Je viens de parcourir le topic

quand on ouvre la fosse septique, ne jamais s'étonner des odeurs de mierda qui en sortent.

je vous laisse, je vais vomir.

Hello parthenos

sous la monarchie, les gens vivaient à la lumière des bougies aussi ils se maquillaient beaucoup pour être.....vus De même les parquets étaient peints en jaune citron, les murs en blanc et or toujours pour avoir + de lumière ! ils se fardaient de blanc pour se démarquer des paysans qui travaillaient au grand air donc bronzés ( la mode était au teint clair) les salles de bains existaient ainsi que les bains publics ou....la rivière
la population était très propre et soucieuse des règles d' hygiène, surtout au moyen âge par souci de ne pas attrapper des maladies C' est l' urbanisation qui a rendu les gens + crades, l' eau étant moins accessible au + grand nombre
les musulmans crachent car il "faut rejeter l' impur " ( dans le coran) dommage qu' ils ne le fassent pas dans un kleenex au lieu de nous balancer leurs microbes avec

Hello parthenos

les gens avaient peur de la peste, importée en Europe par un bateau turc de même que les rats ( d' ou l' invention des greniers à blé) En fait, dans les villes les gens économisaient l' eau chaude et un bain servait pour plusieurs personnes Résultat : ils se transmettaient des maladies par l' eau et du coup ils ont confondu eau =maladies Mais cela n' a pas duré longtemps et les gens éduqués se lavaient y compris dans les campagnes

Vermine!!

pour info, la plupart des gens que je cotoye sont des francais et tu peux me croire que au niveau "cradossité" c'est eux les premiers et d'abord t'es rentrer chez un musulman pour te permettre de dire des choses pareilles abruti!!! comment ose tu dire des choses comme ca ...

Ouah ! quels arguments

c'est du 4ème ou du 6ème degré

Bof ! etre français

n'est pas quelque chose dont il faut être fier.
Partout ailleurs, on déteste leur arrogance et leurs habitudes hygiéniques lamentables. Et puis, les français sont coincés.

Ah!enfin

je suis tout àfais d'accord avec toi surtout sur leurs habitudes hygièniques...enfin quelqu'un de lucide

Et???

mais on s'en fou royal de ton terroir idiote!!!
tu te permets de dire des musulmans que c des crades mais toi il faut pas te le dire car t la reine de l'hygiène!!!ben c la meilleur ca !!!
égoiste

Rendons à césar ce qui lui appartient...

si tu te renseignes sur l'histoire de la "pensée" française, ou du patrimoine "culturel" en france, tu t'apercevras que c'est un peu grâce aux arabes d'espagne que les sciences empiriques sont sorties de l'ombre moyenageuse de la religion catholique sans ça, la france n'auarit sans doute pas connu de Renaissance..... sans les arabes d'espagne thomas d'aquain n'aurait sans doute pas permit aux pontes religieux de cette époque de renouer avec la pensée helleniste et plus particulièrement aristotélicienne ...

d'autre part, l'histoire nous apprend que l'état français au travers l'école a squizzé la dimesion eccléctique de la diversité des langues en moins de 50 ans, tous les patois de la langue française, (l'histoire d'une langue singulière à sa région) à une seule langue "officielle"... quelques agriculteurs retranchés gardent encore des Traces de cette histoire là. c'est du vieux français...

tu poses la question si ton interlocuteur peut se reconnaitre dans l'exemple que tu lui cites. tu dis non avec le clavie mais oui avec le coeur. le terroir français c'est l'histoire d'une coutume que tu observes à un point "t" de son évolution dans le temps.
perso, je suis ce que je suis, jem'adapte à l'environnement dans lequel j'évolue, et je particpe à ma manière à l'histoire de demain... mais je ne ressens aucune fierté quant à une histoireà laquelle je n'ai pas participé... ce serait sans doute un honneur d'être une descendnate de camus mais je n'aurai aucun mérite de sa pensée .. elle peut m'influencer, je peux reprendre le flambeau pour mes convictions Personnelle mais pas pour l'ensemble des français. nous avons chacun une histoire qui particpe à la construction de notre identité, et personne n'a la même. même si nous parlons avec un code commun, ce n'est pas pour autant que partageons un Sens commun ou le même sentiment identitaire, ou d'appartenance à un groupe, à une philosophie...... le patrimoine culturel d'un un-dividu est aussi unique que son patrimoine génétique...

