S'identifier | S'inscrire | Aide les implants cochléaires Mot : __________ Pseudo : __________ [ ] Filtrer Rechercher -- cas d'abus je suis contre les implants cochléaires pour de nombreuses raisons. Il y a une notion de normalité, là dedans. On veut à tout prix que les -- IFRAME: http://platform.twitter.com/widgets/tweet_button.html?text=les implants cochl%C3%A9aires&lang=fr_FR 1. j'aime 0 -- c'est de pouvoir être autonome, indépendant dans le monde d'entendants qui est le notre aujourd'hui. Cette liberté l'implant l'offre sur un plateau, pourquoi s'en priver, au nom de quoi ?! C'est une avancée -- urdité pour tes enfants, puisque le monde du silence est si riche ? Une implanté comblée. n°6317 1. Posté le 05/07/2005 à 13:20:51 je ne suis pas sourde, ni implantée, mais ai vécu longtemps au milieu des sourds (j'ai eu des pbs qui m'ont privés de l'usage normal de mes -- été mon seul moyen de communication (en dehors de prendre un papier et d'écrire fou:{} )Je suis contre les implants cochléaires, non pas contre le progrès technique, mais contre la gravité des risques encourus par rapport au bénéfice retiré. fou:{} J'ai malheureusement cotoyé bcp trop de sourds qui ont été implantés et pour qui cela a été un échec... J'en suis même venue à me demander s'il y avait des cas où -- je ne peux pas juger de la différence entre ne pas entendre et entendre avec des implants, mais je pense que si un sourd est bien dans sa peau, pourquoi vouloir le "transformer" en entendant ? En 1993, j'ai rencontré un sourd qui avait un ami médecin qui lui a parlé des implants. Ce sourd, bien dans sa peau, bonne situation professionnelle, pratiquant la LSF,s'est dit "pourquoi pas?" 1ere -- entendre qu'il a recommencé... jusqu'à 13 opérations ! toutes ratées ! Il a fait une tentative de suicide ! l'implant lui a gaché la vie ! J'ai rencontré également, un jeune homme de 17 ans, que ses parents avaient décidé de faire implanter : il a fait plusieurs infections, et quand il a demandé qu'on lui retire les électrodes, les médecins qui -- Je peux également vous parler d'une amie qui a découvert (15 ans après) que ses parents l'avaient fait implantée et que ça avait été un échec ! (elle souffrait de migraines atroces mais on lui a laissé les -- troubles du comportement... fou:{} Je suis donc contre le fait qu'on implante a tout va les enfants le plus tôt possible sous prétexte qu'ils ont peut-être un peu de restes -- l'accord des parents est indispensables pour toutes chirugies. En fRANCE, c'est l'Etat qui définis un "numerus closus" d'implantés par an et qui finance à 100% l'intervention (20000 euros). Croyez-Vous vraiment que les équipes prendraient le risque d'implanter des patients aux tests pré-implantatoires négatifs ou quasi-nuls avec des listes d'attentes et une "obligation" de résultat ? De plus, je ne connais pas -- les risque de procès et les diminutions de budget). L'intérêt d'implanter tôt les enfants est double : on leur donne une chance d'accéder au monde de l'audition et par conséquent de dévellopper leur -- dévelloppement. Les enfants sont extrêments encadrés et entourés. Leur bilan pré-implantatoire est très rigoureux et rien n'est laissé au hasard. Les chirurgiens et leurs équipes ne sont pas des savants fous, -- ensibles dans les équipes !!! Les parents à qui il est proposé un implant pour leur enfant ne doivent pas hésiter : c'est un cadeau et une chance pour l'intégration, l'autonomie et l'indépendance qu 'ils -- Quand aux adultes, ils faut aussi qu'ils se prennent en mains et qu'ils rencontrent des implantés avant l'intervention (ça fait partie du protocole pré-implantatoire de certaines équipes) et qu'ils posent toutes les questions possibles avant de se lancer. Les adutles sourds -- intellect). Leur avantage, c'est souvent une facilité au niveau lecture labiale, mais qui devient secondaire avec l'implant, puisque l'audtion prime sur la "lecture". Je vous conseil un petit tour sur le site de -- être le plus objectifs possible dans les témoignages recceuillis. Mais les pace-makers, les implants dentaires, les prothèses mammaires,...et les implants cocchléaires sont des interventions bien maîtrisées aujourd'hui, mais le risque 0 n'existera jamais en médecine, l'homme n'est pas une mécanique simple ! une implantée comblée. n°6332 -- Centre d'Information sur la Surdité et l'Implant Cochléaire (CISIC) Accueil L'implant Témoignages Consulter Association CISIC FAQ Autres sites Forum -- Adultes Alexandre, implantée en Novembre 2004 "Je suis né "normal" mais avec de sérieuses difficultés à l'accouchement ce qui a fragilisé les oreilles" Sandrine, implantée en Novembre 2004 "Il y a quelques années, j’étais contre l’implant parce que je ne voulais pas qu’on m’ouvre la tête" Pascal, implanté en Août 2004 "Mais à vrai dire je suis ailleurs, quelque part au fond de moi même à -- d’honneur au syndrome de Cogan." Jean-Jacques, implanté en Avril 2004 "surdité profonde bilatérale de naissance, reconnue à l’âge de 4 ans" Véronique, implantée en Février 2004 "J’ai