Le projet de l'État pour espionner les données personnelles
En clair : Les forces de l'ordre, mais aussi le ministère de l'Intérieur ou Bercy pourront avoir accès à tout ce que conservent et traitent les opérateurs d'Internet et de téléphonie pour établir leur facture au client, mais aussi «à la localisation des équipements terminaux utilisés», sans parler bien sûr de «la liste des numéros appelés et appelant, la durée et la date des communications», les fameuses «fadettes».
Le texte doit revenir ce mardi, pour deux jours à l'Assemblée. Mais cette fois, les grands acteurs d'Internet voient rouge.
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