Mais punaise parthenos

comme j'aimerais que vous ayez le courage d'y répondre pour de bon à cette question.
Alletz y expliquez nous donc ce que c'est le racisme.

Que d'ignorance !

Que d'inculture !

Un copié-collé s'impose impérativement : (nous aborderons juste la médecine)

"Si les musulmans montrèrent dexcellentes qualités dans de nombreux domaines de la Science, on peut dire que cest en médecine que leur contribution fut la plus importante. Au départ, la Médecine arabe se limitait à des pratiques plus ou moins magiques fondées sur la tradition et la superstition. A lexception de quelques remèdes de bonne femme , les malades étaient surtout soignés à grands coups de prières diverses et dincantations variées assaisonnées de lapplication judicieuse de quelques talismans. Parmi les remèdes employés on peut citer le henné (teinture rouge encore en usage pour teindre les cheveux) utilisé couramment pour guérir la goutte. On employait aussi le miel contre les maux de tête et la fièvre et lon appliquait les cendres de certaines graines sur les plaies pour en arrêter le saignement et en favoriser la cicatrisation.

La Sunna du Prophète Mahomet contient plusieurs enseignements médicaux . Il y faisait surtout allusion à la prévention et à lhygiène alimentaire. Il conseillait déviter les excès de nourriture et les mélanges daliments : Nous sommes un peuple qui ne mange que lorsquil a faim et lorsque nous mangeons, nous évitons les excès . Tel était le sens du hadith le plus célèbre du Prophète en matière médicale. Un autre hadith stipulait que toute maladie avait son remède . Les spécialistes de ces questions expliquent que lobjectif du Prophète était dencourager à la fois le malade et le médecin. Le premier étant poussé à demander le remède. Le second étant incité à lélaborer. Par ce hadith, le Prophète conseillait en quelque sorte aux musulmans de sinvestir dans la recherche médicale.

Le premier médecin arabe digne dêtre mentionné fut sans conteste Al-Hareth Ibnou Kaladah dit al Thakefi. Il naquit près de La Mecque vers la fin du VIe siècle et mourut en 634. Il sétait formé à la célèbre école de Gundishapur en Perse, il sintéressa essentiellement à lhygiène alimentaire et à lhygiène sexuelle. Il recommandait en priorité lusage des lavements et des ventouses et ne préconisait lutilisation des drogues et des médicaments quen cas de nécessité absolue ou de dernier recours. Il fut le médecin de Khosroès II et surtout lami du Prophète.

Après lépoque prophétique, la médecine prit un caractère plus profane et se pratiqua dans un esprit de plus grande liberté.

A partir du VIIIe siècle, les musulmans commencèrent à se pencher plus sérieusement sur les problèmes médicaux. Limpulsion partit de lécole de médecine persane de Gundishapur. Lors de la conquête dexpansion, cette ville se rendit en 636 et elle ne fut donc ni détruite, ni pillée et cest ainsi que son hôpital fut préservé. A Gundishapur lenseignement était fondé essentiellement sur la Médecine héritée des Grecs de lAntiquité. Il sagissait à coup sur dune méthodologie nettement plus rationnelle que celle pratiquée par les conquérants. Selon la tradition, les premiers vrais contacts entre Gundishapur et les souverains de lIslam commencèrent en 765 alors que la dynastie abbasside était déjà parfaitement installée à Bagdad. Ces contacts eurent leur origine suite à un étonnant concours de circonstances qui relevait dun cas durgence personnel très particulier: Le Calife al-Mansur (fondateur de Bagdad) souffrait dindigestions chroniques et ses médecins personnels sétant montrés bien incapables de le guérir, en désespoir de cause, il se décida à faire appel à des compétences étrangères et demanda au médecin en chef de Gundishapur de venir à Bagdad pour le soigner. Ce médecin, un chrétien nestorien nommé ibn Bakhtishu, réussit là où tous les autres avaient échoué et parvint à rétablir la santé du souverain. En récompense, il fut nommé médecin officiel de la cour.

Tout comme Bakhtishu, la plupart des premiers médecins de lIslam furent dorigine persane mais néanmoins, ils parlaient, lisaient et écrivaient larabe, langue des érudits durant le Moyen Age. Limpulsion de la Science médicale arabe se produisit avec Hunayn ibn Ishaq, à la fois médecin et traducteur. Mais ce fut surtout son uvre de traducteur qui permit à la civilisation islamique de disposer dun matériel de base exceptionnel. En effet, Hunayn ibn Ishaq traduisit luvre de Galien sous la forme de 95 livres en syriaque et 39 en arabe. Ses traductions étaient effectuées à partir de plusieurs sources quil comparait soigneusement. Sans négliger le fait que ses traductions étaient régulièrement commentées, complétées ou enrichies de ses expériences personnelles dans le domaine médical.