découvert ma surdité juste après mon adolescence" Guillaume, implanté en Novembre 2003 "Je suis devenu sourd profond le 02 mai 2003 suite à une méningite à méningocoque" Sabrina, implantée en octobre 2003 "C’est à l’âge de 6 mois que ma surdité fut décelée" Leila, implantée en octobre 2003 J’ai perdu l’ouie à l’age de 18 ans à la suite d’une méningite : après -- l’hôpital. Guy implanté en octobre 2003 "Jusqu’à mon opération, j’ai changé 2 fois d’appareils et mon audition -- gauche et 115 dB droite" Pascale implantée en septembre 2003 "L’implant m’a redonné la joie de vivre, a rompu l’isolement dans laquelle la surdité m’enfermait" Marie-Pierre implantée en juin 2003 "Il est très probable que ma surdité a commencé à la petite enfance et qu'elle a été évolutive" Marc implanté en avril 2003 "Il y a eu un "avant implant", il n'y aura pas j'espère d' "après implant": il fait déjà partie intégrante de ma vie, au risque d'oublier parfois que j'en porte un !" Christine implantée le 12 février 2003 "J'ai entendu normalement jusqu'à l'âge de 14 ans. A partir de cet âge, et jusqu'à 30 ans, mon audition n'a cessé de baisser. …" Éric implanté en février 2003 "je suis atteint de surdité évolutive bilatérale depuis ma plus petite enfance " Jean Jacques implanté en Novembre 2002 "Depuis plusieurs années, je suis suivi pour une maladie de Meinière bilatérale." Françoise implantée le 18 Octobre 2002 "une nouvelle vie grâce à l'implant cochléaire" Mauricette implantée le 29 août 2002 "il fallait retirer l'Implant Symphonix …" Laurence implantée en Juillet 2002 "Jusqu’a l’age de 7 ans, j’ai parfaitement entendu." Éric implanté le 5 Juillet 2002 "Je suis resté une semaine à l’hôpital mais là non plus rien à faire, perte totale de mon audition ." Sophie L. implantée le 23 Mai 2002 "Ce jour là ce fut un jour inoubliable : mon 1er réglage ........" Olivier implantée le 30 Avril 2002 "je suis sourd de naissance" Véronique implantée le 28 Mars 2002 "J'ai été contaminée dès ma vie in utero par le CMV ou Cytomégalovirus." Marie implantée en Février 2002 "Il y a deux ans j'ai perdu totalement mon audition suite à des médicaments." Sylvie implantée en Juin 2001 "J+ 9 semaines : reprise du travail dans ma nouvelle fonction. En face à face ou réunion : pas de problème, personne ne peut rien deviner." Renée implantée en Janvier 2001 "Il va sans dire que tous les cas sont différents et les personnes sont différentes" Marc implanté en Janvier 2001 "La relative lenteur de mon adaptation ne m'a pas vraiment gêné" Samia implantée en Novembre 2000 "Née avec une surdité congénitale bilatérale, elle n’a quasiment jamais -- ervaient à rien du tout" Catherine implantée en Octobre 1999 "mon fils âgé de 2 ans : a dit : « Maman » : je l’ai entendu : j’ai -- répondre : Oh maman pleure de Joie mon chéri …." Karine implantée depuis Avril 1998 "Deux mois avant d’accoucher, je m’aperçois que je ne capte plus beaucoup de sons." Danielle implantée en 1997 "A ce stade et refusant la fatalité, je me suis donc tournée vers la olution de l'implant. " Maryse-Virginie implantée en octobre 1993 puis mars 1998 "Je fus réimplantée en Mars 1998, avec le même type d’appareil." Joelle implantée en octobre 1993 "j'avais 34 ans, un matin je mis ma prothèse auditive et je n'entendis plus rien." Claudie implantée en 1992 "Mes parents ont découvert que j'étais sourde à l'âge de 16 mois." Gilles implanté en Août 1987 puis en Janvier 1991 "Fin 1990, l'hôpital de Bordeaux me rappelle, celui qui opère maintenant est le Pr DAUMAN. On me propose le nouvel implant à 20 ou 22 canaux." Enfants Eugénie 20 mois implantée le 20 avril 2004 à l'Hôpital St Luc à Bruxelles "Eugénie est une enfant sourde profonde, de 3ème catégorie" Luca 2 ans implanté le 20 Juin 2002 à l'Hôpital Robert Debré à Paris "je me suis aperçu de la surdité de mon fils a l’age de 6 mois ." Florian, 6 ans, implanté le 20 juin 2002 à l'hôpital Trousseau à Paris "Faire appareiller ou implanter son enfant ne le rend pas entendant." Mèryam 12 ans implantée le 6 Juin 2002 à l'Hôpital Saint-Antoine à Paris "Son médecin a toujours été contre l'implant, me disant que ma fille se débrouille bien avec ses appareils et que ce n'est pas pour elle," Mathis, 8 ans, implanté en 2000 à Tours "Pourtant le syndrome suspecté( malformations de Mondini)" Marc-Antoine, 9 ans, implanté en 1996 à Paris (et le témoignage de son aide éducatrice) -- Le témoignage de Gilles lors de son passage à l'émission ça se discute. © 2002-2004 - Centre d'Information sur la Surdité et l'Implant Cochléaire (CISIC) -- on ne les opère pas de force ! Quand à la "pression parentale", pas besoin d'être implanté pour la subir : on a tous envie que nos enfants oient les plus beaux et les plus intelligents ! La rééducation et les -- charge des sourds et muets et des personnes handicapées en générales. Mais ne déséspérons pas, ça vient ! Quand à l'importance dimplanter les petits, je le redis c'est une question de dévelloppement de l'aire de -- 1. Posté le 07/07/2005 à 09:24:53 Mèryam 11 ans