est absolument pas sérieux et ce manque de rigueur et de sérieux m'étonne de la part de gens si avides ici d'avoir une vision différente mais vrai du monde. Le 28/04/2014 à 00:24 AlerterRépondre * Avatar pat33460 Malgré tout ce que raconte les médias Poutine est aimé des français et en Angleterre aussi et largement voir le sondage du Guardian du mois d'avril. Ils ont même été obligé de le refaire car les résultats étaient tellement énormes en faveur de Poutine. Le 27/04/2014 à 12:26 Lire les 3 réponses à ce commentaire AlerterRépondre + + Avatar ZORBECK Ah ben, s'ils l'ont fait 2 fois, ça explique qu'il ait eu un gros score... Le 27/04/2014 à 18:02 AlerterRépondre o o Avatar Fabius Maximus Le Guardian est inféodé au Kremlin, c'est bien connu ! (en fait, c'était The Independent, il me semble - même remarque) Le 27/04/2014 à 23:45 AlerterRépondre # # Avatar Kolchik Si c'est de "The independant" que vous parlez ce n'est pas un sondage c'est une question posée aux internautes (comme le fait régulièrement le Figaro) qui n'a donc aucune valeur de sondage puisque par exemple pour "the independant" des Russes ou des Ukrainiens russophile-phone ont pu cliquer sur un des huit présidents proposés. On ne peut faire un sondage si on prend n'importe quelle population, il faut d'abord trouver le bon échantillonnage de la population. Si on interroge l'ensemble de la population d'un pays il faut que l'échantillon de sondés ressemble à cette population c'est à dire proportionnée dans leur origine sociale, économique, géographique (ruraux, urbains) et bien sûr avec la même proportion au niveau des âges. Ces réponses à la question posée aux internautes dénotent juste qu'une forte proportion d'internautes de (certains) médias européens ont une préférence politique pour les populistes brutaux et manichéens ce qui est plutôt inquiétant... Le 28/04/2014 à 12:29 AlerterRépondre * Avatar FRESSE MICHEL Poutine sera seulement canonisé par les obus de l'Otan Le 27/04/2014 à 11:44 Lire la réponse à ce commentaire AlerterRépondre + + Avatar Dany L Faites-nous signe s'il faut rire! Le 27/04/2014 à 15:49 AlerterRépondre * Avatar rebellio Le sytème mené par l'OTAN a trouvé son Belzébuth et mène une campagne de diabolisation médiatique tournant complaisamment en boucle. Il serait donc devenu normal que les USA aient 32 bases militaires fraternellement installées très loin de leur territoire national et qu'ils contrôlent amicalement par la NSA toutes les activités économiques et diplomatiques de ce qu'ils appellent leurs alliés. La dissolution du pacte de Varsovie aurait du, par réciprocité et dans l'intérêt de la pais mondiale entrainer celle de l'OTAN. Il n'en est rien, au contraire, et l'OTAN intervient où il veut, comme il veut, quand il veut, pour les raisons qu'il veut, sans se soucier de l'ONU qu'il a supplanté, au service exclusif de l'empire du bien. Ce déséquilibre géostratégique menace la paix mondiale. Le 27/04/2014 à 11:24 AlerterRépondre * 1 * 2 * 3 * 4 * 5 * 6 * 7 * 8 * 9 * 10 * 11 * > (Afficher plus de commentaires) Afficher plus de commentaires Précédent Suivant * [Lachainemeteo.jpg?759ad1a7dcf941de0b3ac21a6abb04da3231942c] Suivez l'évolution de vos conditions météo En savoir + * [ApplisMobiles.jpg?759ad1a7dcf941de0b3ac21a6abb04da3231942c] Toutes les applications mobiles du Figaro Télécharger * [Newsletters.jpg?759ad1a7dcf941de0b3ac21a6abb04da3231942c] Plus de 15 newsletters thématiques S'inscrire * [Emploi.jpg?759ad1a7dcf941de0b3ac21a6abb04da3231942c] Votre nouveau job parmi 10 000 offres d'emploi Rechercher * [Babbel.jpg?759ad1a7dcf941de0b3ac21a6abb04da3231942c] 10 astuces pour apprendre n'importe quelle langue facilement Découvrir * [FigaroStore.jpg?759ad1a7dcf941de0b3ac21a6abb04da3231942c] La boutique en ligne du Figaro Découvrir * [Vin.jpg?759ad1a7dcf941de0b3ac21a6abb04da3231942c] Le vin du mois en exclusivité - prix direct propriété Découvrir * [Carnetdujour.jpg?759ad1a7dcf941de0b3ac21a6abb04da3231942c] Passez votre annonce dans le Carnet du Figaro Découvrir * [Twitter.jpg?759ad1a7dcf941de0b3ac21a6abb04da3231942c] L'actu en temps réel avec Le Figaro Suivre * Plan du site * Charte * CGU * CGV * Infos cookies * FAQ * Contact * Abonnements * Services * Mentions légales * Publicité * Sitemap IFRAME: //cstatic.weborama.fr/iframe/customers/premium.html?idEditeur=1145&idSi te=181