Al-Rhazi (865-925) fut lun des médecins orientaux les plus réputés. Ses connaissances étaient si vastes et ses méthodes si efficaces que ses collègues lappelaient le Maître . Il fut assurément le meilleur clinicien de son temps. Le volume de ses travaux ainsi que leur qualité firent que lon nhésita pas à le comparer à Hippocrate.

Al-Razi fut connu en Occident sous son nom latin de Rhazès. Il aurait, dit-on, écrit plus de deux cents livres sur les sujets les plus divers, allant de la Médecine et lAlchimie à la Théologie et à lAstronomie. La moitié environ de son uvre est constituée par des ouvrages de médecine et comprend un traité sur la variole qui fit autorité pendant des siècles, aussi bien en Orient quen Occident. Il est bon aussi de rappeler quà cette époque la connaissance et la recherche scientifique en Occident étaient proches du zéro absolu.

La médecine dal-Rhazi relevait bien souvent du simple bon sens. Il prônait une thérapeutique douce, une nourriture saine et soins attentifs le tout accompagné de trois préceptes évidents : repos, hygiène et calme.

Bien quà cette époque on nait absolument rien su de lexistence des microbes, al-Rhazi préconisait des principes dhygiène très en avance sur son temps. Dans une capitale aux conditions dhygiène absolument déplorables, le Calife lui demanda un jour de choisir à Bagdad le meilleur emplacement pour la construction dun nouvel hôpital. Avant de se décider, al-Rhazi suspendit des morceaux de viande en divers endroits de la ville, puis choisit le lieu où la viande se putréfiait le moins vite. Ce fut là que lhôpital fut construit et, très logiquement, al-Rhazi en devint le chef. ( 900 ans avant l'Occident, a été construit le premier hôpital à Bagdad. Au Xème siècle, il y avait au moins un hôpital dans chaque ville arabe et les médecins se déplaçaient dans les campagnes soigner les paysans. Les séjours à l'hôpital étaient gratuits comme les visites médicales chez les paysans ainsi que les consultations pour les pauvres.

A cette époque, l'hôpital de Bagdad était le plus grand et le plus moderne de tout le monde entier. Il comptait 24 médecins. Il y avait des spécialistes : ophtalmologistes, chirurgiens, orthopédistes. Le personnel de l'hôpital comprenait aussi des infirmières et des cuisiniers.

Il y a eu un grand soin porté au confort des malades et à l'hygiène des hôpitaux. C'était aussi des lieux d'enseignement de la médecine. Pour accélérer la guérison des malades on y donnait aussi des concerts. Au Moyen Age, les Arabes ont donc inventé la musicothérapie ! Ils faisaient venir des musiciens dans les hôpitaux pour guérir les malades.

En Occident, au Moyen Age, les hôpitaux n'existent pas ; il n'y a que les monastères qui suivent la règle de saint Benoît qui ont pour charge de soulager les maux de leurs " hôtes ". Ces endroits sont donc plutôt des hospices, que des hôpitaux au sens moderne du terme)

Louvrage qui devait couronner la carrière de ce médecin exceptionnel fut une monumentale encyclopédie réunissant, outre la somme des savoirs grec, syrien, persan, hindou et arabe primitif, ainsi que ses observations personnelles tirées de son expérience de Médecin. Cet ouvrage eut une influence considérable sur la formation de la médecine européenne.

Pourtant, pour aussi grand quait pu être al-Rhazi, un autre musulman allait le surpasser: Ibn Sina (980 1037), connu en Occident sous son nom latin dAvicenne. Appelé le Prince des Philosophes par ses contemporains, on le considère encore de nos jours comme lun des plus grands esprits de tous les temps. Personnage incroyablement éclectique (comme tous les scientifiques de lépoque) il rédigea quelque cent soixante-dix traités de Philosophie, Médecine, Mathématiques et Astronomie, ainsi que des poèmes et des ouvrages dordre mystique et religieux. La légende sempara de lui car ne dit-on pas que, dès lâge de dix ans, il connaissait par cur le Coran et était capable de le réciter sans la moindre erreur ou hésitation. Toujours est-il quà dix-huit ans, il était déjà le médecin personnel du sultan de Boukhara.