implantée le 6 Juin 2002 à l'Hôpital Saint-Antoine à Paris, sa maman va nous raconter son histoire ... -- Nous avons découvert la surdité de Mèryam quand elle avait 4 ans, en 1995. Son médecin a toujours été contre l'implant, me disant que ma fille se débrouille bien avec ses appareils et que ce n'est pas pour -- vers le Prof. Meyer. Aujourd'hui nous avons arrêté notre choix sur l'implant, mais la peur au ventre. Il aurait été + facile de choisir pour moi que de choisir à la place de -- - avec les appareils je suis sortie dans la maison - avec l'implant je suis sortie au soleil Donnez moi le temps et vous allez voir -- Fugain est ravie et très confiante), Mèryam est sans aucun doute mieux dans ses "basquettes", implantée que juste appareillée. Elle se débrouille au moins aussi bien qu’avant ( sans appareil à l’oreille -- est dit .... Samia ( maman de Mèryam implanté le 6 juin 2002) n°6349 -- C’est à cette époque que l’équipe médicale de Paris a commencé à nous parler d’un implant cochléaire pour Marc-Antoine. Cette idée nous intéressant, nous avons rencontré d’autres parents et des enfants implantés, et avons obtenu le feu vert pour l’implantation après un bilan complet (médical et psychologique pour l’enfant, entretiens de motivation pour nous-même). Il a donc bénéficié le 14 novembre 1996, à l’âge de 3 ans, d’un implant MXM, avec boîtier. (Depuis deux mois, il l’a changé pour un contour -- Depuis cette intervention, Marc-Antoine progresse régulièrement : 6 mois après la mise en service de l’implant, nous avons apporté fièrement à l’orthophoniste, à Paris, la liste des mots qu’il employait -- compléter cette liste : impossible, il y avait trop de mots !… Actuellement, six ans après l’implantation, même si un travail important reste à faire au niveau de l’acquisition du vocabulaire et -- les institutrices, l’auxiliaire d’intégration, nous-mêmes au quotidien, mais surtout à cette merveilleuse aide technique qu’est l’implant cochléaire, et qui fait que nous le considérons exactement comme s’il entendait normalement, et n’avons plus tendance, comme avant l’implantation, à « appauvrir » le message. Le témoignage de l'aide éducatrice qui s'est occupée de Marc-Antoine à -- 1. Posté le 07/07/2005 à 09:31:00 L'histoire de Mathis 8 ans, implanté à Tours, racontée par sa maman ... Mathis est notre troisième enfant.Il est né huit ans après son frère -- cette occasion le professeur Dubin nous a tout de suite parlé de l'implant comme de LA solution et nous avons tout de suite adhéré à ce projet. Nous avons du attendre un an car le professeur Dubin était encore débutant dans la pose des implants et il ne voulait pas opérer Mathis à cause des malformations de ses oreilles qui entraînaient de grosses -- enfants et de la chef de clinique: Ils ont un air confus ... et pour cause: il n'y a pas d'implant à implanter !!!! grosse bourde mais nous passerons outre ! l'important c'est que cela se fasse et nous -- puis très vite il y en a eu tellement que nous avons arrêté. Lorsqu'on lui demandait comment c'était l'implant il montrait son pouce en l'air (super!) -- Pour les parents d'enfants sourds : Patience et confiance en son enfant Histoire de Florian, implanté à 5 ans et demi à l'hôpital Trousseau en juin 2002 -- La maternelle Pose de l'implant cochléaire le 20 juin 2002 L'école primaire -- L'apprentissage de la surdité de son enfant est une épreuve difficile. Faire appareiller ou implanter son enfant ne le rend pas entendant. Depuis sa naissance il a été privé du "bain de langage" dans lequel évolue l'enfant entendant. L'appareil ou implant est un outil mis à sa disposition, il va devoir apprendre à le maîtriser. La parole ne va pas -- veut que son enfant oralise et que l'on choisit de le faire appareiller ou implanter en fonction du niveau de surdité, on est trop pressé. -- envie de vous le montrer dans l'immédiat. L'implant Cochléaire 20 juin 2002 (5 ans et demi) : Depuis décembre 2001 Florian est sourd profond avec des fluctuations sur les 2 oreilles. Après 3 mois de démarches et d'examens, l'implant cochléaire de Florian est programmé pour le 20 juin 2002. Le mercredi 19 juin 2002, nous rentrons à -- d'auditions sur les 2 oreilles, les équipes de Trousseau et de La Norville (91) s'interrogent encore sur l’oreille à implanter. Après 1 heure et demi de test, il est décidé d'implanter l'oreille gauche. A droite il lui reste des graves corrects qui seront complémentaires avec l'implant. Dimanche 23 juin, sortie de l'hôpital avec son bandeau de rugbyman après 4 jours difficiles pour toute la famille. L'important -- Septembre 2002 (5 ans et 8 mois) : Florian est entré en CP dans l'école du quartier 2 mois après son implantation. L’année s’est bien passée, avec des hauts et des bas comme tout enfant. Ses copains ont à peine remarqué le passage à l'implant. Florian a finit l’année avec un niveau correct. Il a acquis tous les -- toujours parfaite. Sur cette fin de CP, 1 an après l’implantation le bilan est très positif, Florian est ravi et s'est très bien adapté à son implant. La seule chose dont il se plaint en cette fin d’année scolaire, la -- assez chargée (une dizaine de réglages, un bilan orthophonique 3 mois, 6 mois et 1 an après l’implantation, un bilan et audiogramme avec le chirurgien 1 mois, 6 mois et 1 an après l’implantation). Ajouté à son uivi hebdomadaire (3 séances d’orthophonie, 1 séance avec le -- et à renouveler. 