Luvre dAvicenne la plus fameuse est le Canon de la Médecine , encyclopédie qui détaillait pratiquement tous les stades du traitement de toutes les maladies connues ou répertoriées. Aucun ouvrage na été autant lu, traduit, étudié et commenté durant tout le Moyen Age. Du XIIe au XVIIe siècle, ce fut LA référence dans le domaine de la science médicale et cela dans toutes les universités orientales et européennes. Louvrage comprenait cinq volumes et rendait compte de façon si remarquable des découvertes de ses prédécesseurs que parfois les observations de lauteur passaient inaperçues malgré leur pertinence et leur originalité.

On attribue à Ibn Sina, entre autres, davoir décelé la nature contagieuse de plusieurs maladies dont la tuberculose. On lui doit également la description de certains troubles psychiques.. Ibn Sina avait également remarqué que certaines maladies se propageaient par leau ou par le sol, ce en quoi il était très en avance sur son temps.

Ibn Sina intéressa aussi au cancer et rédigea pour ses confrères des traités dans lesquels il leur donnait des indications pour le traitement de cette maladie, en particulier intervenir dès lapparition du mal et procéder à lablation de tous les tissus atteints. Il y voyait là le seul espoir de guérison.

En dehors de la médecine, signalons quil inventa une règle graduée qui contribua à accroître la précision des instruments de mesures angulaires et des petites longueurs. On lui doit aussi un grand nombre de découvertes dans le domaine de la physique, lesquelles servirent à jeter les bases de la science expérimentale qui devait se développer aux XVIe et XVIIe siècles. Ibn Sina mourut à cinquante huit ans, après sêtre soigné lui-même hélas sans succès.

Tandis que des savants comme Ibn Sina et al-Rhazi faisaient progresser la médecine en Orient, dautres grands médecins-philosophes apparaissaient dans la partie occidentale de lEmpire islamique. Parmi ceux-ci, le brillant médecin espagnol Ibn Rushd, connu également sous son nom latin dAverroès.

(...)

A Titre de curiosité, savourons cet extrait dont on ne manquera pas de mesurer tout lhumour :

Un médecin syrien témoigne de la technique dun médecin occidental.
"Un jour, on me présenta un chevalier qui avait une tumeur à la jambe et une femme atteinte de consomption [faiblesse]. Je mis un emplâtre au chevalier, la tumeur souvrit et saméliora; je prescrivis une diète à la femme pour lui rafraîchir le tempérament. Mais voici quarriva un médecin franc, lequel déclara : Cet homme ne sait pas les soigner ! et, sadressant au chevalier, il lui demanda : Que préfères-tu ? Vivre avec une seule jambe ou mourir avec les deux ? Le patient ayant répondu quil aimait mieux vivre avec une seule jambe, le médecin ordonna: Amenez-moi un chevalier solide et une hache bien aiguisée. Arrivèrent le chevalier et la hache tandis que jétais toujours présent. Le médecin plaça la jambe sur un billot de bois et dit au chevalier : Donne-lui un bon coup de hache pour la couper net ! Sous mes yeux, lhomme la frappa dun premier coup, puis ne layant pas bien coupée, dun second; la moelle de la jambe gicla et le blessé mourut à linstant même. Examinant alors la femme, le médecin dit: Elle a dans la tête un démon qui est amoureux delle. Coupez-lui les cheveux! On les lui coupa et elle recommença à manger de leur nourriture, avec de lail et de la moutarde, ce qui augmenta la consomption. Cest donc que le diable lui est entré dans la tête , trancha le médecin, et saisissant un rasoir, il lui fit une incision en forme de croix, écarta la peau pour faire apparaître los de la tête et le frotta avec du sel... et la femme mourut sur le champ. Je demandai alors : Vous navez plus besoin de moi ? Ils me dirent que non et je men revins après avoir appris de leur médecine bien des choses que précédemment jignorais."
Daprès Usama Ibn Munqidh (1095-1188), Des Enseignements de la Vie .

... ETC ( la suite c'est ici---> lier.com/medarabe.htm)

Et si par bonheur tu décidés de développer ta culture G sur l'ENSEMBLE des sciences arabes:

-> lier.com/sommgal_b.htm

De même, tu peux aussi accéder sur le net à la très belle exposition dénommée: l'âge d'or des sciences Arabes, qui a eu lieu à Paris.

Sur ce bonne soirée.

Tu plaisantes!

mais ma chérie , meme la crasse de ton aspi n'égalise pas avec ce tordu alors te fatigue pas!!!