1 an après l'implantation, Florian a pu participer à plein d'activités, comme tous les enfants de son age. -- Niveau auditif, Florian a continué à avoir des fluctuations auditives ur l'oreille non implantée en novembre puis février et son implant a eu quelques problèmes techniques au mois de juin. Dans ces moments là, -- recoder les sons pour qu’à la place de BABABA vous compreniez Bonjour", "La rééducation avec un implant, c’est comme l’apprentissage d’une langue étrangère", Vous m’aviez dit "se faire opérer pour la mise en place d’un implant cochléaire relève du parcours du combattant", -- enfants que je n’avais jamais entendue (même avec 90 % surdité) ..... Vous dites "un implant cochléaire", je rectifierais par "oreille électronique" car c’est bien une oreille que je retrouve ...... pas MON -- d’oiseaux. Quelle différence entre une personne implantée et une personne sourde ! Pour certaines personnes en face, cela semble similaire : l’une -- plus une ou 2 syllabes qu’elles aura comprises ....... Une personne implantée peut encore faire répéter mais la différence est essentielle : une syllabe lui aura échappé alors que pour une personne -- profession : O.R.L., Audioprothésiste, Orthophoniste me disaient "l’implant BOF ?????????", ou "Je suis allée à un congrès: franchement Catherine attends, tu comprends encore, ...." alors qu’à l’époque je -- 1. Posté le 07/07/2005 à 09:42:20 Marc implanté en Janvier 2001 à l'Hôpital Purpan de Toulouse J'ai 37 ans. Je vis à Toulouse, ou je travaille comme ingénieur dans -- En septembre 2000, lorsque j'ai entamé le processus d'évaluation en vue de recevoir un implant, je ne percevais plus que les extrêmes graves. Ma compréhension de la parole sans l'aide de la lecture labiale était -- rajoutaient pas mal de bruit. Je connaissais l'existence des implants cochléaires depuis des années, mais je n'aurais jamais imaginé en bénéficier. Pour moi, ils -- contraire. J'ai été opéré début janvier 2001, et le processeur de l'implant a été activé quatre semaines plus tard. Contrairement à certains, je -- m'attendre. Et l'audition résiduelle de mon oreille non implantée m'a toujours permis de continuer à communiquer tant bien que mal. -- Autrefois, avant l'arrivée de l'implant cochléaire, le désespoir du sourd total était d'autant plus installé en lui qu'il -- quotidiennement avec dédain. Mais jusqu'à ce que l'implant vienne directement stimuler son nerf auditif, rien n'était assez fort pour réveiller son organe de Corti -- des retrouvailles de l'audition d'un implanté adulte devenu sourd aujourd'hui, tout a changé, grâce à l'implant cochléaire... n°6357 -- Mais je pense que, pour que le débat soit objectif, il serait intéressant que des personnes qui ont été implantées et pour qui cela a été un échec, interviennent. -- été tenté du fait de toute la publicité positive que l'on fait autour des implants. Combien aujourd'hui s'en mordent les doigts ? n°6359 -- a titre d'informations : le rapport du conseil de l'europe sur les Implants cochléaires Jusque dans les années 70, il n’existait aucune méthode médicale ou chirurgicale contre la surdité. Depuis, une nouvelle technique appelée implantation cochléaire a été développée. Il s’agit en gros d’une prothèse auditive implantée chirurgicalement dans l’oreille interne qui transmet les signaux, par un microphone externe et un processeur, à un récepteur et à des électrodes implantées dans la cochlée. Lorsque l’implant cochléaire a fait son apparition , au début des années 80, les premiers patients étaient des adultes atteints de -- post-linguaux. En 1990, aux Etats - Unies, la Food and Drug Administration (FDA) a homologué l’implant cochléaire pour les enfants ourds pré-linguaux (surdité apparue avant l’acquisition du langage) -- personnes handicapées (CD-P-RR) du Conseil de l’Europe étudie, les avantages et les inconvénients des implants cochléaires, ainsi que les pratiques de ses Etats membres et observateurs en matière d’implantation. Les différences observées entre les pays font ressortir la nécessité d’une intensification des échanges d’informations : il -- pour en tirer le meilleur parti. L’implant cochléaire donne de bons résultats chez les adultes et les enfants sourds post - linguaux. La perception de la parole est -- à l’oreille. Cela étant, l’acte chirurgical nécessaire pour installer l’implant chez le jeune enfant sourd prélingual demeure un sujet de controverse. -- facilement avec son entourage. D’autre part, il est généralement admis que les enfants implantés conservent une forte déficience auditive. On ne connaît pas de cas d’enfant sourd auquel la pose d’un implant aurait permis d’acquérir