Tout est relatif !

Face a nos cultures nordiques, les français peuvent être considérés comme arrogants, pudibonds et peu soigneux de leur personne.
J'ai moi-même vu en France des garçons qui se douchaient en sous-vêtements après le sport !
On ne me verra plus jamais dans une salle de sport française !

C'est bien ce que je disais

Les français : coincés et crades !

Ohhhh

toi en faite t merveilleux, t propreet tous et tous...saleté!!!

Y a un moment où il faut arrêter...

Concrètement, qu'est-ce qu'il va nous apporter ce débat? On va se sentir plus français parce qu'on répond à tel ou tel critère? La belle affaire!

D'ailleurs, je ne suis pas d'accord, on ne parle pas de métissage, mais connaître des cultures différentes et être en relation avec elles, oui c'est une richesse, ça permet de voir un peu plus loin que le bout de son nez.

Faut arrêter de voir les étudiants et lycéens comme des gosses. On a aussi une opinion, qu'on veut faire entendre et respecter, y a pas que les anciens qui peuvent parler! Vous avez peut-être l'âge et l'expérience pour vous, on a la fraîcheur, l'ouverture, et les rêves que vous avez oubliés depuis bien longtemps.

Ok, il y a pire ailleurs, je crois qu'on est tous au courant, est-ce que pour autant, on doit ne pas vouloir encore améliorer ce qui existe? Parce que mine de rien, la France n'est pas encore une dictature, mais elle en prend doucement le chemin, lentement, sans brusquerie. Y a pas que les coups d'état qui amènent le totalitarisme.

En attendant, on essaye d'éviter ça. ça implique de se recentrer sur les vrais problèmes, plutôt que de les masquer derrière des débats de poudre aux yeux, une pandémie mortellement fantôme et des immigrés qui sont en train de devenir la bête noire d'un pays entier pour quelques bandes de petits cons et quelques intégristes à foutre dehors à coups de pieds aux fesses.

Je comprend vaguement ce que tu ve dire

et je comprend aussi ce que ve dire le "jeune" avec sont post de départ. Aujourd'hui ont a un débat qui fais jazzer mais qui n'apporte rien et qui ne peut rien apporter a l'identité nationale sauf a dire que nous avons des règles, des lois, des kilomètres de texte innaplicable ou innapliqué.
Bien sur que comme tout le monde ont vois que dans certain quartier , ou certain endroit il y a des cultures importé, que de plus en plus ces gens vive autrement avec leur règle, leur loie, ect . Sa tout le monde le voie le sais mais tout le personne ne sais comment changer les choses. Sa fait trente ans que l'on a rien fais je pense qu'il faudra 30 ans pour faire marche arrière si jamais ont a envie de changer les choses dans ces quartiers , et franchement j'en doute beaucoup.
Ceci dit je ne dis pas qu'il faut fermer les yeux, ne rien faire ect... mais la question que je me pose c'est après le débat sur l'identité national qui n'aboutira bien sur a rien ont fais quoi?
j'ai observé que l'identité nationale c'est arrêter au port de la burka.

je crois que c'est exactement ça.

Voila tout à fait

bien résumé cromagnonne.

Tout est faux

que se soit le debat sur l'identité Nationale, comme si ont pouvait mettre des critères de français. Mise a par que c'est un mouton, c'est le seul critère que l'ont peut mettre sur tout le terrictoire national. Ridicule.
Concernant les minarets c'est pareil , plus ridicule il n'y a pas personne ne peut construire quoique se soit sans faire une demande de permis de construire , ont nous emmerde pour l'ouverture d'une fenetre ou la pose d'un velux a 15 mètre du sol car sa peut dénaturer le paysage faut quand même pas me dire qu'un matin un type decide de construire un minaret. encore une fois un débat ridicule.
Les musulmans, même débat, pourquoi y a-til de moins en moins de catho? posons nous les bonnes questions, pourquoi beaucoup de français "de souche" se sont convertie? c'est leur problème a partir du moment ou il n'impose pas leur religion, certe ils sont visible je répond et alors? c'est leur vie c'est leur choix.
Les jeunes , ha il faut les formater, leur mettre la casquette du bon coté, leur interdire de parler en verlant, alors qu'il y a 40 ans ont écrivait déja en verlant , ont avait des cheveux long, des pates def,et ont était pas des délinquant pour autant.
Oui la democratie a fuit depuis quelque année et ont est bien dans une dictature même si beaucoup de monde a du mal a se l'avouer