le langage oral. Ces enfants ont par conséquent besoin d’une éducation -- orientation familiale soutenues). Réadaptation et assistance postopératoire son déterminantes pour le succès de l’implantation. En mai 2001 – le Conseil de l’Europe a publié le rapport sur « Les implants cochléaires chez les enfants sourds », qui analyse les conséquences psychologiques et psychosociales de ce genre d’opération -- de la pratique actuellement suivies dans dix pays européens. Dans la plupart des pays, l’âge minimal pour la pose d’un implant est fixé à 2 ans. L’argument avancé en faveur d’une implantation dès le plus jeune âge est qu’une exposition précoce du système auditif de l’enfant -- l’apprentissage linguistique en général. Il est à craindre que l’implantation cochléaire ne retarde l’acquisition de la langue des ignes par l’enfant et, de ce fait, sa maîtrise d’un langage naturel -- langue, son développement intellectuel, psychologique et social peut ’en trouver perturbé. C’est pourquoi l’implantation cochléaire devrait être associée à l’apprentissage d’une langue des signes. -- l’écriture – tout en acquérant progressivement l’usage de la parole, l’implant cochléaire peut devenir un atout. Mais si sa capacité à participer aux interactions sociales n’est fondée que sur une perception auditive par l’intermédiaire de l’implant, son développement affectif, social et cognitif futur peut être menacé. La recherche sur les effets à long terme des implants cochléaires est un réel besoin, dans la mesure où un des points de préoccupation est le -- conséquences psychologiques, pédagogiques et éthiques à long terme de l’implantation. L’étude a été réalisée par le Professeur Gunilla Preisler de -- indispensable pour que l’intervention soit une réussite et que le recours à l’implant pour l’enfant doit aller de pair avec l’apprentissage de la langue des signes. -- Site Web : http://book.coe.int (Les implants cochléaires chez les enfants sourds, Editions du Conseil de l’Europe, Strasbourg, mai 2001, 48 pages, -- Indications et contre-indications psychologiques aux implantations cochléaires chez l'enfant sourd Benoît Virole -- linguistique (Ph.D) Expert pour la mission d'évaluation des Implants du CTNRHI Hôpital Robert-Debré - Paris - Consultation d'audiophonologie -- Quelques rappels : Si les indications d'implantions cochléaires pour les enfants présentant des surdités acquises post-linguales rentrent bien dans le -- être de même pour les surdités profondes congénitales pré linguales. Au moment où l'indication de l'implant est discutée, l'enfant est déjà engagé dans un processus de développement cognitif et affectif qui sera modifié ou infléchi par l'implantation et la rééducation. L'intérêt réel de cette tentative de modification ne fait pas l'objet -- question en regard des connaissances acquises dans le développement psychologique de l'enfant sourd. Si l'implantation devient une source de perturbations pour le développement cognitif et psychoaffectif de -- beaucoup de professionnels médicaux, ont tendance à banaliser cette perturbation et à préconiser l'implant pour des bénéfices futurs. Cependant, en aucune façon, le développement psychologique ne peut être -- l'enfant. On ne peut donc attendre les bénéfices supposés de l'implantation à l'horizon d'une, deux voire plusieurs années qu’à la condition que ce -- développement de l'enfant. Ce point fondamental oblige à inclure les éventuels projets d'implants dans une perspective globale d'éducation de l'enfant sourd qui inclut de façon précoce la langue des signes, -- pas en soi incompatible avec l'apport d'informations acoustiques venant d'un implant à partir du moment où l'on considère cet apport comme un enrichissement du monde perceptif de l'enfant et non comme une -- catégorisation phonétique du signal et donc du caractère globalement empirique des stratégies de codage des implants. Dans certains cas, il est incontestable que les implants fournissent un apport informationnel de grande qualité, y compris sur le plan de la catégorisation phonologique. Si l’implant est préconisé dans le cadre d’un projet éducatif global centré sur l’enrichissement du monde de l’enfant et le respect de son -- de restauration interne et ceci d’autant plus qu’il s’agit d’une opération médicale sur le corps de l’enfant. L’implantation peut alors être vécue comme une forme de restauration et devient un facteur -- atténuer leur propre douleur. Ils se tournent ainsi naturellement vers la médecine pour trouver une solution. L'offre médicale d'implant se couple ainsi avec la demande parentale. D'un point de vue psychologique, la réponse en terme d'implantation est correcte à certaines conditions énumérées ci-dessous : q Les parents ont une vision réaliste de l'apport de l'implant et de ses limites et n'en attendent pas un effet miracle fantasmatique -- l'enfant en porterait finalement le préjudice. Ce point impose aux cliniciens proposant l'implant de faire attention au discours tenu aux parents. En particulier, tout discours faisant mention d'un appauvrissement du monde de l'enfant, voire d'une atrophie des zones corticales en cas de non implantation, est éthiquement douteux et dangereux dans la mesure où il suggère l'existence d'une pathologie -- facettes, y compris culturelles et linguistiques (LSF), et d'autre part de pouvoir lui-même comprendre la relativité de l'apport de l'implant dans la complexité du devenir d'un enfant sourd. q La demande d'implant fait par les parents ne se fait pas en fonction de lointains et hypothétiques objectifs d'intégration sociale -- l'enfant actuel dans la situation réelle d'aujourd'hui. Sinon, l’acte d’implantation se fait en fonction de la représentation imaginaire des parents. Cette représentation est souvent construite sur le déni de la -- devenu « anormal ». Si ces éléments ne sont pas parlés et symbolisés par le travail psychologique préparatoire à l’implantation, alors celle-ci et potentiellement traumatique pour l’enfant. L’élaboration du deuil de l’enfant entendant est nécessaire à la réussite d’une implantation cochléaire. Sinon, l’implant est perçu inconsciemment par l’enfant comme un objet intrusif porteur du fantasme parental. -- explantations ont malheureusement démontré ce fait. q Le projet d'implant doit être cliniquement cohérent compte tenu des dimensions cliniques et sociales de la famille. En particulier, la -- familial, la situation sociale et géographique (etc.) doivent permettre que l'implantation ne perturbe ni le développement de l'enfant, ni la qualité de la vie familiale. q Enfin, le projet d'implant ne doit pas cliver en positions antagonistes les professionnels, orthophonistes, éducateurs, -- toujours au détriment des enfants. Si toutes ces conditions sont remplies, l'implantation cochléaire devient un acte permettant à l'enfant d'enrichir son monde perceptif et -- A partir de l'expérience clinique des consultations psychologiques de parents d'enfants sourds préalables aux implantations cochléaires, il est possible de décrire les processus psychologiques types chez ces -- niveaux d'informations des parents, à leur compréhension intellectuelle des apports réels des implants, à des éléments biographiques individuels spécifiques marquent ces processus, il -- ignes modifie qualitativement les attentes en direction de l’implantation en les faisant évoluer d’une représentation d’attente réparatrice idéalisée vers une représentation réaliste d’enrichissement -- Raisons souvent évoquées pour justifier le souhait parental d’implantation « C’est le seul moyen de le faire entendre parce que les prothèses sont -- « Il a le droit de pouvoir entendre. » « Il n’entend rien avec ses prothèses donc il faut l’implanter pour qu’il puisse entendre et parler. » « Je sais que l’implant ne le fera pas automatiquement parler mais cela va l’aider. » « Je sais que l’implant le fera automatiquement parler. » « Je sais que l’implant ne le fera pas automatiquement parler mais il aura des informations auditives. » -- L’analyse des données cliniques recueillies permet de construire une typologie des modes de représentation autour de l’implantation. Elle comporte trois grands types : -- « sauvetage de l’enfant » malgré les obstacles mis devant l’implantation. Les informations rationnelles sur l’implant ne sont généralement pas entendues. Les parents engagent en combat pour sauver -- dépressif (« de toutes façons, le médecin a dit… »). Les buts d’implantation sont vécus comme un palliatif à une situation déjà fixée et sans espoir réel. Les parents vivent la surdité de l’enfant comme -- orthophonistes) sont emmenés pour se protéger eux-mêmes de l’angoisse dépressive à pousser ces parents à faire implanter leur enfant. Ceux-ci acceptent souvent pour des raisons qui tiennent d’une part à leur -- du corps de leur enfant. L’analyse de ces fantasmes montre que l’implantation de leur enfant vise souvent à tenter de faire revivre l’enfant perdu de leur monde intérieur. -- partir d’un constat réaliste et d’un travail de deuil accompli ou en cours d’élaboration. L’implantation est considérée sur un double mode à la fois réparateur et prospectif. L’enfant est perçu par les parents -- offrir le maximum de chances pour le futur. On ne dénote pas de clivage, ni d’idéalisation excessive des professionnels, l’implantation n’est pas vécue comme urgente, ni impérative. Elle n’est pas associée -- parents construisent eux mêmes leur partenariat de travail avec les équipes d’implantations et les équipes éducatives. Ces différents types se retrouvent bien sûr dans des proportions -- représentations mentales et du vécu subjectif. A notre sens, l’implantation est indiquée sur le plan psychologique lorsque les parents ont pu élaborer la surdité de l’enfant et se stabiliser dans -- 1. Posté le 01/08/2005 à 01:41:02 celui qui critique l'opération pour l'implant devrait arréter de dire n'importe quoi, le mec qui a subit 13 opération j n'y crois pas -- fois ils sont pas tarés quand même. En tout cas je vois que vous êtes trés opposés a l'implant OK mais ne vous permetter quand même d'inquieter les personnes concerné pour l'implant et qui se renseigne sur ce site. Vous ne saver même pas ce que c'est de flipper quand on a un gamin qui a besoin d'un implant ou qu'une personne adulte aussi. je ne crois pas qu'ils ont besoin de -- connais non plus. En tout cas je peut vous dire que l'implant est génial parceque depuis que je l'est j'entend trés bien je suis autonome par rapport aux autres -- temps. Il font arréter de critiquer l'implants surtout quand on ne connait pas et éssayer de faire changer d'avis certaine personne a cause des -- ne veut prendre aucun risque, comme quoi ils ne mettent pas les implants comme ça, à tout va ! Merci Baboss de remettre les pendules à l'heure ! J'aime bien ce qu'a écrit le pf Chouard, c'est exactement ce que je vis et ressens. Les implants peuvent être la solution pour revivre normalement, avant de devenir sourde totale je ne m'imaginais pas à -- mais comme dans toutes les opérations, même les plus bégnines. Bon, j'espère qu'il y aura d'autres témoignages d'implantés, comme toi baboss, et des deux bords, les contents et les pas contents ! -- ouch:{} C'est vrai ça ???? Et je voulais savoir aussi, peux-tu maintenant que tu as l'implant, participer à des conversations avec plusieurs personnes ? Les réunions où tout le monde parle, ça ne te -- cette personne lors d'une conférence organisée par l'académie de la langue des signes française, sur les implants cochléaires, en 1993 (ou 94?). Il ne m'appartient pas de remettre en cause ce témoignage -- que j'ai cotoyé, les chirurgiens n'expliquent pas toujours tout les risques à leurs patients en ce qui concerne les implants. Avant de posséder l'adsl (depuis 9 mois seulement), je n'ai jamais été en contact avec des gens pour qui l'implantation a été une réussite ! (alors que des échecs oui !). Je me suis longtemps posée des questions -- cela dépend comment les personnes parlent et si ils bougent parce que même si on a un implant on utilise toujours la lecture labiale. En tout si on a des difficultés on a du matériel qui peut nous aider et -- mais en fait c'est peut etre pas le cas pour tout le monde parce que comme tu sais chacun des implantés a un réglage spécifique mais il y a un truc que je peut te dire c'est que je m'en sort mieux dans les conversation que avant l'implant En tout cas si tu veut d'autre info tu me le dit et je te répondrai a -- mamantoto je comprends que tu veuilles mettre en garde les personnes qui ont envie de se faire mettre un implant cochléaire, mais tu ne parles que de personnes sourdes de naissance apparemment. Je pense -- cerveau connaît tous ces sons déjà, il les interprète de lui-même ! voilà pourquoi les implants marchent très bien(enfin d'après les témoignages que j'en lis) sur les personnes qui ont été entendantes ! -- dire que d'aprés les témoignage que j'ai eu de personne adulte qui ont été implantés pcq ils ont perdus l'audition dans un accident ou comme toi progressivemen, ils m'ont tous dit que avec l'implant ils n'entendait pas comme avt enfin presque. Je voulais quand même te dire ca pour si un jour il te mette un implant que tu ne sois pas décus. Le HF comme je t'en ai parlé précedement c en faite un boitier qui est -- même. Mais j'ai lu sur internet qu'apparemment c'était avec un certain type d'implants (je ne me souviens plus duquel) qui a été retiré depuis. -- vocalises, de ses premiers "rires", même de l'entendre pleurer (enfin tout est relatif !). L'implant c'est une merveilleuse ouverture sur le mondes des entendants et sur l'entourage (amis, familles,...) : le -- la LSF, étaient invités des médecins, des psychologues, des sourds implantés, devenus sourds ou sourds de naissance, des oralistes, des ourds signants, et étaient ouverts à tout public. Il ne sagissait en aucun cas de congrès "anti-implants" mais de réunions d'information. ça n'est pas parce qu'il y a des groupes de sourds qui tiennent parfois des propos qui peuvent vous choquer concernant les implants qu'il faut mettre tous les sourds dans le même panier ! La plupart des personnes -- entendu plusieurs fois un nombre incroyable d'opérations, je comprends, pour un résultat pas bon finalement. Mais un implant, ma foi, ça marche ou ça marche pas il me semble. Effectvement il est bien dommage qu'à ce congrès il n'y ait pas eu de personnes contentes de l'implant. Car il y en a beaucoup ! Sur le net d'ailleurs jamais je n'ai eu de témoignages de personnes chez qui ça a -- Comme Vous le dites : "à l'époque..." ! A mon avis, ne devrait donner leur avis sur l'implant que des implantés et pas des gens qui disent : "je connais une maie d'une amie...". On ne peut vraiment bien parler que de ce que l'on connait. L'implant marche, ça c'est sûr, avec des résultats objectivement et scientifiquement reconnu (avec une grande -- Strass-toc à dit : Comme Vous le dites : "à l'époque..." ! A mon avis, ne devrait donner leur avis sur l'implant que des implantés et pas des gens qui disent : "je connais une maie d'une amie...". On ne peut vraiment bien parler que de ce que l'on connait. L'implant marche, ça c'est sûr, avec des résultats objectivement et scientifiquement reconnu -- Mon discours vous dérange car je ne pense pas comme vous. Ne vous en déplaise, je me documente sur les implants depuis près de 15 ans, et même si je ne suis pas implantée, je ne vois pas ce qui m'empècherais d'exprimer mon opinion à ce sujet. Vous faites l'apologie de -- concerne puisque j'ai cotoyé au quotidien plusieurs personnes implantées (sourdes de naissance) qui ont subit un échec et qui comme moi interviennent quand elles le peuvent pour dire "attention !"... -- 1. Posté le 09/08/2005 à 16:08:08 En ce qui concerne les sourds implantés que je connais, dans 3 cas, il 'agit de séquelles post-opératoires : -- - une sourde qui n'a découvert qu'adulte que ses parents l'avaient implantée à l'âge de 7 ans, sans résultats, les médecins lui avaient néanmoins laissé les électrodes et elle souffrait (et souffre toujours) -- la matière que lorsqu'il y a un rejet physique avec non-possibilité de réimplantation) mais des résultats, qui sont nuls ou très décevants. Psychologiquement, ils ne le vivent pas bien car je crois qu'ils -- évident qu'ils ne prendront le risque pour une intervention de "confort". Maintenant, le choix d'implanter ou pas se fait après un long parcours d'examens (scanner ou irm, bilan psycho et -- de l'impant et qu'on te le propose : n'hésite pas ! Je ne fais pas l'apologie des implants, je constate juste une simple chose : sans c'est le monde du "silence" (avec accouphènes quand même), l'isolement -- négatives non:{} tu ne connait pas l'expérience de avant et aprés l'implant et encore moins le milieu intérieur des implantés. Je tiens a préciser quand même a te préciser que on ne fait une apologie de l'implant ca marche bien pas pour tout le monde d'accord, il y a des risques pour l'opération OK mais minimes. s'il te plait -- Je tiens a préciser quand même que on ne fait pas une apologie de l'implant ca marche bien (malheureusement) pas pour tout le monde je uis d'accord , il y a des risques pour l'opération OK mais -- rdv pour moi le 1er septembre. Par contre, même l'année dernière où on devait me mettre l'implant déjà, (mais à la place on m'a découvert un anévrisme et donc il a eu la priorité bien-sûr) et jamais il ne m'a -- 1. Posté le 09/08/2005 à 18:57:47 Les examens permettent de confirmer que l'implant peut être installé, qu'il n'y a pas dossification par exemple qui rendrait la tache gênante -- ni hurler...Rien, je savais qu'un mirage passait dans le ciel aux vibrations ! On m'a implanté 6 mois plus tard et le résultat est génial même si encore une fois ça ne remplace pas mes oreilles ! Faites -- expérience d'accompagnement. Pour ma part, on m'a imosé de rencontrer un implanté avant l'intervention (je n'en avais ni le besoin, ni l'envie). Ca peut éventuellement vous aider si vous le souhaiter. -- mes deux oreilles en 6 mois. J'avais une audition parfaite avant ça. On m'a opéré d'un implant cochléaire bi-naural (des deux côtés, mais un eul appareil, l'autre oreille à le son par un fil qui passe sous la -- passée d'une audition normale à rien !!!). On m'a opéré 6 mois après (le 17 MAI 2004) pour me poser un implant cochléaire bilattérale. 9 mois après, je me débrouille très bien avec ma nouvelle audition. Je -- ou pas d'ailleur).Il faut 1 à 2 ans pour se sentir à l'aise avec un implant cochléaire, mais quels progrès j'ai déjà fais en 9 mois ! C'est "MIRACULEUX" !!! L'opération en Elle-même dure 4 h., je suis rentrée le -- vous. Il y a de nombreux sites et témoignages sur internet sur les implants, n'hésitez pas à les consulter et à prendre contact avec des opérés. -- récupérer. En SEPTEMBRE 2003, j'ai rencontré le Pr.TRUY, à LYON, qui m'a dit qu'à -70 db, j'entendais "trop" pour un implant. J'étais effondrée à la perspéctive de vivre comme ça. 3 semaines plus tard, je -- examens pré-opératoires pendant la recherche du diagnostic et en MAI 2004 j'étais implantée. Je n'ai jamais supporté mes contours d'oreille ! D'abord je refusais de porter des trucs qui sifflent et du coup pour -- très douloureux. Ils me faisaient mal sur le dessus de l'oreille et à l'intérieur. Aujourd'hui, avec l'implant, je l'oublie systématiquement ! Je vérifie dix fois que je l'ai bien enlevé avant d'aller sous la -- bébé qui hurle pendant 5' à côté de vous, c'est crispant ! Idem pour un marteau-piqueur. J'ai deux programmes sur mon implant : un normal et un pour les milieux bruyants (je ne m'en sert presque jamais). Je peux -- beaucoup,...du coup ça a été ma meilleure rééducation possible !!! J'ai toujours porté mon implant du matin au soir dés le premier jour : je voulais récupérer vite, bien et surtout récupérer ma vie et être -- Sujets relatifs Nouveaux implants ??? Plus de sujets relatifs à : les implants cochléaires Les 5 sujets de discussion précédents Nombre de réponses Dernier -- esthéticienne a domicile 0 14/06/2005 à 23:17:23 implant cochléaire 9 26/06/2005 à 22:01:46 Forum MesDiscussions.Net